Fiesta a écrit:

D'accord, excusez-moi, toutefois est-ce que je corrige sur la méthode trois, ou serait-il préférable que j'attende de corriger mes fautes en fessant la méthode quatre ?

Je n'avais vraiment pas de mauvais sentiments envers les nains ! De surcroit, je ne suis moi-même pas très grande !

Garde ton message trois corrigé, comme ça il pourra te servir de repère mais tiens juste compte des remarques pour l'étape suivante.

Dans le nouvelle étape, tes CC ne seront plus colorés - pour cela il te suffit de copier coller le post l'étape 3 directement sans passer par éditer- puis d'effacer mes remarques ( en en tenant compte ) : tu mets en gras uniquement les rajouts de l'étape 4 )

Naguère, du temps où, plausiblement, les hommes n'étaient point encore benêts , ils étaient tous des myrmidons ! Depuis leur naissance jusqu'à leur mort, ils restaient assurément petits et rabougris comme des personnes âgées ! Toutefois, pour eux, c'était naturel ! Afin de ne pas passer moult heures à fabriquer des maisons, ils vivaient dans des champignons charmants et multicolores !

En outre, leur baignoire étaient les flaques d'eau cristalline.

Cependant, un jour, je me plaît à croire que ce jour là le soleil scintillait dans le ciel, une jeune fille intrépide, aux cheveux d'un blond fastueux et qui se nommait Aphrodite, n'en peut, assurément, plus de voir toutes les cerises des arbres de la lisière de la forêt se faire picorer par les oiseaux ! Elle convoque alors tout son village pour leur proclamer qu'elle pars sur le champ à la recherche d'un Dieu qui peut leur donner la solution pour pouvoir attraper les cerises sur cet arbre majestueux, aux feuilles d'un vert clair magnifique, entouré de fourrées !


Néanmoins, le peuple, probablement intrigué par cette réflexion étrange d'Aphrodite, la questionne avec assiduité :

" Oui, certes tu vas aller confier notre problème à un Dieu ! Mais auquel ?

Aucun ne pourra résoudre ce problème-là !

- Je pense que si ! rétorque-t-elle d'un ton mystérieux, à mon avis le dieu Zeus sera à mon écoute et me donnera la solution ! "

Zeus, qui de toute évidence depuis son humble demeure écoute tout à la conversation, demande indiscutablement au dieu Hermès de faire s'abattre un vent exécrable sur la vallée d'Aphrodite, qui se nommait la vallée Rouge ! Si Aphrodite arrive à survivre à cette tempête, Zeus irait lui rendre visite ! En pratiquant cette méthode, il saura si Aphrodite est audacieuse et maligne !


Après une marche, à travers les taillis taillant les jambes de tous les passants, marche qui parue , sans doute ,
sempiternelle à Aphrodite, il est possible que celle-ci commence à se questionner concernant le lieu où elle pourrait bien trouver Zeus !

C'est, de toute évidence, à ce moment-là, qu'un vent tonitruant et puissant se mis à souffler, ravageant tout sur son passage !

Aphrodite, qui a la taille d'un pygmée, s'envole ! Elle est probablement tout à coup prise d'une peur soudaine ! Elle a surement des nausées ...



Cependant, comme Aphrodite était remplie de bravoure, elle se ressaisit et essaye à maintes reprises de s'agripper à des fourrées !

Au bout d'un certain temps, c'est sans conteste qu'elle parvint grâce à une chenille de couleurs variées, qui, depuis un arbre apparemment solide, tend son corps à la jeune fille grelottante ! Aphrodite marmonne une phrase en espérant que depuis sa demeure Zeus l'entend pour lui promettre de ne jamais faire de facéties et de toujours être loyale envers lui !

Zeus, qui a indubitablement tout suivi depuis le début, et qui observe surement Aphrodite avec attention, l'entends et ordonne à Hermès d'arrêter ce vent, pour qu'il puisse aller converser avec cette jeune fille si déterminée !

Zeus descendit donc sur terre pour voir Aphrodite et la questionne :

"Alors, petite, tu as nécessairement bravé la tempête pour venir me voir ?

- Oh oui ! Un moment j'ai même cru que j'allais passer de vie à trépas, la tempête m'a emportée très haut dans le ciel ! lui répondit-elle d'un ton encore tout grelottant.

- Eh oui, petite, c'est bien, tu as fait preuve de bravoure ! Tu es une personne valeureuse ! " soutint-t-il d'une voix certainement chaleureuse.

- Merci, toutefois, je suis là pour que vous me renseigniez sur un moyen d'attraper les cerises sur les arbres car j'en ai diantrement assez de les voir se faire dévorer par les oiseaux mesquins, j'aimerais aussi en goûter ! s'exclame-t-elle d'un ton envieux.

- Mmmh ... Je ne sais pas ! Il faudrait peut-être être plus ... grand ... ! déclare-t-il pensif.

- Oh, quelle bonne idée ! Pourriez-vous nous faire grandir à moi et à mon peuple ? questionne-t-elle avec entrain tout en souriant de bonheur.

- Je pense pouvoir vous faire grandir étant donné que tu as fait preuve de piété ! Néanmoins, tous les hommes n'auront pas accès à une taille élevée dès leur naissance, car comme je les connais bien, je sais qu'ils sont remplis d'orgueil et n'arrêteront pas de s'en vanter ! En fonction, de la façon dont ils s'accompliront leurs devoirs, ils seront plus ou moins grands !

Toutefois, tous ceux qui font preuve un jour d'impiété arrêteront immédiatement de grandir !

De surcroit, tous les hommes arrêteront de grandir à partir de vingt-deux ans, autrement si je les laisse grandir jusqu'à la fin de leur vie, nous nous retrouverions au monde des géants !


Ce contrat te convient-il ? débriefe-t-il avec conviction.

- Oh oui ! Bien sûr ! J'en suis ravie ! s'exclame-t-elle en sautant de joie, évidemment .

- Tu as fait preuve de piété et d'énormément de bravoure à partir d'aujourd'hui tu vas être colossale ! " affirme-t-il cordialement.

Étape cinq : ajoutez plusieurs connecteurs logiques :

Naguère, du temps où, plausiblement, les hommes n'étaient point encore benêts , c'étaient effectivement tous des myrmidons ! Depuis leur naissance jusqu'à leur mort, ils restaient assurément petits et rabougris comme des personnes âgées ! Toutefois, pour eux, c'était naturel ! Afin de ne pas passer moult heures à fabriquer des maisons, ils vivaient dans des champignons charmants et multicolores !

En outre, leur baignoire étaient les flaques d'eau cristalline.

Cependant, un jour, je me plaît à croire que ce jour là le soleil scintillait dans le ciel, une jeune fille intrépide, aux cheveux d'un blond fastueux et qui se nommait Aphrodite, n'en peut, assurément, plus de voir toutes les cerises des arbres de la lisière de la forêt se faire picorer par les oiseaux ! Par conséquent, elle convoque alors tout son village pour leur proclamer qu'elle pars sur le champ à la recherche d'un Dieu qui peut leur donner la solution pour pouvoir attraper les cerises sur cet arbre majestueux, aux feuilles d'un vert clair magnifique, entouré de fourrées !


Néanmoins, le peuple, probablement intrigué par cette réflexion étrange d'Aphrodite, la questionne avec assiduité :

" Oui, certes tu vas aller confier notre problème à un Dieu ! Mais auquel ?

Or, aucun ne pourra résoudre ce problème-là !

- Je pense que si ! rétorque-t-elle d'un ton mystérieux, en effet, à mon avis le dieu Zeus sera à mon écoute et me donnera la solution ! "

Zeus, qui de toute évidence depuis son humble demeure écoute tout à la conversation, demande indiscutablement au dieu Hermès de faire s'abattre un vent exécrable sur la vallée d'Aphrodite, qui se nommait la vallée Rouge ! Si Aphrodite arrive à survivre à cette tempête, Zeus irait conséquemment lui rendre visite ! En pratiquant cette méthode, il saura si Aphrodite est audacieuse et maligne !wink


Après une marche, à travers les taillis taillant les jambes de tous les passants, marche qui parue , sans doute ,
sempiternelle à Aphrodite, il est possible que celle-ci commence à se questionner concernant le lieu où elle pourrait bien trouver Zeus !

C'est, de toute évidence, à ce moment-là, qu'un vent tonitruant et puissant se mis à souffler, ravageant tout sur son passage !

C'est pourquoi Aphrodite, qui a la taille d'un pygmée, s'envole ! Elle est probablement tout à coup prise d'une peur soudaine ! Elle a surement des nausées ...



Cependant, comme Aphrodite était remplie de bravoure, elle se ressaisit et essaye à maintes reprises de s'agripper à des fourrées !

Au bout d'un certain temps, c'est sans conteste qu'elle parvint grâce à une chenille de couleurs variées, qui, depuis un arbre apparemment solide, tend son corps à la jeune fille grelottante ! Aphrodite marmonne une phrase afin que depuis sa demeure Zeus l'entend pour lui promettre de ne jamais faire de facéties et de toujours être loyale envers lui !

De surcroit, Zeus, qui a indubitablement tout suivi depuis le début, et qui observe surement Aphrodite avec attention, l'entends et ordonne à Hermès d'arrêter ce vent, pour qu'il puisse aller converser avec cette jeune fille si déterminée !

Zeus descendit donc sur terre pour voir Aphrodite et la questionne :

"Alors, petite, tu as nécessairement bravé la tempête pour venir me voir ?

- Oh oui ! En revanche, un moment j'ai même cru que j'allais passer de vie à trépas, la tempête m'a emportée très haut dans le ciel ! lui répondit-elle d'un ton encore tout grelottant.

- Eh oui, petite, c'est bien, tu as fait preuve de bravoure ! Tu es une personne valeureuse ! " soutint-t-il d'une voix certainement chaleureuse.

- Merci, toutefois, je suis là pour que vous me renseigniez sur un moyen d'attraper les cerises sur les arbres car j'en ai diantrement assez de les voir se faire dévorer par les oiseaux mesquins, j'aimerais aussi en goûter ! s'exclame-t-elle d'un ton envieux.

- Mmmh ... Je ne sais pas ! En fait, il faudrait peut-être être plus ... grand ... ! déclare-t-il pensif.

- Oh, quelle bonne idée ! Pourriez-vous nous faire grandir à moi et à mon peuple ? questionne-t-elle avec entrain tout en souriant de bonheur.

- Certes, je pense pouvoir vous faire grandir étant donné que tu as fait preuve de piété ! Néanmoins, tous les hommes n'auront pas accès à une taille élevée dès leur naissance, car comme je les connais bien, je sais qu'ils sont remplis d'orgueil et n'arrêteront pas de s'en vanter ! En fonction, de la façon dont ils s'accompliront leurs devoirs, ils seront plus ou moins grands !

Toutefois, tous ceux qui font preuve un jour d'impiété arrêteront immédiatement de grandir !

De surcroit, tous les hommes arrêteront de grandir à partir de vingt-deux ans, autrement si je les laisse grandir jusqu'à la fin de leur vie, nous nous retrouverions au monde des géants !


Ce contrat te convient-il ? débriefe-t-il avec conviction.

- Oh oui ! Bien sûr ! J'en suis ravie ! s'exclame-t-elle en sautant de joie, évidemment .

- Tu as fait preuve de piété et d'énormément de bravoure, par conséquent à partir d'aujourd'hui tu vas être colossale ! " affirme-t-il cordialement.

Etape 6 : Répétoscopes ( éviter les répétitions )

Modification en marron !


Naguère, du temps où, plausiblement, les hommes n'étaient point encore benêts , c'étaient effectivement tous des myrmidons ! A partir de leur naissance jusqu'à leur mort, ils restaient assurément petits et rabougris comme des personnes âgées ! Néanmoins, pour eux, c'était naturel ! Afin de ne pas passer moult heures à fabriquer des maisons, ils vivaient dans des champignons charmants et multicolores !

En outre, leur baignoire étaient les flaques d'eau cristalline.

Cependant, un jour, je me plaît à croire que ce jour là le soleil scintillait dans le ciel, une pucelle intrépide, aux cheveux d'un blond fastueux et qui se nommait Aphrodite, n'en peut, assurément, plus de voir toutes les cerises des arbres de la lisière de la forêt être picorer par les oiseaux ! Par conséquent, elle convoque alors tout son village pour leur proclamer qu'elle pars sur le champ à la recherche d'un Dieu qui peut leur donner la solution pour pouvoir attraper les cerises sur cet arbre majestueux, aux feuilles d'un vert clair magnifique, entouré de fourrées !


Néanmoins, le peuple, probablement intrigué par cette réflexion étrange de la jeune jouvencelle ( adolescente ) encore toute juvénile ( actif et jeune ) , l'interroge avec assiduité :

" Oui, certes tu vas aller confier notre problème à un Dieu ! Mais auquel ?

Or, aucun ne pourra résoudre ce problème-là !

- Je pense que si ! rétorque-t-elle d'un ton mystérieux, en effet, à mon avis le dieu Zeus sera à mon écoute et me donnera la solution ! "

Zeus, qui de toute évidence depuis son humble demeure écoute tout à la conversation, demande indiscutablement au dieu Hermès d'abattre un vent exécrable sur la vallée de la demoiselle pimpante, qui se nommait la vallée Rouge ! Si Aphrodite arrive à survivre à la tempête, Zeus irait conséquemment lui rendre visite ! En pratiquant cette méthode, il saura si la demoiselle est audacieuse et maligne !


Après une marche, à travers les taillis taillant les jambes de tous les passants, marche qui parue , sans doute ,
sempiternelle à Aphrodite, il est possible que celle-ci commence à se questionner concernant le lieu où elle pourrait bien trouver Zeus !

C'est, de toute évidence, à ce moment-là, qu'un vent tonitruant et puissant se mis à souffler, ravageant tout sur son passage !

C'est pourquoi Aphrodite, qui a la taille d'un pygmée, s'envole ! Elle est probablement tout à coup prise d'une peur soudaine ! Elle a surement des nausées ...



Cependant, comme elle était remplie de bravoure, elle se ressaisit et essaye à maintes reprises de s'agripper à des fourrées !

Au bout d'un certain temps, c'est sans conteste qu'elle parvint grâce à une chenille de couleurs variées, qui, depuis un arbre apparemment solide, tend son corps à la jeune fille grelottante ! Celle-ci, marmonne une phrase afin que depuis sa demeure Zeus l'entend pour lui promettre de ne jamais susciter des facéties et de toujours être loyale envers lui !

De surcroit, Zeus, qui a indubitablement tout suivi depuis le début, et qui observe surement Aphrodite avec attention, l'entends et ordonne à Hermès d'arrêter ce vent, pour qu'il puisse aller converser avec cette fillette si déterminée !

Zeus descendit donc sur terre pour la voir et la débriefe :

"Alors, petite, tu as nécessairement bravé la tempête pour venir me voir ?

- Oh oui ! En revanche, un moment j'ai même cru que j'allais passer de vie à trépas, la rafale m'a emportée très haut dans le ciel ! lui répondit-elle d'un ton encore tout grelottant.

- Eh oui, petite, c'est bien, tu as fait preuve de bravoure ! Tu es une personne valeureuse ! " soutint-t-il d'une voix certainement chaleureuse.

- Merci, toutefois, je suis là pour que vous me renseigniez sur un moyen d'attraper les cerises sur les arbres car j'en ai diantrement assez de les voir se faire dévorer par les oiseaux mesquins, j'aimerais aussi en goûter ! s'exclame-t-elle d'un ton envieux.

- Mmmh ... Je ne sais pas ! En fait, il faudrait peut-être être plus ... grand ... ! déclare-t-il pensif.

- Oh, quelle bonne idée ! Pourriez-vous nous faire accroître à moi et à mon peuple ? questionne-t-elle avec entrain tout en souriant de bonheur.

- Certes, je pense pouvoir vous faire grandir étant donné que tu as fait preuve de piété ! Néanmoins, tous les hommes n'auront pas accès à une taille élevée dès leur naissance, car comme je les connais bien, je sais qu'ils sont remplis d'orgueil et n'arrêteront pas de s'en vanter ! En fonction, de la façon dont ils s'accompliront leurs devoirs, ils seront plus ou moins grands !
Cependant, je pense que en fonction de leur caractères je leur attribuerait la bonne taille ! : wink :

De surcroit, tous les hommes arrêteront de s'amplifier à partir de vingt-deux ans, autrement si je les laisse grandir jusqu'à la fin de leur vie, nous nous retrouverions au monde des géants !

Ce contrat te convient-il ? débriefe-t-il avec conviction.

- Oh oui ! Bien sûr ! J'en suis ravie ! s'exclame-t-elle en sautant de joie, évidemment.

- En outre, toi, tu as droit à être d'une taille convenable, dès maintenant, car tu es brave et tu as fait preuve de piété ! affirme-t-il avec attention.

La fillette rempli de bonheur, rentre donc chez elle pour annoncer la bonne nouvelle ! Cependant, en rentrant, elle écrase son petit frère ! Qui, était du coup vraiment petit, étant donné qu'elle a grandi, et que l'effet ne se fait sur les habitants du village que lorsqu'elle annonce la nouvelle, certaines personnes sont heureuse, d'autres moins, il y a en effet quand même eu un décès...

Moi je dis il n'y a rien à dire j'aime encore plus ton récit !

Je prend plaisir a le lire !

Merci, cela me fait vraiment plaisir ! Toutefois, je pense que je ne suis pas vraiment dans mes droits, étant donné que j'étais censé le rendre mardi ! Je suis vraiment navrée ! Je n'ai pas vraiment eu le temps de la faire pendant les vacances !

Ah oui oupss mais, je suis sûr que notre cher est grand Modo va te comprendre !

Certes, de surcroît ton travail est précis, sérieux et très bien.

Naguère, du temps où, plausiblement, les hommes n'étaient point encore benêts , ils étaient effectivement tous des myrmidons ! A partir de leur naissance jusqu'à leur mort, ils restaient assurément petits et rabougris comme des personnes âgées ! Néanmoins, pour eux, c'était naturel ! Afin de ne pas passer moult heures à fabriquer des maisons, ils vivaient dans des champignons charmants et multicolores !
En outre, leur baignoire étaient les flaques d'eau cristallines.



Cependant, un jour, je me plais à croire que ce jour là le soleil scintillait dans le ciel, une pucelle intrépide, aux cheveux d'un blond fastueux et qui se nommait Aphrodite, n'en peut, assurément, plus de voir toutes les cerises des arbres de la lisière de la forêt être picorer par les oiseaux ! Par conséquent, elle convoque alors tout son village pour leur proclamer qu'elle part sur le champ à la recherche d'un Dieu qui peut leur donner la solution pour pouvoir attraper les cerises sur cet arbre majestueux, aux feuilles d'un vert clair magnifique, entouré de fourrées !




Néanmoins, le peuple, probablement intrigué par cette réflexion étrange de la jeune jouvencelle ( adolescente ) encore toute juvénile ( actif et jeune ) , l'interroge avec assiduité :

" Oui, certes tu vas aller confier notre problème à un Dieu ! Mais auquel ?

Or, aucun ne pourra résoudre ce problème-là !

- Je pense que si ! rétorque-t-elle d'un ton mystérieux, en effet, à mon avis le dieu Zeus sera à mon écoute et me donnera la solution ! "

Zeus, qui de toute évidence depuis son humble demeure écoute tout à la conversation, demande indiscutablement au dieu Hermès d'abattre un vent exécrable sur la vallée de la demoiselle pimpante, qui se nommait la vallée Rouge ! Si Aphrodite arrive à survivre à la tempête, Zeus irait surement lui rendre visite ! En pratiquant cette méthode, il saura si la demoiselle est audacieuse et maligne !




Après une marche, à travers les taillis taillant les jambes de tous les passants, marche qui parue , sans doute ,
sempiternelle à Aphrodite, il est possible que celle-ci commence à se questionner concernant le lieu où elle pourrait bien trouver Zeus !

C'est, de toute évidence, à ce moment-là, qu'un vent tonitruant et puissant se mis à souffler, ravageant tout sur son passage !

C'est pourquoi Aphrodite, qui a la taille d'un pygmée, s'envole ! Elle est probablement tout à coup prise d'une peur soudaine ! Elle a surement des nausées ...



Cependant, comme elle était remplie de bravoure, elle se ressaisit et essaye à maintes reprises de s'agripper à des fourrées !

Au bout d'un certain temps, c'est sans conteste qu'elle parvint grâce à une chenille de couleurs variées, qui, depuis un arbre apparemment solide, tend son corps à la jeune fille grelottante ! Celle-ci marmonne une phrase, afin que depuis sa demeure Zeus l'entende, pour lui promettre de ne jamais susciter de facéties et de toujours être loyale envers lui !



De surcroit, Zeus, qui a indubitablement tout suivi depuis le début, et qui observe surement Aphrodite avec attention, l'entends et ordonne à Hermès d'arrêter ce vent, pour qu'il puisse aller converser avec cette fillette si déterminée !

Zeus descendit donc sur terre pour la voir et lui demande :

"Alors, petite, tu as nécessairement bravé la tempête pour venir me voir ?

- Oh oui ! En revanche, un moment j'ai même cru que j'allais passer de vie à trépas, la rafale m'a emportée très haut dans le ciel ! lui répondit-elle d'un ton encore tout grelottant.

- Eh oui, petite, c'est bien, tu as fait preuve de bravoure ! Tu es une personne valeureuse ! " soutint-t-il d'une voix certainement chaleureuse.

- Merci, toutefois, je suis là pour que vous me renseignez sur un moyen d'attraper les cerises sur les arbres car j'en ai diantrement assez de les voir se faire dévorer par les oiseaux mesquins, j'aimerais aussi en goûter ! s'exclame-t-elle d'un ton envieux.

- Mmmh ... Je ne sais pas ! En fait, il faudrait peut-être être plus ... grand ... ! déclare-t-il pensif.

- Oh, quelle bonne idée ! Pourriez-vous nous faire accroître à moi et à mon peuple ? questionne-t-elle avec entrain tout en souriant de bonheur.

- Certes, je pense pouvoir vous faire grandir étant donné que tu as fait preuve de piété ! Néanmoins, tous les hommes n'auront pas accès à une taille élevée dès leur naissance, car comme je les connais bien, je sais qu'ils sont remplis d'orgueil et n'arrêteront pas de s'en vanter ! En fonction, de la façon dont ils s'accompliront leurs devoirs, ils seront plus ou moins grands !
Cependant, je pense que en fonction de leur caractères je leur attribuerait la bonne taille !

De surcroit, tous les hommes arrêteront de s'amplifier à partir de vingt-deux ans, autrement si je les laisse grandir jusqu'à la fin de leur vie, nous nous retrouverions au monde des géants !

Ce contrat te convient-il ? demande-t-il avec conviction.

- Oh oui ! Bien sûr ! J'en suis ravie ! s'exclame-t-elle en sautant de joie, évidemment.

- En outre, toi, tu as droit à être d'une taille convenable, dès maintenant, car tu es brave et tu n'as pas fait preuve d'impiété ! affirme-t-il avec attention.

La fillette rempli de bonheur, rentre donc chez elle pour annoncer la bonne nouvelle ! Cependant, en rentrant, elle écrase son petit frère ! Qui, était du coup vraiment petit, étant donné qu'elle a grandi, et que l'effet ne se fait sur les habitants du village que lorsqu'elle annonce la nouvelle, certaines personnes sont heureuse, d'autres moins, il y a en effet quand même eu un décès...

Depuis l'apparition des premiers hommes sur Terre, il y a eu une évolution de leur apparence physique. En effet, il y a 4,2 millions d'années vivaient les australopithèques qui avaient une face qui fuyait vers l'avant, un FACIÈS SIMESQUE, ainsi qu'une posture que ressemblait à celle des singes.