Pastiche de fables de Jean de La Fontaine.

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J'ai pastiché "La Cigale et la Fourmi". Et pour finir j'ai rajouté une morale assez connue à cette dernière.

Texte d'origine: Jean de LA FONTAINE (1621-1695)

La Cigale et la Fourmi

La Cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
"Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal. "
La Fourmi n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien! dansez maintenant.

Texte pastiché:

La Marmotte et l'Hermine

La Marmotte ayant sifflé
Tout l'été
Se trouva fort dépourvue
Quand la neige fut venue:
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de végétaux.
Elle alla crier pénurie
Chez l'Hermine sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelques herbes pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
"Je vous paierais lui dit-elle
Avant l'août fois d'animal
intérêt et principal"
L'Hermine n'est pas siffleuse
Ça n'est point là un défaut
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
-Nuit et jour à tout venant
je sifflais, ne vous déplaise.
-Vous sifflez ? j'en suis fort aise.
Eh bien skiez maintenant.
Travaillez, prenez de la peine:
C'est le fond qui manque le moins.

_________________

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Spoiler:

Mon pastiche :

La souris et l'écureuil :

La souris ayant horrifié les passants tout l'été,
Fut bien embètée quand les premières gelées furent arrivées !
Pas le moindre petit morceau,
De noix ou de colza,
Elle alla crier famine
Chez l'écureuil sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelques graines pour subsister.
Jusqu'à la saison nouvelle.
"Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal,
L'écureuil n'est pas préteur
C'est làson moindre défaut
Que faisiez vous en été ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
-Nuit et jour à tout venant
Je terrorisais, ne vous déplaise,
Vous terrorisiez ? J'en suis fort aise.
Eh bien, déguerpissez à présent !

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La cigale et la fourmi

La Cigale, ayant chanté tout l'été

Se trouva fort dépourvue

Quand la bise fut venue:

Elle alla crier famine

Chez la Fourmi sa voisine,

La priant de lui prêter

Quelque grain pour subsister

Je vous paierai, lui dit-elle,

Foi d'animal, intérêt et principal.

La Fourmi n'est pas prêteuse:

C'est là son moindre défaut.

Que faisiez-vous au temps chaud?

Dit-elle à cette emprunteuse.

Je chantais, ne vous déplaise.

Vous chantiez? j'en suis fort aise:

Eh bien! dansez maintenant.

La vèle et le vacher

La vèle, ayant tété tout l'hiver

Se trouva fort embêtée

Quand le sevrage fut venu:

Elle alla meugler famine

Chez le vacher son maitre,

Le priant de lui prêter

Quelque litre pour subsister

Je vous le rendrai, lui dit-elle

Dans trois ans,

Foi d'animal intérêt et principal

Le vacher n'est pas préteur:

C'est là son moindre vice

Que faisiez-vous cet hier

Dit-il à ce téteuse

Je tétais, ne vous déplaise.

Vous tétiez? J'en suis conscient:

Et bien! Broutez maintenant.

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Spoiler:

La marmotte et l'oiseau

Les marmottes dorment profondément.
Une marmotte ainsi étant en hibernation
Se raconta t-il, se reposa tant
Qu'elle en faillit servir de collation:
Un aigle l'enleva au ciel très haut
Par chance pour cette marmotte
A côté d'ici vint un oiseau
Elle le fait venir, il arrive
Voici le sauveur sitôt en action
Il libera la marmotte et pour une si généreuse intervention
Il voulu sa prime
"Votre prime?" répondit la marmotte;
Tu plaisantes mon brave ami!
Comment! Cela ne vaut pas autant un magot
D'avoir de ses griffes ôté votre peau ?
Bien, tu es une égoiste;
Ne restez jamais sur mes griffes.

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Voici mon pastiche

Spoiler:

Le Chat et l'Oiseau

Les Chats dorment profondément.
Un Chat qui était de banquet
Se balada, dit-on, beaucoup
Qu'il en crue perdre l'âme :
Une carcasse lui demeura bien avant la gueule.
De malheur pour ce Chat, qui ne pouvait hurler,
Près de là passe un Oiseau.
Il lui fait signe ; il arrive.
Voilà le chirurgien aussitôt au boulot.
Il retira la carcasse ; puis, pour une si bonne action,
Il demanda son pourboire.
"Votre pourboire ? Dit le Chat :
Vous plaisantez, mon bon compère !
Quoi ? Ce n'est pas aussi beaucoup
D'avoir de ma gueule sortie votre cou ?
Allez, vous êtes un égoïste :
Ne passez plus sous ma paluche. "

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Eve a écrit:: Le Corbeau et le Renard

Maître Corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître Renard, par l'odeur alléché,
Lui tint à peu près ce langage :
"Hé ! bonjour, Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli ! que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phénix des hôtes de ces bois."
A ces mots le Corbeau ne se sent pas de joie ;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le Renard s'en saisit, et dit : "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien un fromage, sans doute. "
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.

Le professeur et l'élève

Maître Govaert, sur son bureau élevé,
Tenait dans ses mains mon carnet.
Mademoiselle Marie, par la crainte affolée,
Le supplie d'éviter ce carnage :
"Hé ! Bonjour Monsieur Govaert.
Que vous êtes gentil ! Que je vous apprécie !
Sans mentir si votre clémence
Se rapporte à votre intelligence,
Vous êtes le maître des élèves de ces lieux."
A ces mots le prof' ne se sent plus fâché ;
Et pour montrer sa grande bonté,
Il ouvre grand ses mains, laissant tomber mon carnet.
Je m'en saisis, et dis : "Mon bon professeur,
Apprenez que tout profiteur
Vit aux dépens de celui qui le croit :
Cette leçon vaut bien un 20, ma foi."
Monsieur Govaert, amusé et ému,
Sut, et aussitôt, qu'elle ne recommencerait plus.

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Mon frère veut éviter un rocher en VTT

Mon frère vit un rocher.
Qui lui sembla bien dérangeant.
Lui, qui n'était pas en bonne position pour l'éviter
Stressé, se positionne, tourne, et se penche.
Pour éviter le rocher
Disant : regardez bien. mon bon Pierre.
Suis-je assez tourné ? Dites-moi ; ou alors maintenant ?
Non. Là, c'est bon ? Vous n'y êtes guère. M'y voilà ?
Toujours pas. Mon frère énervé

Tourna si bien qu'il tomba.

Une Grenouille vit un Boeuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf,
Envieuse, s'étend, et s'enfle, et se travaille,
Pour égaler l'animal en grosseur,
Disant : "Regardez bien, ma soeur ;
Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ?
- Nenni. - M'y voici donc ? - Point du tout. - M'y voilà ?
- Vous n'en approchez point. "La chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva.

Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs,
Tout petit prince a des ambassadeurs,
Tout marquis veut avoir des pages.

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"La cigale et la fourmi" devient :

"Le voleur et le bandit"

Le voleur ayant volé toute l'année

Se trouva fort embêté

Quand la police fut venue.

Pas un seul petit moyen

De sortie ou de fuite !

Il alla crier à l'aide

Chez son voisin le bandit

Le priant de le cacher

Jusqu'aux fouilles terminées.

-Je vous paierai, lui dit-il,

Fois de voleur ,bijoux comme sous.

Le bandit n'est pas receleur

C'est qu'il préfère kidnapper de petits enfants.

Que faisiez-vous au temps des cachettes ?

Dit-il à cet idiot.

- Je volais, ne vous déplaise.

Vous voliez ? J'en suis fort aise.

Et bien ! Fuyez maintenant.

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Le chien et le chat

Le chien, s'étant amusé toute l'année

Se trouva fort en manque de nourriture

Lorsque son maître mourut :

Il alla aboyer misère

Chez le chat son voisin

Le priant de lui procurer

Quelques vivres pour se ravitailler durant l'été.

Je vous rembourserai, lui dit-il,

Foi de canidé, intérêt et principal.

Le chat est très radin

C'est là son plus grand défaut.

Que faisiez-vous durant cette année magnifique ?

Dit-il à cet aboyeur.

Chaque journée, à tout venant,

Je m'amusais, ne vous déplaise.

Vous vous amusiez ? J'en suis fort aise :

Eh bien ! Chassez maintenant !

Nombre de messages : 188

Pastiche du Corbeau et du Renard:

Mon Grand-père et ma Grand-mère

Monsieur mon Grand-père dans son fauteuil affalé,
Tenait en sa main une pipe.
Madame ma Grand-mère par l'odeur affolée
Lui tint à peu près ce langage.
"Hé ! bonjour Monsieur mon mari.
Que vous êtes gros ! Que vous devenez laid !
Pour tout dire, si votre lenteur
Est identique à votre laideur,
Vous êtes le Quasimodo des seniors de cette contrée."
À ces mots, mon grand-père ne se sent plus serein ;
Et pour prouver sa grande bonté
Il déploie ses grands bras, laisse tomber sa pipe.
Ma grand-mère s'en empare et dit : "Mon bon mari,
Imaginez que toute femme
Veut l'attention de celui qu'elle aime.
Cette insulte vaut bien une sieste certainement."
Mon grand-père, agacé et mal à l'aise,
Promis que désormais il l'aiderait à faire la vaisselle.

Nombre de messages : 276

Pastiche de la cigale et la fourmi:

L'élève et le brevet

L'élevé n'ayant rien fait
De l'année,
Se trouva très embêté
Quand le brevet fut arrivé

Pas un seul petit brin
D'intelligence ou de réflexion.
Il alla se courroucer
Chez le génie
Son voisin
Le priant de l'aider

Quelques jours pour travailler.

"Je te paierai, lui dit-il

Avant le brevet, foi d'élève,

Intérêt et principal. "

Le génie est timide.
C'est là son plus gros défaut.
"Que faisais-tu aux dures révisions ?"

Dit-il à cet élève.
'' Nuit et jour à tout venant,
Je jouais, ne te déplaise.''
'' Tu jouai ? j'en suis heureux.
Eh bien, travaille maintenant.''

Et voici le vrai:

La cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
"Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal. "
La fourmi n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien! dansez maintenant.

Jean de la Fontaine

Nombre de messages : 108

Pastiche la cigale et la fourmi:

L'ours et l'écureuil

L'ours, s'étant baigné
Tout l'été,
Se trouva fort dépaysé
Quand la neige fut arrivée(p)
Pas un seul (il manque un adjectif) mouton

Pot de miel ou poissons(p)
Il alla dire qu'il avait faim
Chez l'écureuil son voisin
Lui suppliant de lui prêter
Quelques fruits pour résister
Jusqu'à l'année prochaine.
Je vous le rendrai, lui dit-il d'une voix vaine
Avant mai, foi d'animal,
Intérêt et principal.
L'écureuil n'étant pas prêteur
C'est là son pire défaut.
Que faisiez vous l'été dernier ?
Demanda-t-il à ce quémandeur
- Du matin au soir je me baignais.
- Vous vous baigniez ?
Eh bien, courez maintenant !

Beaucoup trop proche ici de l'histoire d'origine. C'est quasiment la même histoire, sauf que ce n'est pas une cigale et une fourmi.

Nombre de messages : 181

Pastiche la cigale et la fourmi :

Diomède et le facteur

Le facteur qui était resté assis
Tout l'été,
Se trouva très embêté
Quand la tournée fut arrivée.
Pas un seul petit morceau
De lettre ou de journaux.
Il alla crier à l'aide
Chez son voisin Diomède
Lui priant de lui prêter
Un peu de secours pour exister

Jusqu'à l'été prochain
"Je vous paierai, lui dit-il,
Avant Juillet, foi de facteur,
Intérêt et principal."
Diomède est peu préteur ;
C'est là son seul défaut.
"Que faisiez-vous pendant l'été ?
Dit-il à cet emprunteur.
-Juillet et Aout à tout venant
Je lisais ne vous déplaise.
- Vous lisiez ? J'en suis fort aise.
Eh bien ! distribuez maintenant."

Nombre de messages : 108

Pastiche la cigale et la fourmi:

L'hippopotame et l'éléphant

L'hippopotame ayant bronzé
Tout l'été,
Se trouva fort embêté
Quand l'hiver fut arrivé :
Pas un seul petit manteau
en laine ou en coton
Il alla chercher des vêtements
Chez son ami l'éléphant,
Lui demandant de lui prêter
Du matériel pour résister
Jusqu'au printemps suivant.
Je vous le rendrai, lui dit-il en suppliant,
Avant mai, foi d'animal,
Intérêt et principal.
L'éléphant n'est pas prêteur :
C'est là son pire défaut.
Que faisiez vous l'été dernier ?
Demanda-t-il à ce quémandeur.
- Du matin au soir je bronzais.
- Vous vous bronziez ?
Eh bien, grelotez maintenant !

Nombre de messages : 173

Le requin et la tortue

Le requin ayant nagé

Toute l'année se trouva.

Bien embêté quand, le

soir de Noël fut arrivé.

Pas un seul petit morceaux

De poisson ou de crustacé

Il alla demander à manger

À la tortue qui, elle

À préparé à manger

(cette partie ne correspond pas du tout à la structure du texte de base)

" Je te paierai, lui dit-il,

Avant demain, foi de requin,

Intérêt et principal "

La tortue n'est pas prêteuse.

C'est là son moindre défaut. (Cette partie est identique au texte de base)

" Que faisiez-vous durant l'année ?"

Dit-elle à son emprunt (???).

-Nuit et jour, à tout venant,

Je nageais, ne vous déplaise

- Vous nagiez ? J'en suis la forte aise.

Eh bien ! Chassez, maintenant.

La mise en page sur plusieurs ligne ne correspond pas au texte de base

Nombre de messages : 173

La girafe et l'éléphant

Maître éléphant, sur un rocher affalé
Tenait dans sa trompe un brin d'herbe.
La maîtresse girafe par l'odeur affamée (mal dit = affamé par l'odeur + trop proche du texte de base, c'est exactement la même chose), lui tint.(mise en page)
À peu près ces paroles :
" Eh bonjour monsieur l'éléphant.
Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage (trop identique au texte de base)
Se rapporte à votre pelage,
Vous êtes le roi des hôtes de cette savane."
À ce discours, l'éléphant se sent en gaieté.
Et pour montrer sa beauté
Il déroule sa trompe, laisse tomber son brin d'herbe.
La girafe s'en saisit et affirme.
" Mon gentil monsieur sachez que tout flatteur.
Vis aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien un brin d'herbe sans doute."
L'éléphant honteux et confus,
Juras, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus.

Ce n'est pas vraiment un pastiche. C'est exactement la même histoire, tu as juste mis des synonymes par endroits, et au lieu que ce soit un corbeau et un renard, c'est un éléphant et une girafe, sinon tout est identique.

Nombre de messages : 139

Le corbeau et le renard

Maitre Corbeau, sur son arbre perché
Tenait en son bec un fromage
Maitre Renard, par l'odeur alléché
Lui tint à peu près ce langage :
Et bonjour Monsieur du Corbeau,
Que vous êtes joli ! Que vous me semblez beau !
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le Phoenix des hôtes de ces bois.
A ces mots, le Corbeau ne se sent pas de joie,
Et pour montrer sa belle voix
Il ouvre un large bec, laisse tomber sa proie.
Le renard s'en saisit, et dit : Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute.
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute.
Le Corbeau, honteux et confus,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y reprendrait plus.

Mont pastiche:
Le seigneur du royaume du haut de son château
Regardé travailler ses sujets(p)
Un pauvre serviteur, fatigué de tout le travail imposé(p) ~~par le roi~~
Lui tint à peu près ces propos.
Messire(p) je vous salut(p)

Que vos bijoux sont beaux, comme ils sont nombreux.
S'ils n'étaient pas en toc, vous seriez.
L'homme le plus riche de la contrée(p)
Le roi(p) vexé(p) sentit monter la colère.
Et jeta du haut de sont tous ses bijoux
Afin de montrer toute sa richesse à cet importun(p)
Le serviteur(p) ravi(p) s'en empara.
Et dit (p)apprenez que l'orgueil est un vilain défaut
Me voilà riche maintenant
Le roi penaud (+ un autre adjectif) ferma la fenêtre.
Et ne sortit plus jamais de son château.

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