Quelles sont les définitions de ses mots : l'âtre, suave, opaque, le crépuscule, morose et pacifique ?

Définitions :
L'âtre : partie de la cheminée où l'on fait le feu.


Suave : quelque chose d'exquis, doux au goût.

Opaque : qui n'est pas transparent (des verres opaques)   

Le crépuscule : c'est la tombée de la nuit.

Morose : d'humeur triste.  ( synonyme : maussade )

Pacifique : quelqu'un qui est paisible, qui est pour la paix.


Je relance : Quelles sont les définitions des mots : songer, décrépit, blafard, scintiller, crépiter, le clapotis et amer ?

Songer : rêver, rêvasser
Décrepit : usé par le temps
Blafard : pâle sans éclat
Scintiller : briller d'un éclat caractérisé par la scintillation
Crépiter : bruit de ce qui pétille en brûlant
Clapotis : bruit légers de vagues
Amer : rude au goût


Je relance avec: l'âtre, suave, opaque le crépuscule, séculaire pacifique.

Ce serait peut-être bien, si c'est pour du vocabulaire, de poster une image et de demander de la commenter en utilisant des mots intéressants. Parce que juste demander des définitions, il n'y a pas à réfléchir, ni à savoir utiliser ...

Coubia, il y a déjà les définitions des mots : âtre, suave, opaque, le crépuscule et pacifique !

Séculaire : qui existe depuis plusieurs siècles.( synonyme : centenaire ).
Exemple : un arbre séculaire.

Je relance :
Conjuguez les verbes suivants au présent de l'indicatif :

Résoudre, croire, croître ( grandir ) et jeter.

Citation :

Conjugue le verbe résoudre et donnez sa particularité

Résoudre
Je résous
tu résous
il résout
nous résolvons
vous résolvez
ils résolvent

Il prends s, s, t parce que c'est un verbe en -soudre, qui perd le d   





Je relance une question :



Le chat (Charles Baudelaire)

"Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux
Mêlés de métal et d'agate".

(première strophe)


Comment appelle-t-on cette strophe ?
Et comment sont les rimes ?

Rappel des règles du jeu pour les nouveaux :

Spoiler:

Citation :

Le chat (Charles Baudelaire)

"Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux;
Retiens les griffes de ta patte,
Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux
Mêlés de métal et d'agate".

(première strophe)


Comment appelle-t-on cette strophe ?
Et comment sont les rimes ?

Il s'agit d'un quatrain.
Les rimes sont croisées (ABAB)

Je relance avec le même extrait alors :

Quelle est la figure de style dans "laisse-moi plonger dans tes beaux yeux"?   

La figure de style présente dans cet extrait : "laisse-moi plonger dans tes beaux yeux" est une métaphore avec pour comparé "tes beaux yeux" et pour comparant l'eau, peut-être que l'analogie est la couleur bleue.

Je relance : Combien y a-t-il de pieds pour chaque vers dans cet extrait du dormeur du val d'Arthur Rimbaud  ?

"C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons."

Il y a 12 pieds dans chaque vers, on appelle cela un alexandrin.

Je relance : quelles sont les sortes de rimes dans le texte ci-dessous ?

 Jean de LA FONTAINE (XVIIème siècle)


La Cigale et la Fourmi

La Cigale, ayant chanté
Tout l'été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue :
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
"Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal. "
La Fourmi n'est pas prêteuse :
C'est là son moindre défaut.
Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
- Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
- Vous chantiez ? j'en suis fort aise.
Eh bien! dansez maintenant.

Ce sont des rimes plates.
Elles sont placées comme ceci :
A
A
B
B

Je relance : Comptez les pieds : comment appelle-t-on ce vers ?

De mouche ou de vermisseau.

\De\Mou\che ou\de\ver\mi\sseau.

 il y a 7 pieds dans ce vers.

Je relance: quelles sont les sortes de rimes dans le poème ci-dessous ?

Jean de LA FONTAINE (XVIIème siècle)


La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Boeuf

Une Grenouille vit un Boeuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf,
Envieuse, s'étend, et s'enfle, et se travaille,
Pour égaler l'animal en grosseur,
Disant : "Regardez bien, ma soeur ;
Est-ce assez ? dites-moi ; n'y suis-je point encore ?
- Nenni. - M'y voici donc ? - Point du tout. - M'y voilà ?
- Vous n'en approchez point. "La chétive pécore
S'enfla si bien qu'elle creva.
Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :
Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs,
Tout petit prince a des ambassadeurs,
Tout marquis veut avoir des pages.

Et pour ta question, c'est un jeu de sonorité en s et en ch.

Je relance: 
Quelles sont les figures de styles présentes dans ce poème de Janine Laval ?

CAUCHEMAR

Cohortes grimaçantes de babouins en colère
M'acculent aux abysses. Je tente de crier,
Mais aucun son ne sort de ma bouche « cratère »
Ce volcan éteint. Mes cris se sont solidifiés.

Girouette ballottée aux caprices d'Éole
 J'ignore d'où je viens, je ne sais où je fuis
 Je vois un océan couvert de lucioles :
 Ce sont mille étoiles trouant le ciel bleu nuit.

Je cherche à m'évader de ce rêve angoissant.
Je voudrais m'éveiller, m'arrêter quelque part.
Toucher terre enfin, poser mes bagages pesants.
Arriver dans un port, découvrir une gare.

J'entends le tocsin s'égrener au lointain
Je sors d'un vertigineux brouillard
J'ouvre les yeux dans le noir et soudain
Je comprends que j'ai rêvé. Cauchemar !

Janine Laval

marsi64 a écrit:

Et ceux là, tu les as oubliés ?

Elles ne peuvent être que plates, parce qu'elles ne sont que deux.

Oui tu as raison.

marsi64 a écrit:

Et pour ta question, c'est un jeu de sonorité en s et en ch.

Et ça porte un nom, ça

Lequel ?

Des allitérations.

marsi64 a écrit:

Je relance: 
Quelles sont les figures de styles présentes dans ce poème de Janine Laval ?

CAUCHEMAR

Cohortes grimaçantes de babouins en colère
M'acculent aux abysses. Je tente de crier,
Mais aucun son ne sort de ma bouche « cratère »
Ce volcan éteint. Mes cris se sont solidifiés.

Girouette ballottée aux caprices d'Éole
 J'ignore d'où je viens, je ne sais où je fuis
 Je vois un océan couvert de lucioles :
 Ce sont mille étoiles trouant le ciel bleu nuit.

Je cherche à m'évader de ce rêve angoissant.
Je voudrais m'éveiller, m'arrêter quelque part.
Toucher terre enfin, poser mes bagages pesants.
Arriver dans un port, découvrir une gare.

J'entends le tocsin s'égrener au lointain
Je sors d'un vertigineux brouillard
J'ouvre les yeux dans le noir et soudain
Je comprends que j'ai rêvé. Cauchemar !

Janine Laval

Il faut y trouver combien de figures de style pour gagner ?

Trouve m'en au moins 2.

Je vois une métaphore, avec la bouche qui devient un cratère éteint.
Une autre avec le ciel étoilé qui devient un océan couvert de luciole.

Mais c'est aussi une métaphore. Il en faut deux différentes ?

Oui deux différents.

Une anaphore peut-être ?
Il y a souvent "je" en début de phrase, mais j'ai l'impression que c'est peut-être un peu léger pour parler d'une anaphore ?