Très chouette.

Une petite maladresse de vocabulaire :

Citation :

les Dieux et les Titans s'affrontaient avec ferveur

Vérifie le sens de ce mot, je ne trouve pas qu'il soit adapté dans ce contexte. Trouve un synonyme plus en rapport avec le sens de ta phrase.

Merci Modo. J'ai vérifié les définitions. J'ai remplacé "avec ferveur" par "avec ardeur".

Voilà. La ferveur étant une sorte d'enthousiasme presque religieux, le mot colle difficilement avec la phrase. En revanche, "avec ardeur" colle parfaitement au texte.

C'est tout simplement, EXRAORDINAIRE !
Je ne pensais pas moi aussi pouvoir faire une rédaction aussi belle, mais avec les astuces pour développer les phrases et le vocabulaire je suis très contente de la mienne aussi !



Bravo Gavroche !  

Ton texte est extraordinaire. J'ai lu le tien aussi Cerise, il est super ...

Merci, mais le tien aussi est très bien, je l'ai lu  

PS : Tu as ton Fan Club, Gavroche !  

Bravo Gavroche

J'étais absente pendant les vacances et aujourd'hui, à mon retour, j'ai vu qu'il fallait mettre différentes couleurs pour chaque expansions du nom. J'ai fait les rectifications, même si c'est un peu tard.

Et merci à Cerise, Carambar et Léa.

De rien ! c'est mérité surtout !

Citation :

Eprouvant un amour indéfectible pour son peuple, avec qui elle avait grandi

Ce n'est pas un CDN, c'est une proposition subordonnée relative ( tu as un pronom relatif ... qui introduit un verbe)

D'accord. J'ai rectifié, mais en fait je m'étais posée la question et j'ai hésité et finallement j'ai cru que c'était un CDN car il était introduit par avec. Merci Modo. Par contre, je n'ai réussi à rajouter qu'un seul CDN car j'en avais déjà beaucoup dans mon texte. Est-ce que je devais mettre en couleur aussi ceux que j'avais déjà trouvés?

Oh Modo, vous cherchez vraiment la petite bête !
Il fallait être totalement concentré pour trouver une faute pareil !

PareilLE  

Le BP existe Cerise

Citation :

Il fallait être totalement concentré pour trouver une faute pareil !

Eh oui, c'est un boulot

Pour répondre à Gavroche, ça va, pas de souci

Texte au propre

Comment les Montagnes furent créées?

               Naguère, dans l'univers, les Dieux et les Titans indestructibles s'affrontaient avec ardeur. Ces belligérants voulaient dominer la galaxie dont la conquête les faisait rêver et affermir leur pouvoir, afin d'être les plus redoutés. Les Titans colossaux possédaient les planètes Uranus, Mars et Pluton tandis que les puissants Dieux, eux, détenaient Jupiter, Mercure et Neptune. La conquête de l'univers était leur priorité car chacun d'entre eux désirait en être le maître incontesté.






               Un jour qu'ils étaient en trève, les chefs des deux clans virent une planète inconnue. En outre, celle-ci était la seule que personne n'avait encore sa possession. Chacun de leur côté, dans leurs cités, ils préparèrent leur illustre armée pour l'invasion de ce territoire mystérieux.







               Comme ils étaient très curieux, Zeus, chef des dieux, et Cronos, chef des titans, allèrent sur cette planète nommée Terre avec leurs vigoureux soldats que tout le monde redoutait. Installés sur une vaste contrée ensoleillée, Zeus se prépara à la lutte contre son ennemi, en savourant déjà son futur prestige:

"Soldats, nous sommes à l'aube d'une virulente bataille dont l'aboutissement est incertain. Soyons forts et confirmons notre puissance céleste, en étant les plus malins."


          
         Avec beaucoup d'entrain, ils commencèrent à se battre sur une immense plaine verdâtre, avec des arcs en or pour les dieux et des arcs en os pour les titans. Leur combat, pendant lequel ils firent tout leur possible, dura des jours et des nuits. Ce conflit interminable épuisait les êtres suprêmes, belliqueux. Au bout de trois mois, ils furent à court de munitions dont ils avaient tant besoin. Chacun cherchait une nouvelle stratégie pour enfin terrasser son adversaire. Cronos, furibond, en perdait le sommeil, car il était toujours en alerte, jusqu'à ce que son prétentieux dauphin eut une idée. Il la raconta à son père:

"Je pense avoir une ultime solution pour dévaster efficacement l'armée de Zeus."

Cronos, perplexe, questionna son fils sur son plan:

"Quel est-il ? Comment comptes-tu anéantir ces dieux chevronnés dans l'art de faire la guerre ?

- Ma stratégie, sur laquelle j'ai longuement réfléchi, consiste à lancer massivement des pavés sur les dieux."


          
           Sans aucune hésitation, Cronos approuva sa tactique.
Héra, déesse du mariage et de la fécondité, espionnait le camp adverse, en se faisant passer pour une servante des Titans, lorsqu'elle entendit le plan infaillible de Cronos. Eprouvant un amour indéfectible pour son peuple,avec qui elle avait grandi, elle alla le dire à son mari, Zeus. Ce dernier, vindicatif, éprouva une grande allégresse à déjouer la stratégie des Titans, en adoptant le même projet, puisque lui-même ne trouvait aucune solution pour combattre les géants. Et, par une belle matinée de printemps, la guerre des pavés commença. Elle était terriblement longue, car ils se manquaient à chaque fois. Plus le temps passait, plus la frayeur des terriens grandissait. Leur crainte incommensurable était de voir leur planète entièrement ruinée par cette bataille sans fin.





               Bien des années plus tard, les hommes fatigués par la persévérance des Dieux et des Titans, décidèrent d'envoyer un porte-parole expérimenté auprès des tout puissants, dans le but d'arrêter la guerre. Zeus et Cronos, intrigués par ce petit être, acceptèrent de l'écouter avec beaucoup d'attention :

"Mon peuple est pacifique et souhaite que vous cessiez au plus vite ce massacre que tout le monde appréhende. Regardez autour de vous. Nous ne sommes que de simples mortels et des êtres minuscules. Vous, par votre grandeur, vous êtes la puissance, le pouvoir, vous êtes éternels. L'intensité de vos combats dévaste entièrement notre terre. Des hommes meurent tous les jours.

- Qui es-tu pour oser nous affronter sur notre territoire de guerre? répondit Cronos.

- Je ne suis rien à côté de vous, mais vos facétieuses hostilités doivent s'arrêter. Votre ténacité est grande, mais, je vous en supplie, au nom de mon peuple, renoncez."

Zeus, intrigué par l'arrogance et le courage de ce petit homme, décida de parler à Cronos :

"Ce terrien a raison. As-tu vu la panique dans ses yeux ?

- Non ! Continuons le combat dès aujourd'hui. Je te vaincrai et je serai enfin à l'apogée de ma puissance. Ta résistance ne sera pas de taille contre moi qui suis éternel. "



          Rhéa, épouse adorée de Cronos, lasse de l'entêtement sans borne de son mari, intervint :

"Arrêtons là maintenant et servons-nous de notre force pour créer et non pour détruire. Ton coeur sera apaisé et tu pourras vivre sereinement.

- Soit ! Qu'il en soit ainsi. Mais seul mon amour infini pour toi me fait prendre cette décision conséquente."







            Après ces négociations, les Dieux et les Titans firent enfin la paix autour d'un bon buffet, lequel réconcilia les deux clans et la Terre ne fut pas dominée. Au cours du temps, les pavés s'étaient amoncelés ici et là, et avaient modifié considérablement le relief de la planète. De monumentaux tas de pierres s'hérissaient un peu partout. Les terriens contemplèrent ces monceaux de pavés dont la hauteur était démesurée et les appelèrent montagnes.

Et c'est comme ça que les montagnes furent créées.

Super !

Etape 3 


Incipit situation initiale.
La Blanchotte vit un gus élégant dans la rue à 17:30. Elle tomba sous son charme.
L'homme vint lui parlait en rougissant.
"Bonsoir, je vois que vous êtes toute seule puis-je vous proposer un verre ?
-J'en serais ravie, mais à qui ai-je l'honneur et pour quand?
-Appelez moi Alexandre, maintenant si possible à La Crêperie des pirates.


Quelques minutes après (ellipse)  celui qui allait devenir le père de Simon (anticipation) invita la dame à une brasserie vers 21:00.


"Cette brasserie  a l'air coquet je me trompe?
-Oui il-est, je le trouve charment et il font de la nourriture exquise!
-Je verrais s'il-est comme vous le désignez.
C'est un de mes meilleurs repas la crêpe en chapeau de pirate était excellente."


Ils sortirent vers 23:25  et s'invitèrent chez eux.




Élément perturbateur.
Quelque heure après un autre homme insulta  l'individu qui parlait à la Blanchotte dans une ruelle.



"Quel est ce rustre bougre qui ose m'insulter !
-Tu prend ma femme et tu m'insultes de rustre !
-Att...attend t'avais déjà un époux !
-Cesse ton interrogatoire humain indigne !"
La Blanchotte s'écria.
"Arrêtez ce conflit!" 




Les adultes commencèrent à se rapprocher petit à petit
Ils se frappèrent à coup de pied de poing.
L'amant porta un coup de poing au nez du rustre homme et il termina au sol.




"C'est bon tu as terminé tes chamailleries petit.
-Laisse le Alexandre il a mérité.
-Tu vas tout m'expliquer avant.
-C'est un homme qui m'harcèle depuis longtemps.
Pour que l'on soit ensemble.
-Pourquoi tu n'as pas déposé de plainte ?
-Il m'a menacé de me tuer en me torturant. 








Péripéties
Quelques mois plus tard (ellipse), la femme se souvint de la dispute qui avait éclaté à cause d'elle.
"Tu te souviens du minable harceleur?
-Oui il c'est prit une sacré raclée mais je dois allé au tribunal à tout à heure"
L'homme partit à la salle d'audience pour plaider non coupable sur blessures aggravés        
                      




"Vous avez faillit le tué au poing, mais vous lui avez casser le nez au poing vous n'avez pas de cassier judiciaire donc vous irez pas en prison mais vous payerais une amande de 180$.
-Merci monsieur le juge je ne recommencerais plus."
Quand  l'acquitté rentra chez lui il tomba sur des voleurs qui lui ont prit son portefeuille en arrachant sauvagement des mains de l'acquitté.Il mit sous silence cette histoire.






Élément de résolution.
Le gentil juge  laissa partir l'homme, mais s'il recommençait c'était la prison.
"Si pour fêtait ça nous allions à la buvette d'à côté?
-Oui excellente idée nous allons y aller à pied." 
Après le dîner ils rentrèrent chez eux en rigolant,car ils avaient trop bue.
Ils rentrèrent à 1 heure du matin.








Situation finale.(ouverte)
 L'homme eut un enfant qui s'appela Simon.

Etape 4

ncipit situation initiale.
La Blanchotte vit un gus élégant dans la rue à 17:30. Elle tomba sous son charme.
L'homme vint lui parlait en rougissant.
"Bonsoir, je vois que vous êtes toute seule puis-je vous proposer un verre ?
-J'en serais ravie, mais à qui ai-je l'honneur et pour quand?
-Appelez moi Alexandre, maintenant si possible à La Crêperie des pirates.

Quelques minutes après (ellipse)  celui qui allait devenir le père de Simon (anticipation) invita la dame à une brasserie vers 21:00.
"Cette brasserie  a l'air coquet je me trompe?
-Oui il-est, je le trouve charment et il font de la nourriture exquise!
-Je verrais s'il-est comme vous le désignez.
C'est un de mes meilleurs repas la crêpe en chapeau de pirate était excellente."
Ils sortirent vers 23:25  et s'invitèrent chez eux.




Élément perturbateur.
Quelque heure après un autre homme insulta  l'individu qui parlait à la Blanchotte dans une ruelle.



"Quel est ce rustre bougre qui ose m'insulter !
-Tu prend ma femme et tu m'insultes de rustre !
-Att...attend t'avais déjà un époux !
-Cesse ton interrogatoire humain indigne !"
La Blanchotte s'écria.
"Arrêtez ce conflit!" 


Les adultes commencèrent à se rapprocher petit à petit
Ils se frappèrent à coup de pied de poing.
L'amant porta un coup de poing au nez du rustre homme et il termina au sol.


"C'est bon tu as terminé tes chamailleries petit.
-Laisse le Alexandre il a mérité.
-Tu vas tout m'expliquer avant.
-C'est un homme qui m'harcèle depuis longtemps.
Pour que l'on soit ensemble.
-Pourquoi tu n'as pas déposé de plainte ?
-Il m'a menacé de me tuer en me torturant. 




Péripéties
Quelques mois plus tard (ellipse), la femme se souvint de la dispute qui avait éclaté à cause d'elle.
"Tu te souviens du minable harceleur?
-Oui il c'est prit une sacré raclée mais je dois allé au tribunal à tout à heure"
L'homme partit à la salle d'audience pour plaider non coupable sur blessures aggravés         (à la salle d'audience)
                      


"Vous avez faillit le tué au poing, mais vous lui avez casser le nez au poing vous n'avez pas de cassier judiciaire donc vous irez pas en prison mais vous payerais une amande de 180$.
-Merci monsieur le juge je ne recommencerais plus."
Quand  l'acquitté rentra chez lui il tomba sur des voleurs qui lui ont prit son portefeuille en arrachant sauvagement des mains de l'acquitté.Il mit sous silence cette histoire.



Élément de résolution.
Le gentil juge  laissa partir l'homme, mais s'il recommençait c'était la prison.
"Si pour fêtait ça nous allions à la buvette d'à côté?
-Oui excellente idée nous allons y aller à pied." 
Après le dîner ils rentrèrent chez eux en rigolant,car ils avaient trop bue.
Ils rentrèrent à 1 heure du matin.




Situation finale.(ouverte)
 L'homme eut un enfant qui s'appela Simon.








CC:temps
CC lieu
CC manière
CC:but
CC:cause
CC:moyen
CC conséquence