Louve Grise a écrit:

ce n'est pas logique de dire merci car tu aimes, parce que tu dis "Merci, j'aime beaucoup"!

Je n'arrive pas à comprendre ce que tu ne trouves pas logique dans ce que tu cites, Louve grise   
C'est au contraire très simple, je trouve aussi.

Enfin, peu importe, le tout c'est qu'on aime, hein   

Tu as raison. Je ne comprends pourtant pas pourquoi je ne trouve pas le mot qu'il me faut pour continuer. Je suis inspirée mais je n'y arrive pas!

Louve Grise a écrit:

Tu as raison. Je ne comprends pourtant pas pourquoi je ne trouve pas le mot qu'il me faut pour continuer. Je suis inspirée mais je n'y arrive pas!

Je ne comprends pas. Tu cherches juste un mot pour pouvoir continuer ?   

On peut t'aider ?   

Oui aidez moi! Je cherche un mot inspirant la rébellion et la force!

Quel genre de mot ? Un nom ? un adjectif ? Un prénom ?

Peut importe, mais un mot! Un mot inspirant rébellion et force!

Je ne voudrais pourtant pas un prénom: un prénom inspirant force et rébellion, je connais déjà: Erza.
Mais il me faut ce mot. Aidez moi et vite s'il vous plait!

La révolte ?

Louve Grise a écrit:

Je vous présente un petit texte de ma composition. J'hésitais à le poster mais pourquoi pas le poster... Bref, j'attends avec impatience vos avis! Juste une petite information: je publie un ou deux chapitres par semaine!



Le chaton qui parlait à minuit


Chapitre 1


-Il fait déjà nuit, et je n'ai toujours pas trouvé d'endroit confortable pour dormir, songea Onyx. Si je n'en trouve pas, je suis fichue!

Tout en pensant, le joli petit chaton femelle courait à toute allure à travers Brest. Soudain, elle s'arrêta et regarda devant elle. Un panier avec une couverture! Elle bondit dedans, et, bercée par le doux chuchotement des vagues, s'endormit. Le lendemain matin, elle se réveilla dans un endroit chaud et humide, teinté d'une douce odeur de lait chaud et de fleurs fraîches. Elle bondit et hérissa ses poils. Un énorme chien gris se dressait devant elle, l'air menaçant. Une douce voix retentit alors:

-Nuage, cesse donc de terrifier ce pauvre chaton noir, s'exclama une voix aussi douce et claire qu'un carillon de clochettes.

Le chien gémit puis partit se coucher dans le creux d'un panier immense. La propriétaire de la douce voix s'approcha de moi. Il s'agissait d'une femme, très jeune, blonde, grande avec de sombres yeux verts. On aurait dit des émeraudes tellement leur éclat au soleil était beau.
Elle sourit puis attrapa le bol de lait chaud à côté de moi, me le tendit. Je reculais, de peur de me faire définitivement enfermer. Elle me tendit de plus belle le bol fumant et je bus avec plaisir. Ce lait avait un goût de miel léger, un pur délice! Puis elle m'attrapa tendrement et me noua au cou un délicat collier de ruban rose pâle, orné d'un pendentif en or. Le chien s'approcha doucement de moi et me dit:

-Maintenant tu te nommeras Onyx. Moi c'est Nuage et elle ( il désigna de sa patte la jeune femme blonde) c'est Isabelle.

-Enchantée Nuage. Je dois te demander une chose, puis-je?

-Je t'écoute.

-Je pourrais aller me balader dans les rues de Brest de temps en temps?

-Evidemment!

Je me mis à ronronner et lui, content de me connaître, m'adressa un aboiement de joie.

Au début le récit commence à la troisième personne du singulier et ça continue à la première personne du singulier, c'est normal ou c'est une erreur ?

Je ne comprends pas Lie de Vin. Mais cela doit être une erreur d’inattention de ma part, rien de grave! Mais la révolte, c'est un mot pas assez puissant mais ça ira, je vais faire avec.  Ça me fait rire, je m'étonne moi même. D'habitude je suis plus dure que cela mais bon... Je n'ai pas le temps, encore te toujours pas le TEMPS.

Chapitre 5.


Un seul mot me vint en tête pour vaincre l'ennui: la révolte. Je me suis laissée enfermer et manipuler, même si je n'ai fait que vivre. Je vais m'échapper, je reviendrais un autre jour. Je grimpas et griffa la porte, et Nuage aboya:

-Onyx, que fais-tu?!

-Je pars. On ne s'occupe plus de moi, et je m'ennuie à mourir. Je reviendrais malgré tout plus tard.

-Ne pars pas. Ou reviens vite. J’aboierais lorsque Isabelle sera en meilleur état et tu reviendras car si elle apprends que tu...

- J'ai compris. Merci Nuage.

-De rien.

Il s'était fait avoir en beauté. Il ne sait pas contrôler son grand coeur généreux.

C'est bien, pense juste à utiliser le BP   



Pense aussi que le futur à la personne je, c'est -ai   

Ah euh... Je ne peux pas l'utiliser!!!

Je t'explique: mon ordinateur est vieux et je n'ai pas arrêté d'essayer!!! Et ce n'est pas le présent, mais le passé simple.

Qui te dit que c'était du présent ?
Et le passé simple à la personne je, ça ne fait jamais -as

Tant pis, c'est une erreur et je débute dans l'écriture de livre, du coup les erreurs sont légères, pas énormes comme l'oubli de mots ou d'accords.

Chapitre 6

C'est une triste heure que je passais dehors, seule, sans Jungle, Mayonnaise et Frou-Frou. Je miaulais alors de toutes mes forces et un dalmatien qui- seul lui aussi- passait tranquillement par là, me dit:


-Qu'est-ce qu'il y a petit chat noir? Tu es perdu? Tu veux que je regarde l'adresse sur ton collier? Est-tu abandonné?

-Je ne suis point perdue, je me promène!

-Tu m'as l'air trop triste pour te balader mais bon... Bref, je m'appelle Vérité et je suis la chienne de Mr Monial, un homme très gentil et surtout intelligent. Grand, brun aux yeux verts vif... Ca te dit quelque chose?

-La voix grave? Directeur de la société M&JTM?

-C'est ça!!! Comment le sais-tu?

-C'est le patron de ma maîtresse, Isabelle Châtelet de Marquis!!!!

-Ca me dit vaguement quelque chose. Bon, tu devrais rentrer, il commence à pleuvoir.

-Oui. Pourtant je n'ai pas envie de te quitter, je veux faire connaissance.

-Ce soir, vers minuit?

-Bonne idée!

Sur ce, elles se quittèrent toutes deux heureuses.

C'est la fin ou on aura une suite ?

Quelle question Speedy!!! Je ne VEUX surtout pas m'arrêter là!!!!

    Vous êtes super gentils d'ailleurs!!!!!!  
Vous êtes trop sympas!!!<3

Chapitre 7

Vers minuit moins dix, je me mis en route. Vérité étant déjà au coin de la rue, je courus la rejoindre. Elle ne fit pas de même, ce qui ne l'empêcha pas de m'enlacer de son cou soyeux et chaud. Elle ne souriait pas. Je pris alors peur de ce qu'elle allait me dire. Déménageait-elle? Allait-elle être mutée ailleurs ? Ou même pire ! Je me lançais :

-Euh... Vérité...
- Oui ?
-Ça n'a pas l'air d'aller....
-Je dois te le dire....
-Quoi donc ? Tu déménages ? Tu es victime d'un cancer du poil ? Ou alors...
-Laisse-moi t'annoncer un chose terrible et affreuse. Isabelle... a un ....
Elle tremblait violemment et s’allongea avant de tomber.
-Elle va mo... mourir... Je suis navrée...
Je tombais alors et haletais vivement. Je finis alors par me calmer et je repris mes esprits.
- Oh non....
- Elle a un cancer. Nuage va vivre avec mon maitre et moi... Et toi, tu fais ce que tu veux. Mon maitre t'a déjà vu et veux bien t'adopter, mais libre à toi de..
- Je viens.

N'oublie pas de cliquer sur le bouton BP. C'est simple à faire, et ça rend bien des services   
J'ai édité par enlever des "tu est" par exemple.

C'est vrai que c'est plus agréable à lire.

PS : Sa décision n'a pas trainé   

Modo a écrit:

N'oublie pas de cliquer sur le bouton BP. C'est simple à faire, et ça rend bien des services   
J'ai édité par enlever des "tu est" par exemple.

Le BP ne marche malheureusement pas chez moi, sinon je l'utiliserais !
Et Flower, sache que je n'allais pas la faire tourner autour du pot !

Chapitre 8

J'étais dévastée. Isabelle allait mourir. Quelle peine énorme... Elle est l'une des seuls humains à me comprendre. Mais bon, si Vérité le sait, c'est par le biais de son maître, Mr Monial, enfin, Charles, le patron de ma chère et tendre Isabelle. J'aurais tellement voulu la soigner et arrêter de ne penser qu'à moi! Je ne suis qu'une peste, qu'une égoïste! Je vais rester à ses cotés, passer un dernier instant avec elle, et lui dire au revoir... Je dis donc vivement mais tristement à Vérité:
- Ecoute Vérité...
-Oui?
-Je ne sortirais plus jusqu'à la mort de ma maîtresse.
- Tu es sûre? Tu ne vas pas t'ennuyer?
- Je peux jouer avec Nuage. Il a une balle de tennis très amusante tu sais!
- Tu m'as l'air bien joyeuse pour un deuil.
- Je n'éprouve aucune joie, juste une grande énergie qui m'a regagné.
- Comme tu le souhaite...
Le grand clocher de Brest sonne, il est minuit. Je dois quitter Vérité avant que la fourrière ne fasse son tour de garde. Je dois le dire franchement, il faut que je parte. Je dis donc simplement:
-Désolée Véri...
- Je dois partir.
- Oui moi aussi. Au revoir.
-Au revoir Onyx.
Elle n'a même pas remarqué qu'elle m'a coupé la parole. Mais bon, ce n'est pas très grave, c'est loin d'être scandaleux comme le cancer d'Isabelle. Je me mis à cavaler dans les rues, que je connaissais toutes par coeur: Rue de la gare, Avenue de la Manche, Rue du Parc Marin, par lequel je passe toujours, et enfin la Rue de Charles De Gaulle. Puis j'arrive dans la rue sublime du Quai d'Eau. C'est une grande rue, au sol pavé, comme en Provence. Elle est lumineuse le jour, et la nuit elle est éclairée par des bougies, allumées par le facteur du soir. Quel brave homme! Il m'a sauvé de la mort en me nourrissant. Un grand gaillard aux yeux bleus et aux cheveux blonds.