COUCOU tout le monde!

Je voudrais savoir, après lecture de ce texte, quel 

est votre point de vue sur la morale de cette histoire .

On ne peut pas faire référence à une série TV bête de 10 minutes et une pièce de théâtre écrite , pensée, du xve siècle, qui retrace les coutumes de la fin du xve  dans la vie d'un couple de petites gens, pauvres, des gens loin de l'aristocratie avec vocabulaire de la rue, la condition de vie du couple de l'époque.

La scène  se joue  autour d'un grand cuvier à lessive .
 Pour info, cela ne se faisait qu'une fois par mois.
Je voudrais avoir d'autre avis sur cet ouvrage que j'ai relu hier soir et je ne suis toujours pas d'accord avec ce qui a été dit en classe. 

Pour moi c'est une scènes de ménages autour du pouvoir de commander  entre un mari et une femme,  plus la belle mère qui est trop présente et qui vient voir tous les jours si tout se passe bien ....Ils se sont mariés il y a moins d'un an.

et la coutume voulait que le mari, la première année de mariage, se plie plus ou moins au exigence de sa femme.

Passer ce délai, les choses doivent normalement rentrer dans l'ordre et: c'est le mari qui commande et la femme qui exécute le travaux domestiques. Jacquinot(le mari) accepte  donc bon gré et mal gré sa domination jusqu’à être frappé par sa femme 

Jacquinot ne peut plus continuer, pour l'époque c'est le monde à l'envers !

La violence et l'affrontement pour remettre de l’ordre dans le ménage ne se font pas sans violence verbale, gestes , propos violents, voire chantage de vie ou de mort ! :

Jacquinot n'est pas aussi sot qu'il paraît il sait profiter de la première occasion pour être le maître de la maison  

À bien y réfléchir, les tâches, les corvées et les travaux domestiques sont très lourds pour les femmes ou hommes .Jacquinot redoute d'avoir à subir la dureté de la condition féminine 

On remarquera que le texte au xve siècle très conservateur puisque ce qui est présenté comme insupportable pour l'homme n'est nullement supposé pénible pour la femme : elle, comme normal, nul ne s'apitoie sur son sort à la fin de la pièce, bien au contraire.