Atelier d'écriture - Luna circus

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Postez ensuite ici le texte que vous avez créé h ap

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Atelier d'écriture - Luna circus 09021010

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Je ne voyais pas où mes phrases allaient en venir et je n'imaginais pas que ça donnerait à la fin un texte aussi beau l ov

Et c'est moi qui ai écrit tout ça dans le jeu sans trop m'en rendre compte e k

N'oublions pas.

Quand, pour la vingt et unième fois, l'arbre fut à nouveau en fleurs, elle se réveilla. L'opacité de la nuit noire constellée de taches lumineuses la fit sourire.. Son sourire d'enfant était telle une étendue verte, une prairie où régnait un soleil infini, d'où pointaient de minuscules fleurs multicolores, multitude irisée comme un l'arc-en-ciel sur terre ... C'était onirique, idyllique, si beau, si pur ...

Pourtant je suis bien placé pour savoir que personne, personne dans ce monde, n'est totalement innocent. La lune, d'une beauté blafarde et faussement ingénue, est comme le monde : Implacable et rusée, elle ressent aussi le besoin de cacher ses démons intérieurs ... La beauté des étoiles neuves m'éblouissait, elles discutaient avec la lune, créant un quiproquo étrange, se disputant sur une chose pour moi, inconnue..

Je suis libre à jamais. De mon sommeil et de mes rêves obscurs je suis la reine. De mon temps et de mes lianes ténèbres, je suis souveraine. Liberté.. De mes souvenirs seulement, je ne suis loi. Le bonheur et la nostalgie d'un moment passé sont pour moi seule et unique foi. Et nous n'avons aucun pouvoir sur ce en quoi l'on croit..

C'est magnifique ! top

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J'aime particulièrement le dernier paragraphe, et la dernière phrase, surtout smile

J'ai tenté l'expérience aussi, en retravaillant un peu le texte ensuite, et je trouve que le résultat est intéressant :

Songe

Dans cette mer humaine fumante, l'horizon de l'espoir était à peine perceptible. C'était comme une fleur trop fragile noyée dans le douloureux désespoir de ne pas avoir trouvé une vie meilleure, dans la quête d'un destin extraordinaire parmi le terne ordinaire.
Elle pouvait imaginer un ciel plus beau qu'ici, un ciel sans nuages, un ciel de paix... Tout d'un coup, son regard était si brillant, si emprunt de mélancolie qu'on eut dit une petite fille perdue qui cherchait une étoile dans l'immensité des cieux obscurs.
Elle était calme, posée sur son tabouret haut, elle rêvait d'une vie de sérénité. Elle rêvait d'un amour si intense, plus haut, plus fort que les vagues, encore plus puissant ; puis qui revenait s'écraser à ses pieds, vaincu, trahi, abandonné.

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Chez moi, ça donne un petit texte insolite. J'ai changé un ou deux mots après pour que ça s'enchaine mieux kin g

Un homme renversa un tableau par accident et le déchira. Il représentait deux gladiateurs en train de se battre à mort . .. Ils réveillèrent les enfants dans la nuit .. Ceux-ci s'enfuirent en passant par une immense porte d'ivoire, ornée d'un visage angélique .. Mais son visage d'ange n'était qu'un masque .. A l'entrée du parc, ils restèrent silencieux...

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À moi !

Le manoir de l'enfer

Sur la table, avant les escaliers, un livre ouvert, une Bible, sans doute. Je montai à l'étage quand je vis cette grande bibliothèque. Seul un livre m'attirait. L'armoire du destin, rempli de motifs du futur. Le son triste du violon attira mon regard vers le cimetière. L'homme écrit la lettre d'une main tremblante. Il jeta un coup d'oeil vers l'étrange manoir. Il fut pris de peur quand il vit un zombie en sortir ...

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Douceur printanière

Il me tendit alors avec une grande tendresse un pendentif en forme de lune couleur bleue nuit. Je l'attachai à mon collier de perles rouges, à côté de mon pendentif en étoile. C'était le soir, toutes les lumières de la rue étaient allumées et moi, je me promenais les bras chargés d'un cageot de légumes et de prospectus publicitaires. Ma robe à volants s'envolait tandis que de gros nuages noirs arrivaient au-dessus de la ville, ce n'était pas de bon augure pour la fin de la soirée. Dehors, on pouvait voir les fleurs qui pendaient aux balcons, c'était le printemps. Sur un des balcons, il y avait une table ronde sur laquelle était peint un soleil.

Spoiler:

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En courant, l'un d'un songeait au pauvre aïeul qui ne voyait pas. Il sentit alors la peur l'envahir, il repensa aux repas suaves de sa mère et aussitôt, ses pensées s'apaisèrent...Il songea alors à toutes ses années perdues, à ce livre pourpre, le seul souvenir de sa mère. Son visage devint livide lorsqu'ils arrivèrent devant un bâtiment séculaire qui lui demeurait très familier...Il portait un manteau vermeil et un chapeau pourpre. Il était habillé de façon fort atypique…Il se mit à contempler la grande porte vermeil du garage.. Il entendait la nature sauvage et les ondes claires derrière lui…Il ne le vis pas tout de suite arriver, car il s'était surpris à contempler éperdument les étoiles scintillantes ! L'homme sortait alors d'une maison vétuste et avait un air tout morose !

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Il y avait du brouillard, on ne voyait rien. De plus, la neige commençait à tomber. La neige recouvrait toute l'herbe. Il regardait son cahier déchiré avec l'espoir d'y trouver ce qu'il cherchait. Elle coupait les fleurs, les mettait dans de l'eau, cela créait un petit brouillard au-dessus du vase. Malheureusement, le soleil les fanait. Elle préférait l'hiver, la pluie, la neige, même les tigres des neiges, car quand il y en avait, le soleil ne se levait plus. On entendit de l'eau couler, puis un navire. Ou peut-être un robot, dans une belle vieillesse. Comme des branches mortes et des bouts de carcasse d'un navire. L'instituteur distrait par les nuages, devenait incohérent. Il faisait craquer les branches sous son passage, il remontait jusqu'à l'auberge. Là, il tomba sur une colline enneigée, il se crut dans une station de ski, avec pleins de pistes et il tomba.

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Quelques jolis textes déjà, donnant une bonne base à développer smile

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Voilà mon texte, ce n'est pas du Agatha Cristie, mais c'est mieux que rien r ir

:

Tout le monde avait craint, craint qu'une personne était tombé dans le ravin. Et ils avaient raison, sans le savoir, ils venaient de découvrir le corps d'une personne. La ville entière connaissait la présence de ce ravin et vu qu'aucun touriste ne venait dans cet endroit perdu, ils comprirent vite qu'une personne des leurs était en bas.
L'inspecteur de police arriva sur place, examina cette chose et dit : « ce n'est rien, simplement un petit animal ». Mais il avait faux, en réalité, il l'avait vu de loin et il ne pouvait pas bien le voir, alors quand il s'en approcha, ce "petit animal" n'était autre qu'un humain, une humaine précisément. Comment une telle chose a pu arriver, ici, dans ce petit coin du monde, où tout le monde connaît tout le monde. Ils reconnurent tout de suite la personne, c'était Fiona.
L'inspecteur décida de prendre l'enquête en main et interrogea la ville entière. Tout le monde l'a trouvé bizarre avant. Des témoins disaient que plus tôt dans la soirée, ils avaient vu Fiona, ils disaient qu'elle avait peur, elle était même terrifiée de quelque chose. Ils ont même dit que quelqu'un était avec elle. Un témoin avait vu qui c’était, il s'agissait du mari de Fiona.
L'inspecteur ayant toutes les preuves pour résoudre l'enquête, il fit alors un procès au mari Fiona, mais durant l'audience, il lança :

"Fiona ne s'est pas suicidée, je l'ai fait tomber, JE L'AI TUÉE !" Son mari, courut le long de la route, avec un seul but, se suicider. Il courut, il ne voulait pas être pris, et être en prison. Alors, il s'est mis en position, au même endroit que Fiona et...

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Ils voletèrent sans aucun bruit autour de moi, qui n'osait pas bouger de peur de briser la magie de l'instant, puis ils se rassemblèrent en un essaim de plus en plus compact, et disparurent soudainement. A leur place se trouvait là une jeune femme belle comme la nuit, aux yeux étoilés et au sourire envoûtant. Un voile blanc comme neige recouvrait ses cheveux noir d'ébène, et sa robe chatoyante semblait cousue de fils d'argent mêlés de lumière. Et elle chanta. Elle chanta l'été, elle chanté l'hiver. Chanta le soleil comme elle chanta la neige, chanta de tout et de rien. Elle chanta.
Et alors, moi qui ne m'étais jamais senti complet, moi à qui il avait toujours manqué un petit je-ne-sais-quoi qui m'avait rongé de l'intérieur, je me sentis bien. Oui, bien. Et heureux d'être là. Avec elle. Silence. Total. Elle s'était tue. Son chant, si pur, si mélodieux, qui avait fait naître en moi la promesse d'un renouveau, avait disparu. Elle s'éloigna. Mais je ne la laisserais pas partir. Elle m'avait trop bouleversé pour que je le lui permette. Elle fit apparaître un escalier dans le sol et s'y engouffra. Je voulus la suivre mais je trébuchai et tombai dans le vide. Ouille... Du sang ? A qui était ce sang ? A moi ? Tiens, oui.Je m’étais écorché les genoux en tombant dans cet escalier secret. Lorsque je me réveillai, tout avait disparu. un médecin près de moi me parlait. Que disait-il ? Mal à la tête. "...mauvaise chute.Vous vous en remettrez", entendis-je. Ah ? Bon. Avais-je rêvé ? J'en doutais.

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Voici mon texte un peu bizarre :

Les horreurs de la nuit

Elle eut peur quand elle vit du brouillard qui jaillissait du sol et de la vapeur venant du lac. Elle arriva sur une tombe où des plumes volantes tournaillaient au dessus de la tombe. Elle jouait dans le jardin, et de la vapeur sortait de la fenêtre de la maison. Elle se rappela d'un souvenir lointain. Elle avait vu un enfant ensanglanté dans le brouillard. Elle était dans le jardin en face de cet homme frustrant. Quand soudain des larmes de sang se mirent à couler sur son visage. Du sang très rouge. Qui se reflétait par le crépuscule lointain. Il y avait une fille sur une fontaine, elle était si magnifique, soudainement je m'apercevais que la fontaine ne lâchait pas de l'eau, mais du sang. Je courai à pleine vitesse dans la nuit profonde. Bizarrement j'arrivai dans un cimetière. En général les fontaines lâche de l'eau n'est-ce pas ? Ça me rappelait la mort, avec son épais brouillard. Étais-je morte ?

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Elle voulut répondre, mais baissa les yeux et ne fit aucun bruit, elle ne voulait pas qu'ils la traitent de sauvage malpolie. Comme elle était sale ils lui dirent d'aller se laver. Elle alla à la fontaine de marbre et se baigna dans l'eau claire. Mais j'entendis un bruit sauvage derrière moi et me remis à courir jusqu'au bateau à vapeur. Enfin arrivait au bateau je m'éloignai du repère des barbares pour aller rejoindre mes amis à la fontaine. On l'entendait même jusqu'au jardin. L'air frais de la brise du soir et son chant me faisaient des frissons. Elle était cachée derrière la colonne en marbre dans le jardin lorsqu'elle l'aperçut. Elle reconnut l'instituteur distrait et elle comprit qu'elle ne devait pas être là et qu'il deviendrait son ennemi s'il la voyait. Tout le monde était de marbre et se taisait, soudain, ils virent dans les branches d'un arbre un homme en noir qui les fixaient. À côté de lui il y avait un tigre de neige, il grattait la neige nerveusement et grognait méchamment.

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Voila ce que l'on obtient, et chez moi ça ne ressemble à rien...

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Le secret tombe, je sais ce qu'il se passe... La mer déchaînée génère une peur incompréhensible. La forêt sombre entourait la tombe du mort. La terre était ouverte au pied de la montagne enneigée. La nuit tombait sur la sombre forêt. Le chant des loups s'élevait sous la lune bleue. Il ne faisait pas bon de se promener la nuit près des étangs. Lorsque l'aube de la nuit voilait les grimaces, les roseaux se pliaient vers l'eau trouble de l'étang. Alors que la belle dame se dirigeait vers Dieu.

Présenté par 3Dsana et 3Diary

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Je trouve ce texte plutôt beau, moi smile

Il faudrait juste développer un peu des choses, mais il y a un côté fantastique (je ne sais pas si c'est le mot) qui me plait beaucoup smile

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Pour ma part, cela donne ça :

Zoo du grenier

J'avais glissé sur le faste d'un tapis orné de fils dorés pour finir mon parcours dans la fange, de l'autre côté de la porte. Une antilope domestiquée avec un collier se tenait devant moi, dans l'immensité d'une savane. On aurait dit que des lémuriens se raillaient. Je partis avec promptitude voir ce qu'il se passait. Pendant que je courais, je me rappelais que la porte majestueuse du grenier, qui m'avait conduit dans un paysage insolite, un zoo digne des plus grands. De grandes railleries sortaient de la bouche d'un vieillard qui parlait tout seul avec emphase. C'est à ce moment que je me suis rappelée que je suis passée du grenier, puis par le tapis pour enfin me retrouver devant le roi des animaux. Je partis avec promptitude sans louer le lion affamé en voyant l'antilope qui m'avait suivi. Je continuais mon chemin dans l'autre monde rempli d'animaux fabuleux. Le serpent ne me fit pas de louanges et me regardait méchamment. Cependant, le faste de ses écailles argentées m'éblouissait. Comment pouvais-je me retrouver dans un zoo féerique ressemblant à une jungle sans avoir l'impression d'halluciner ?

Bon... Je ne sais pas si vous comprenez quelque chose, mais moi oui Atelier d'écriture - Luna circus 1f607

!

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Le songe onirique

      Elle enjambait des étangs remplis de fange. Le silence éloquent (oxymore) qui l'entourait lui rappelait qu'elle était seule, seule avec la nature et le soleil. La vase avait laissé place à la bruyère et à toute une flore riche, que l'on pouvait observer dans le calme. Elle accordait des éloges à la bruyère comme si elle l'entendait. Le souffle de la brise fendait l'air et effleurait ses oreilles comme une douce éraflure (oxymore). Elle dévorait des baies alléchantes et reniflait le doux parfum enivrant des fleurs. Son esprit vagabond observait le magnifique crépuscule. Elle adorait quand le ciel devenait pourpre. Elle se prélassait sur son lit de végétaux et appréciait sa solitude. Devant elle, il y avait une étendue d'eau lisse comme du cristal (comparaison surréaliste). Elle apercevait des écailles qui nageaient à vive allure (Synecdoque). Soudain, elle eut une folle envie de voler. Les nuages l’interpellaient depuis les cieux (Personnification).
      Elle adorait ruminer sa solitude dans la nature. Pour elle, une contrée reculée était ce qu'il y avait de plus chaleureux. Elle se reposait à la lisière de la nature. Avec un sentiment de bonheur, elle observait la plaine qui s'étendait à l'infinie. Elle vivait une existence étrange pleine d'isolement.Les rayons qui filtraient à travers le bois s'éteignaient peu à peu sur ses douces paupières. Une fois le soleil parti elle observa la belle nuit étoilée et profita de ce moment d'extase. Elle aimait sentir la rareté de certaines odeurs alléchantes que l'on pouvait trouver quelquefois.
      Sa mémoire se perdait dans l'écho de sa solitude et de ses songes. Quand son regard croisait son reflet, elle observait la femme qu'elle était comme si c'était une ombre. Quelquefois, la brise cassait le silence comme pour lui jouer une douce mélodie qui lui faisait peu à peu oublier les blessures indélébiles de ce monde inexorable.

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Cette nuit-là

Entre-temps, sans même s'en apercevoir, il était tombé amoureux, alors qu'il était seulement un enfant. Lorsqu'il extasiait l'étincellement du crépuscule rouge au bleu nuit, le peu de nuages qu'il y avait s'amusaient à faire des ombres. Cet amalgame de couleurs étaient subtile et évoluait prestement. En une poignée de minutes, la nuit tomba. Il regarda une dernière fois vers le ciel étoilé, au loin, il pouvait distinguer un lampadaire briller comme une étoile. Les deux amis avaient décidé promptement de s'esbigner le soir-même, en partant en tâtonnant. Le plus jeune aperçu un morceau de miroir sur lequel une obscure clarté se reflétait. Il s'est épié dans le miroir, et a éclaté en sanglots puis est descendu en bas en courant vers l'écurie qui se trouvait dans le jardin sous le vent sauvage de novembre et la pluie battante. Dans la nuit noire, au loin un bruit frappe les sourds échos. Il marchait en se disant que peu lui importait qu'il fût beau ou laid, il y avait quelque chose en lui qui était indicible. De tout son corps sec et peu trapu dans le noir, sembla jaillir une vie nouvelle, emportée par une jeunesse retrouvée.

Il me manque quelques allitérations et assonances.

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Les textes qu'on crée dans ce jeu sont toujours étonnants !

**Aidactif** Nombre de messages : 987

Une histoire inintelligible moy

Soudainement, une musique retentit du marbre d'un arbre majestueux. Le cheval contempla l'arbre centenaire. Le robot eut pour dessein de trouver le marbre d'un arbre. Les masques furent arrachés par les vents alizées. Ce robot s'était fait attraper par moultes racines. Le robot eut un chagrin puis il regarda la lune. Un jeune marin était vêtu de racines. Moults chants venaient de la montagne magique. La chambre de ce marin était comblée de neige, et cet homme explorait le monde inconnu en mangeant du miel.