Recueillement (Charles Baudelaire)

Sois sage, ô ma douleur,et tiens-toi plus tranquille.
Tu réclamais le soir : il descend le voici
Il estompe ma peine, la lumière vacille
Le soleil se couche, la pénombre est ici.

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille
Tu réclamais le soir : il descend le voici

Il estompe ma peine, la lumière vacille
Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles
L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille
Tu réclamais le soir : il descend le voici.

Il estompe ma peine, la lumière vacille
Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles
L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Les couleurs se ternissent, je m'enferme dans mon île
Elle est belle, elle est douce mais j'entends la sonnerie.

C'est l'heure du sifflement, c'est l'heure du tourment
Quand il faut briser le cocon tiède de l'édredon

Puis se lever et s'envoler doucement
Vers la vie réelle et d'autres horizons

Je m'élève vers mes rêves
qui m'attirent vers mon soleil

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille
Tu réclamais le soir : il descend le voici.

Il estompe ma peine, la lumière vacille
Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles
L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Les couleurs se ternissent, je m'enferme dans mon île
Elle est belle, elle est douce mais j'entends la sonnerie.

C'est l'heure du sifflement, c'est l'heure du tourment
Quand il faut briser le cocon tiède de l'édredon

Puis se lever et s'envoler doucement
Vers la vie réelle et d'autres horizons

Je m'élève vers mes rêves
qui m'attirent vers mon soleil

Je suis bien loin de mon réveil
Qui peut arrêter mes chers rêves

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille
Tu réclamais le soir : il descend le voici.

Il estompe ma peine, la lumière vacille
Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles
L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Les couleurs se ternissent, je m'enferme dans mon île
Elle est belle, elle est douce mais j'entends la sonnerie.

C'est l'heure du sifflement, c'est l'heure du tourment
Quand il faut briser le cocon tiède de l'édredon

Puis se lever et s'envoler doucement
Vers la vie réelle et d'autres horizons

Je m'élève vers mes rêves
qui m'attirent vers mon soleil

Je suis bien loin de mon réveil
Qui peut arrêter mes chers rêves

La réalité a pris le dessus
et ma douleur s'est réveillée

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille
Tu réclamais le soir : il descend le voici.

Il estompe ma peine, la lumière vacille
Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles
L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Les couleurs se ternissent, je m'enferme dans mon île
Elle est belle, elle est douce mais j'entends la sonnerie.

C'est l'heure du sifflement, c'est l'heure du tourment
Quand il faut briser le cocon tiède de l'édredon

Puis se lever et s'envoler doucement
Vers la vie réelle et d'autres horizons

Je m'élève vers mes rêves
qui m'attirent vers mon soleil

Je suis bien loin de mon réveil
Qui peut arrêter mes chers rêves ?

La réalité a pris le dessus
et ma douleur s'est réveillée

Comment faire pour apaiser
Ces incessants souvenirs du passés ?

Sujet: Re: Continuer les deux premiers vers d'un poème

Dim 17 Aoû - 13:11

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille

Tu réclamais le soir : il descend le voici.

Il estompe ma peine, la lumière vacille

Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles

L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Les couleurs se ternissent, je m'enferme dans mon île

Elle est belle, elle est douce mais j'entends la sonnerie.

C'est l'heure du sifflement, c'est l'heure du tourment

Quand il faut briser le cocon tiède de l'édredon

Puis se lever et s'envoler doucement

Vers la vie réelle et d'autres horizons

Je m'élève vers mes rêves

qui m'attirent vers mon soleil

Je suis bien loin de mon réveil

Qui peut arrêter mes chers rêves ?

La réalité a pris le dessus

et ma douleur s'est réveillée

Comment faire pour apaiser

Ces incessants souvenirs du passés ?

Peut-être devrai -je aussi ne plus dormir

Mais cela m'est impossible

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille

Tu réclamais le soir : il descend le voici.

Il estompe ma peine, la lumière vacille

Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles

L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Les couleurs se ternissent, je m'enferme dans mon île

Elle est belle, elle est douce mais j'entends la sonnerie.

C'est l'heure du sifflement, c'est l'heure du tourment

Quand il faut briser le cocon tiède de l'édredon

Puis se lever et s'envoler doucement

Vers la vie réelle et d'autres horizons

Je m'élève vers mes rêves

qui m'attirent vers mon soleil

Je suis bien loin de mon réveil

Qui peut arrêter mes chers rêves ?

La réalité a pris le dessus

et ma douleur s'est réveillée

Comment faire pour apaiser

Ces incessants souvenirs du passés ?

Peut-être devrai -je aussi ne plus dormir

Mais cela m'est impossible

Ou devrais-je me refaire une vie

Mais je n'arrive pas à ne plus y penser

Sois sage, ô ma Douleur, et tiens toi plus tranquille

Tu réclamais le soir : il descend le voici.

Il estompe ma peine, la lumière vacille

Le soleil se couche, la pénombre est ici.

C'est l'heure des rêves de divines idylles

L'heure du sombre néant et de la paisible nuit.

Les couleurs se ternissent, je m'enferme dans mon île

Elle est belle, elle est douce mais j'entends la sonnerie.

C'est l'heure du sifflement, c'est l'heure du tourment

Quand il faut briser le cocon tiède de l'édredon

Puis se lever et s'envoler doucement

Vers la vie réelle et d'autres horizons

Je m'élève vers mes rêves

qui m'attirent vers mon soleil

Je suis bien loin de mon réveil

Qui peut arrêter mes chers rêves ?

La réalité a pris le dessus

et ma douleur s'est réveillée

Comment faire pour apaiser

Ces incessants souvenirs du passés ?


C'est superbe