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La Fille Qui Parlait Au Vent...

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*SING*



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MessageSujet: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeMer 27 Nov - 18:18

N'étant plus sûre de continuer "Le Monde Des Loups", je me lance dans un autre livre, dans lequel, sûrement, de jeunes ados se reconnaitront ! ;)
Bonne lecture ! <3


La fille qui parlait au vent…


Prologue :




- Je le sais. Je le sens. Je suis différente. Différente en tout. Pas seulement parce que j’aime lire des livres fantastiques –seulement fantastiques- de 1372 pages, ou que je suis fan du Seigneur des Anneaux, que je le regarde en anglais, que j’écoute des musiques de films, surtout du classique, ou des choses de ce genre. Il y a le physique aussi. Comme vous le voyez, je possède un œil blanc, sans couleur. Je l’ai depuis toute petite. Je ne vois que de mon œil vert. J’ai aussi des mèches dorées dans mes cheveux bruns. Mais cela ne me dérange pas. Non, ce qui me dérange, c’est plutôt que j’ai peur de ce monde. Oui, je sais, c’est bizarre, mais j’ai l’impression de faire partie d’un autre monde, qui est magique. J’ai l’impression de toujours avoir de la compagnie avec moi, comme… une voix ou quelqu’un d’invisible. Ces choses là me font du bien. Je hais la solitude. Je pense que je devrais plutôt apprendre le tir à l’arc elfique, ou la magie, que le fonctionnement de mon organisme.

Je me souvins qu’à cet instant, je m’étais levée devant l’énième psychologue que j’essayais.

-Je sais ce que vous devez pensez : « Pauvre petite fille folle qui ne connait rien de la vie ! » Non ! Ce n’est pas ça que les gens devraient penser ! C’est « Oh, quelle chance ! Elle est très courageuse cette gamine ! Franchement, elle est très forte malgré ses nombreuses différences et crises d’angoisses » !

-Je ne pense aucun des deux, Chandra, avait répliqué le vieux monsieur, assis devant moi.

J’avais aussi quelque chose qui me différenciait énormément des autres : j’avais une force incroyable, quand j’étais énervée. Je pouvais briser un verre d’une main, arracher la fenêtre de ma chambre et encore bien des choses -je le sais parce que je l’ai déjà fait. Mais dans ces moments-là, personne ne pouvait m’arrêter, je ne me contrôlais plus.
De chaudes larmes commencèrent à couler sur mes joues. Je tremblais. Je ne savais pas si c’était parce que j’étais en colère et que je me retenais pour pas que ça ne dégénère ou bien parce que j’étais en manque de compréhension. Je me mordais les lèvres jusqu’au sang, je crois même que j’en ai encore la trace.

-Alors qu’est-ce que vous pensez ?! J’ai besoin de savoir ! Vous ne comprenez rien parce que vous n’êtes pas moi ! avais-je hurlé.

Je serrais le bureau tellement fort qu’il en restait la trace de mes doigts. En voyant ça, le docteur écarquillait les yeux.

-Euh… F…Fin de la…La chose, la séance, avait-il déclaré, tremblotant.

Je n’avais envie que d’une chose : être dans un lit, penser, dormir, rêver.

-Non ! Je me demande parfois pourquoi de telles choses existent…

Je ne savais plus de quoi je parlais, j’allais m’évanouir si personne ne m’interrompait.

-Pourquoi je ne peux pas, continuais-je entre deux sanglots, pourquoi je ne peux pas vivre comme j’en ai envie ? Pourquoi personne ne peut me l’expliquer ?! Je ne comprends rien ! Rien… du tout…

J’avais mis ma main sur mon front et avais voulu me rassoir mais j’étais tombée.

-Pourquoi…Dites-moi…pourquoi, j’avais murmuré en un souffle.

Allongée, par terre, je voyais la lumière de l’ampoule. Elle se rapprochait jusqu’à remplir toute ma vue. Du blanc puis…rien. Seulement des voix et les ténèbres.











1 : Longue nuit


Ce souvenir me fit émettre un petit rire. Cela s’était passé il y a deux ans… J’avais maintenant 15 ans… Je regardai l’heure sur mon réveil. 02 : 51.

Puis, mon visage s’assombrit. Une bouffée de chaleur me prit soudain. Je me mis à tousser, comme si quelqu’un m’étranglait. Je m’assis brusquement, soulevai mes couvertures puis me levai. Toujours en toussant, une main à la gorge l’autre essayant de me soutenir, je marchai jusqu’à mon bureau, j’étais secouée de spasmes. Je tâtonnai mon bureau dans le noir puis empoignai un petit flacon. Je l’ouvris et en sortis deux comprimés et les avalai. Au bout de quelques minutes, ma toux se calma. Je restai assise sur ma chaise, reprenant ma respiration, attendant ce qui n’allait pas tarder. Effectivement, une vision arriva, puis deux et ainsi de suite. Une fleur aussi éblouissante que l’aurore se fanant peu à peu, les pas d’un homme caché sous une cape noir, dans une forêt, puis, une douce lumière blanchâtre, rassurante, montrant cette fois, non une forêt sombre, mais une forêt regorgeant de vie, de beauté. Un écureuil, un cerf, des arbres gigantesques… Un rêve. Je revins à la réalité. Je n’avais pas bougé, j’étais toujours sur ma chaise le flacon de médicament à la main.

Je grimpai sur mon lit et ouvris la fenêtre. Je m’assis sur le rebord et regardai les étoiles. Je pouvais toutes les voir ce soir : il n’y avait pas de nuages. J’étais dans la chambre la plus élevée de la maison, j’avais l’impression de dominer toute la vallée. J’habitais dans la campagne, dans le Sud-ouest de la France. Sans aucune maison autour de chez moi. Seulement la forêt et des champs… Libre… La nuit était, pour moi, quelque chose –personne ne sait vraiment ce qu’est la nuit- où je pouvais me sentir libre. Plus de parent sur le dos, plus la pression du collège… Tout ceci mit de côté… Dans mon habitude, je m’asseyais ici, sur le rebord de la fenêtre, et regardais mélancoliquement les étoiles et les collines, comme je faisais maintenant. C’était ici que je me confiais à la douce brise du soir, et elle envoyait mes chagrins au loin, me soufflait les bons souvenirs que je lui avais déjà raconté, pour qu’enfin, une étrange nostalgie vienne m’envahir.
Je passai mes jambes en dehors de la maison et commençai à parler au vent qui m’écoutait. Je lui parlai de mon souvenir qui venait de surgir du passé, de mes visions… A chaque fois, il me répondait par un petit sifflement entre les branches du pommier, juste en face de ma fenêtre. Je m’arrêtai de parler et regardai autour de moi. Soudain, plus rien ne m’étais familier. Je souris. J’aimais ces sensations là. J’aurais voulu m’envoler et aller tout explorer. J’aurais voulu… J’aurais voulu être vraiment libre… Un soupire m’échappa. La « liberté » est un mot sans aucun sens, en fait. Chacun l’interprète à sa façon. Pour moi, c’est pouvoir vivre de ce que l’on veut. Sans apprendre ce que l’on n’a pas besoin d’apprendre. Pouvoir rêver d’un autre monde sans passer pour une folle. Se confier à la brise, sans lois, sans règles…

Une bourrasque de vent vint me chatouiller le cou, puis une plus grosse me bouscula, ce qui me fit sortir de ma bulle. « Désolée, je ne t’ai pas écouté… », soufflai-je à la brise en me recoiffant. Elle me répondit par un sifflement strident. Ce n’était pas ça qui l’énervait. Un vent fort et inquiétant se leva. Je fermai les yeux. La nature voulait me transmettre un message, il fallait que je sois concentrée. Un coup de feu, venant d’un chasseur. Ce sont le pas de ce chasseur que j’avais vu dans mes visions. Une forêt. La même que dans mes visions. Mais, enflammée. Des flammes plus grandes encore que les anciens arbres royaux. Des animaux, fuyant. Une course poursuite entre le feu et une licorne. Des elfes, des lutins, des gnomes… Ils s’enfuyaient tous. Un monde si merveilleux, si magique, détruit par la bêtise de l’Homme.

J’ouvris les yeux. Ils étaient humides. Le vent s’était calmé, jusqu’à disparaître presque. « Non ! Ne t’en vas pas ! J’ai encore besoin de toi ! » hurlai-je. Je tendis la main dans la direction qu’il avait prise. « Pitié ! Je t’en prie… » pleurai-je. J’entendis ses derniers sifflements lointains et plaintifs. C’était la première fois qu’il me laissait tomber. C’était la première fois que je me sentais horriblement seule la nuit.
Je m’assis en tailleur et pleura doucement. J’attendis toute la nuit, dans l’espoir qu’il revienne… Mais j'avais beau attendre, il ne revenait pas... Et cette nuit là, personne ne pus emporter mes chagrins au loin. Je dus les garder dans mon cœur, et pleurer.


Dernière édition par *SING* le Dim 2 Mar - 14:00, édité 5 fois
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-Dragonfly-
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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeMer 27 Nov - 19:54

Le début est sympa, mais tu devrais passer ça au BP :) Et aussi réviser l' emploi de l'imparfait et du passé simple.
  
J'attends la suite avec impatience smile
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*SING*



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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeSam 1 Mar - 16:35

Suiiiiiiiiiiiiiiiiite !!!  war f  Voili voilou, c'est toujours un peu bizarre mais bon... Ah et j'ai juste changer le nom du personnage principale "Lou" : maintenant c'est "Chandra" ;)

Passez un bon moment :)


2 : L’homme sous le capuchon noir

J’ouvris les yeux. La lumière filtrait par la fenêtre, toujours ouverte. Mes yeux étaient irrités, secs, mes joues, humides… J’avais dû m’endormir après avoir pleuré… Pourquoi déjà avais-je pleuré ? Le vent… pensais-je. Après un long soupir, je me levai et regardai autour de moi. Du sang. Du sang partout : au sol, aux mûrs, et tous les tiroirs renversés… Il coulait des armoires. Je baissai la tête, à mes pieds. Ils pataugeaient dans ce rouge horrifiant. Je levai mes mains au niveau de mon visage. Une plaie, comme un trou qui transperçait ma main… Et toujours ce rouge, ce sang qui dégoulinait…Non, il se levait et atteint ma bouche. Le goût du liquide qui coulait dans ma gorge me répugnait. Je reculai en agitant les bras en tous sens, mais trébucha sur mon tapis et retomba sur mon lit. Sur le coup, je fermai les yeux… Quelques secondes après, quand je les rouvris, le sang avait disparu et la chambre était dans le même état qu’hier, rangée, propre, sans aucun tiroir par terre… Encore une de ses stupides hallucinations… Je fermai la fenêtre. J’aperçu une silhouette sur le chemin. Je grinçai des dents et dévalai les escaliers. Je courus à la cuisine.

-Maman, ferme tout à clés dès que je serais sortit ! hurlai-je. Ferme tout ! Les volets comme les fenêtres !

Ma mère accourut.

-Chandra, calme-toi ! Ce n’est rien…

J’ouvris un tiroir et en sortit un couteau extrêmement tranchant.

-Chandra ! Pose ça de suite !! cria ma mère.

-Maman, pour une fois, fais moi confiance !! lui lançai-je. Fais ce que je te dis ! Et même si tu
ne me crois pas, joue le jeu ! Il arrive !!

Elle me regarda d’un air affolé, et compris. Elle hocha la tête et alla chercher mon petit frère. Je sortis et attendis le bruit du vérouillement de la porte. Quand celui-ci se fit entendre, je courus, pieds nus sur le chemin puis m’arrêtai à cinquante mètres de cette personne qui ne m’était pas totalement inconnue. J’avançai mon arme vers elle.

-Oh, je crois que je suis au bon endroit, vu l’accueil, dit l’homme sous son capuchon, ne laissant apparaitre que les dents blanches d’un sourire narquois, comme toujours. Il avait l’ai totalement indifférent.

Il hantait chacune de mes nuits. Nous sommes à chaque fois au milieu d’un cercle de maisons en ruine. Il faisait nuit, froid… Il me tendait sa main, sous un gant de ferraille, et me disait, toujours avec le même sourire «Viens, rejoins moi. Tu sais que nos pouvoirs sont immenses. La force et la peur peuvent s’allier si facilement… » A ce moment là, je reculai et les ruines s’enflammaient, jusqu’à atteindre cet homme mystérieux qui s’évaporait juste après.

-Que fais-tu là ? susurrai-je en essayant de ne pas trembler.

-Donc, tu me reconnais ! C’est très bien ! Je ne vois pas pourquoi tu essais d’être si désagréable alors que tu es désespérément effrayée, rigola-t-il.

-Et bien, tu te trompes. Je n’ai pas peur de toi…Mais ce que tu fais là, ou ce que tu veux me dire m’effraie effectivement.

Pendant un instant, il disparut et réapparut juste devant moi. Il me poussa le bras et le couteau s’envola dans le champ d’à côté. Il porta sa main à mon menton. Il était si proche que je pouvais sentir son souffle.

-Tu le sais, n’est-ce pas ? Tu sais que tu vas bientôt mourir et que je viens ici pour te chercher… Mais te ne peux pas l’avouer. Tu sais qu’après la mort, tu réintégreras ton monde.
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Castalie

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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeSam 1 Mar - 17:22

J'aime bien le début. Il y a quelques petites fautes mais rien de grave (surtout au niveau de la conjugaison des verbes). Bonne continuation  wink .
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*SING*



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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeSam 1 Mar - 21:00

Super, merci ;)
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lolalita du 64260

lolalita du 64260

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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeSam 8 Mar - 19:51

*SING* ; tu écrit trop bien , tu es une vraie écrivaine ! Ton début et même le nouveau chapitre est fabuleux , je me reconnais dans le livre et je te reconnais très bien aussi . J'espère qu'il y aura une suite .
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Galatée

Galatée

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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeSam 8 Mar - 21:12

Je suis bien d'accord !
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*SING*



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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeMar 18 Mar - 18:51

Oulaaaaaa ! ^^' Je ne me considère pas du tout pour un écrivain !  r ir  Merci quand même ;) C'est vrai que je me suis inspiré de l'histoire de certaines personnes dont je ne citerais pas le nom ;)


Dernière édition par *SING* le Ven 21 Mar - 18:35, édité 1 fois
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The king of the fighters
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The king of the fighters

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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeMar 18 Mar - 18:52

lolalita du 64260 a écrit:
*SING* ; tu écrit trop bien , tu es une vraie écrivaine ! Ton début et même le nouveau chapitre est fabuleux , je me reconnais dans le livre et je te reconnais très bien aussi . J'espère qu'il y aura une suite .

Idem ! +1
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*SING*



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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeMar 18 Mar - 19:02

En fait, pour l'instant, j'invente pleins de petits passages sur feuille quand j'en ai le temps, comme en heure d'étude, ou le soir après les devoirs. Mais franchement, je peux faire une feuille sur la fin, une autre sur le début, sur la moitié....Bref, pour l'instant, c'est un peu la pagaille ^^ Je vais sûrement crér un topic pour des petits textes de ce genre, il y en aura peut être que je choisirais de mettre dans mon livre ;) Ce sera en quelque sorte des "bonus"
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*Sonic*

*Sonic*

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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeMar 18 Mar - 19:08

*SING* a écrit:
Oulaaaaaa ! ^^' Je ne me concerne pas du tout pour un écrivain !  r ir 

Pas très français tout ça !  La Fille Qui Parlait Au Vent... 777687 
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*SING*



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MessageSujet: Re: La Fille Qui Parlait Au Vent...
La Fille Qui Parlait Au Vent... Icon_minitimeVen 21 Mar - 18:35

Oh la boulette ! :0
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