Quand j'étais petite, je faisais pleins de bêtises. J'avais à peine trois ans, je cherchais le talon d'Achille de mes proies pour les anéantir.

J'ai failli boire de la javel, mais quand j'ai compris que ce n'était pas de l'eau : j'ai décidé de donner ce cheval de Troie à mon frère, car je ne l'aimais pas (et c'est toujours le cas).

Je faisais comme si de rien n'était.

Au début, quand on est petit et qu'on fait des bêtises, on ne demande pas toujours pardon et on ne fait pas toujours son mea culpa.
Cela vient en grandissant.

Ma plus grosse bêtise c'était quand j'avais quatre ou cinq ans. Sur un meuble il y avait un grand pot de fleur avec un grand bouquet de fausses fleurs et sur l'une d'elle il y avait un papillon en plastique. Un jour j'ai voulu toucher le papillon mais, comme j'étais plus petite que le meuble, j'ai fait tomber le pot et je me suis poussée in extremis avant qu'il ne me tombe sur la tête.

Ma plus grosse bêtise quand j'étais petite c'était dans un magasin : j'ai mis une boite de chewing-gums dans le sac de ma mère, mais heureusement ma mère l'a vu in extremis avant de sortir du magasin.

Moi la mienne c'était de manger une pastèque : j'ai réchappé in extremis à l'étouffement, mais bon j'en ai tiré une bonne leçon .   

Nutella a écrit:

Et pas que !  
Nous étions des petits écervelés qui ne comprenaient rien à la vie et qui ne savions pas aligner trois phrases. Mais grâce aux méthodes de notre cher Modo   notre vie a pu changer du tout au tout ! 

Nous avons appris du vocabulaire et l'orthographe avec un tel talent qu'on peut vraiment être fier de nous !  

C'est sûr, quand je pense comment j'écrivais avant, j'ai honte ...

Moi quand j'était  petite , je  m'amusé à  épier mes parents quand ils ce crié dessus ,mais maintenant  cela  ne sert plus à rien 
mes parent  sont séparé.
J'aimé bien m'amusé  à  décrépir les mur  du couloir  c'était  rigolo.
 Pour  faire du brouhaha  toute la journée  ,j'était la meilleure.

Moi ma plus grosse bêtise c'était de mettre de l'eau dans le pot d'échappement de ma voiture!   Je trouvais ça drôle. En fait je badinais parce que je n'aurais pas pensé que c'était grave, sinon je ne l'aurais jamais fait. Je suis fait gravement gronder.    Mon père a vociféré.

Ma deuxième bêtise: j'ai recouvert la télé de Nutella! C'était car la télé me gonflait!    Dès que j'appelais mon père, il me disait:"Attend 30 secondes! ou bien:j'écoute, 2 min!ou bien:CHUT! ! !" Alors c'était ça jusqu'à ce que j'eus la bonne idée de recouvrir la télé de Nutella!  En plus c'est bien gras...et c'est ma mère qui a nettoyé! ! !

Un jour où j'étais dans mon bain, je m'amusais tranquillement et je sautais dans la baignoire.

  Evidemment il y a eu de l'eau partout, quel cauchemar ! Ma mère est montée et je la regardais d'un air affligé quand elle est entrée dans la salle de bain.

 Je me suis faite gronder et j'ai eu droit à un châtiment incroyable tellement elle était en colère.

Moi, c'était quand j'avais entre un et deux ans, j'ai arraché la tapisserie de ma cuisine . Mes parents sont restés impassible en voyant ce désastre : ils ont tellement crié que quand je les voyaient, cela me donner de l'effroi. 

+ contradiction : s'ils crient, c'est qu'ils ne sont pas impassibles du tout. Reformule donc.










  Rugby  

Je me souviens : j'avais fait exprès de perdre mes parents dans un magasin. Ils durent le fermer pour me retrouver.
J'étais caché dans des chemises et, quand je suis sortie de ma cachette, mes parents ont vociférés après moi.

Je me souviens quand j'ai enfermé ma mère dans le sellier. C'était un matin nous étions pressés, car c'était l'heure d'aller à l'école. J'ai suivi ma mère qui prenait un sac et j'ai refermé la porte derrière moi. Là, je l'ai vue devenir livide et ensuite elle a vociféré après moi. J'étais impassible et je suis resté médusé, car je ne comprenais pas ce qu'il se passait. En fait la poignée de la porte ne marchait plus et nous étions donc enfermé à l'intérieur. Heureusement mon frère a su garder un calme olympien et sur les conseils de ma mère il a pu nous ouvrir de l'extérieur. Ce jour-là je me suis attiré les foudres de ma mère.

C'était un beau jour d'été, température ambiante, je jouais dans le jardin avec mon cousin. Quand mon cousin était gardien, il arrêtait tous les buts. J'ai donc cherché son talon d'Achille, j'ai fini par le trouver, c'était dans l'angle gauche de la cage de foot. Je m'élance, je tire, le ballon passa au-dessus de la cage et atterrit dans la vitre donnant au salon.  

Ma mère est tombée des nues, elle est sortie et ma grondée tellement fort, qu'on aurait dit qu'elle voulait me lapider.