Qu'est-ce que Visa Pour L'Image ?
Visa pour l'Image est le festival international de photo journalisme créé en 1989, qui se déroule chaque année dans toute la ville de Perpignan, de fin août à mi-septembre pour une durée de 15 jours.
Il s'agit du principal et plus important festival de photo journalisme en France. Il réunit des milliers de visiteurs autour d'une même passion. Explorez les expositions réparties dans toute la ville et découvrir de saisissants reportages, réalisés par des photos journalistes du monde entier le festival
Ce festival propose non seulement des expositions réparties à travers la ville, mais aussi des conférences, des rencontres internationales et des remises de prix prestigieux aux photographes mondiaux, en récompensant les meilleurs reportages. Les plus célèbres photographes du monde entier se donnent rendez-vous à ce festival. Des photographes comme Herb Ritts ont déjà participé au festival.
Cette photo représente un sans abri Irlandais
Ce festival réuni un grand nombre de photos magnifiques qui nous font ouvrir les yeux sur ce qu'ils se passent dans les autres pays, dans les pays de guerre ou même dans les pays pauvres ou les personnes jettent de l'acide sur les petites filles qui veulent étudier, par exemple !
Malheureusement certaines photos sont choquantes à
les voir. Elles nous donnent mal au cœur de voir des visages défigurés, qui nous font réfléchir sur certaines questions ;
Pourquoi suis-je tranquille alors que certains sont en larme dans un coin ?
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Qu'est-ce qu'il a pu faire, pour qu'il ne soit pas à ma place et moi qu'est-ce que j'ai pu faire pour ne pas être sous les bombes ?
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Aujourd'hui en Haïti, plus de 300 000 enfants sont victimes d'esclavage moderne. De nombreux parents n'ont pas les moyens de nourrir leurs enfants et les confient à des familles aisées, espérant ainsi leur assurer de meilleures conditions de vie et une éducation convenable. En créole haïtien, ces enfants sont appelés des « restavèks », dérivé du français « reste avec ». Cependant, beaucoup de ces enfants deviennent des esclaves et travaillent dans les demeures de leurs « maîtres » du matin au soir. La plupart des restavèks n'ont pas le droit d'aller à l'école et sont victimes de tous les abus, y compris sexuels.
Merci à Barbara pour son aide