Mon pastiche d'une grand pièce, d'un grand dramaturge : 

BERENICE de Jean Racine La grandeur des Romains, la pourpre des Césars, N'a point, vous le savez, attiré mes regards. J'aimais, Seigneur, j'aimais, je voulais être aimée. (...) Je n'écoute plus rien, et pour jamais, adieu. Pour jamais ! Ah ! Seigneur, songez-vous en vous-même Combien ce mot cruel est affreux quand on aime ? Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,W Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ? Que le jour recommence, et que le jour finisse, Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice, Sans que de tout le jour je puisse voir Titus ? Mon pastiche (en construction) : Le luxe des Français, la pauvreté du monde, N'a pas, tu le vois, convaincu mon pays, J'éspére, Moi, j'éspére, je souhaiterais pouvoir éspérer.  (...) Ils travaillent sans rien, et pour toujours, autant. Toujours autant ! Oh ! Mon ami, réveille-toi sur la misère Quand ces gens malheureux meurent épuisé quand on parle. Dans un jour, dans deux jours, qui m'aidera, Mon ami, qu'aucun des hommes t'émeut de sa détresse ? Qui des hommes souhaite, et qui des hommes veut, Avec qui souvent mon ami pourrait-on vouloir la détresse,

Bonjour je voudrais savoir si le poème si-dessous est bien

Remède...

Comme tu m'endors et que tu me soignes,
Que j'ai mal et comme je saigne,
Après cette dure journée,
Après cette dur soirée,
Je saignais mais c'est fini.

Plus de sang, mais une épaisse couche noirâtre,
Le souvenir du chirurgien penché sur moi,
Celle de l'infirmière qui me disait de me calmer.
Une piqûre et le noir total...

Plus de mal. Plus cet ignoble chose,
Rien d'autre que la vie devant moi.
De grand progrès. Un remède contre
Le mal.

alors qu'ils pensaient que l'année serait drôle
elle fut gênée par la venue d'un professeur
qui lui était tout sauf un simple humain farceur
tandis qu'eux était les pires cancres sur terre
et lui semblait sortir tout droit de l’univers
mais qui remplissait même plus que son rôle
pour les rendre supérieurs aux autres élèves
leur dit qu'ils pourront assurer la relève
tandis qu'eux ont pour mission de l'assassiner
afin d’arrêter les plans qu'il a programmé
afin qu'enfin la terre soit sauvée

Un regard vaut mille mots,
Avec les yeux, on exprime ce qu'on ne peut pas dire.

Je me suis perdue dans son regard...

Regard enjoué,
Regard enflammé.

Ce qu'on dit avec les yeux et souvent bien plus facile à comprendre que les paroles,
Yeux pétillants, cœur battant.
Yeux inondés, âme peinée.
Un langage universel, pas besoin de l'apprendre, il est naturel.

Regard enjoué,
Regard enflammé.

                           Phoenix  

Je vous montre un ange. Mais ne suis-je pas un diable ?
Est-ce que je joue un double jeu ?

Si tu retrouves mon cœur, je te l'offrirai.
Univers inventés, c'est la seule chose sur laquelle tu vas tomber.
Invention angélique, pour cacher ma vérité.
S'il te plaît, retrouve moi. Je t'offrirai un sourire.

Un, deux, trois... Je compte mes pas.
Ni une, ni deux, je cours retrouver mon futur.

ADN mélangée, mes deux versions emmêlées.
Ne me crois pas indécise, je suis seulement deux éléments contraires.
Groupe sanguin, je suis A+ et A-, positif et négatif.
En réalité, je suis deux opposés s'attirant. Deux extrêmes rassemblés.

Désormais, je sais que je peux en être deux,
Illusion de votre création, je resterai mienne.
Alors, arrêtez donc de me coller une étiquette,
Bien sûr que je me suis perdue, mais j'ai désormais retrouvé mon chemin.
Oui, j'ai fini par me créer ma voie, je me suis inventée.
Lorsque je dévoilerai mon côté démoniaque.
Il ne restera plus que les gens que rien n'effraie.
Quand je pleurerais, si je me sens mal.
Une faible quantité de personnes, restera à mes côtés.
Et si je dévoile ma réalité, n'oubliez pas que je resterai tout de même moi. Je continuerai d'être ma reine.

Phoenix !!

Voilà un très long poème !

Il aimait la vie,
Dans son entièreté,
Avec ses compromis,
C'est ainsi qu'elle lui plaisait.

Elle redoutait la mort,
Mais ne souhaitait que s'en aller,
Avait-elle tord ?
Jamais elle ne se l'était demandé.

Il aimait la vie,
La croquant à pleine dent.
Elle n'aimait la vie,
Redoutant chaque instant.

Malgré tout, un jour, ils se rencontrèrent,
Mauvaise idée,
Lentement, ils tombèrent,
Quel jeu risqué !

N'oublions pas,
Il aimait la vie,
Elle souhaitait la quitter.

Chaque jour,
Leurs sentiments grandissaient,
Après peu, leur amour
Déjà naissait.

Qui de la fuyante, et de l'aimé,
Serait le plus fort ?
Personne ne le savait,
Mais ils s'aimaient, à tort, on disait.

La jeune fille, belle mais triste,
Et ce garçon, innocent et gentil,
S'aimèrent de longues années,
Qui aurait cru que ça allait dégénérer ?

Quand la fille parla de ses envies,
Le garçon ne la comprit,
Après tout, pourquoi quitter la vie ?
Dans tous ses états, la jeune s'enfuit.

L'amant, perdu et inquiet,
S'imagina le pire,
Pour celle qui avait su le subjuguer,
Qui sait s'il pouvait prédire l'avenir ?

La fuyante, pleura et pleura,
Elle ne comprenait pas,
Pourquoi ce garçon parfait,
Voulait la stopper.

L'aimé pleurait et pleurait,
Il ne comprenait pas pourquoi elle voulait la quitter,
Alors que cette vie,
Avait tout pour faire envie.

Dans leur vide émotionnel,
Certains disaient triste éternelle,
Ils se comprirent mutuellement,
Et retombèrent lentement.

Quand ils se revirent,
Leurs sentiments brûlants,
Prirent le dessus,
Et les deux amants s'aimèrent autant qu'avant.

N'oublions pas,
Il aimait la vie,
Elle souhaitait la quitter.

Petit à petit,
La passion reprit,
Et les tords passés,
Furent oubliés.

Et ils s'aimaient,
Prêt à tout sacrifier,
Et ils profitaient,
Vivant leur réalité.

Qui de la fuyante, et de l'aimé,
Serait le plus fort ?
Personne ne le savait,
Mais ils s'aimaient, à tort, on disait.

Un beau jour ils en parlèrent,
Le garçon fut pris de sanglots,
Quand la fille lui confia
Ses anciens maux.

Et il comprit son envie de tout quitter,
Après tout ce qu'elle avait enduré...
Et il lui promit
Que jamais ça ne recommencerait.

La belle, sourit et sourit,
Quand le garçon lui raconta sa vie,
Elle comprit son désir de rester,
Et de s'en aller quand il aurait profité.

Se comprenant totalement,
Ils s'aidèrent mutuellement,
Renforçant leurs sentiments,
Tout en recréant leur monde.

Mais un beau jour,
Le garçon, maladroitement,
Ouvrit la boîte de Pandore,
Et à partir de là,
Ah quelle cascade...

De jour en jour son état empirait,
Et la fille pour lui priait.
Mais un beau jour, il décida de ne plus lutter,
Et l'avoua à sa bien-aimée.

Mais tu avais promis de rester...
Dit la fille bouleversée,
Et toi tu voulais t'en aller...
Dit le garçon chamboulé.

Pour toi, j'ai décidé de lutter,
S'exclama la fuyante,
De plus, tu devais t'en aller après avoir profité !
Dit-elle énervée.

Je le sais ma douce bien-aimée,
Mais je t'ai rencontré,
Et désormais, je dois m'en aller,
J'aurai le cœur léger.

Ne me quitte pas,
Ce sera mon malheur,
Mais non ma chère,
Reste ici, tu retrouveras le bonheur.

Il soupira et s'en alla...
Et la fuyante pleura et pleura,
Elle le serra dans ses bras,
Et compris que c'était leur combat.

Chaque jour, elle lui rendait hommage,
Reprenant peu à peu courage.
Et souriant pour son amant.

De son côté du ciel,
Il l'observait,
Heureux d'avoir pu l'aider...

Lui qui aimait la vie,
Et elle qui voulait la quitter...
Se sont longtemps aimés,
Mais leur histoire s'est brusquement terminée.

Phoenix !!

joli !

Ils disent tous,
Que la vie ça fait mal.
Ils disent tous,
Que souffrir n'est pas normal.

Ils disent tous,
Tout et rien.

Ils le disent tous,
Mais sans jamais savoir.

Ils le disent tous,
Moi, je ne dis rien.

Ils le disent tous,
Jugent sans jamais rien voir.

Ils le disent tous,
Mais croyez moi,
Ceux qui souffrent ne se plaignent pas.

Ils disent tout,
J'ai des cicatrises,
Mais s'ils en avaient,
Ils ne le diraient.

Ils le disent tous,
Essayent de s'inventer.

Ils le disent tous,
Essayent de se faire remarquer.

Ils le disent tous,
Mais s'ils souffraient,
Ils ne le crieraient...

Phoenix  

Un poème qui date un peu.   

Parfois, j'aimerais juste,
Fermer les yeux.
Apparaître dans une autre réalité,
Fermer les yeux.
Et pouvoir tout oublier.

Parfois, j'aimerais juste,
Fermer les yeux.
Et que disparaisse la douleur,
Fermer les yeux.
Et pouvoir m'apaiser.

Parfois, j'aimerais juste,
Fermer les yeux.
Que ça efface le passé,
Fermer les yeux.
Que mes rêves deviennent réalité.

Parfois, j'aimerais juste,
Fermer les yeux.
Et pour une fois, profiter,
Fermer les yeux.
Que quelqu'un vienne m'aider.

Parfois, j'aimerais juste,
Fermer les yeux.
Et tout recommencer,
Fermer les yeux.
Que revienne la paix.

Parfois, j'aimerais juste,
Fermer les yeux.
Que mes douleurs s'estompe,
Que mon cœur s'apaise,
Fermer les yeux.
Que mes souffrances s'envolent,
Que mes peurs se taisent.

Parfois, j'aimerais juste,
Fermer les yeux.
Et indéfiniment rêver.

Phoenix  

Inspire, expire,
Respire !

Panique dans le sang,
Peur dans les veines...
Toujours ce sentiment,
Effrayée par la haine.

Crises comme toujours,
Même peur de l'amour...
Crises à chaque fois,
Elles vivent en moi...

Inspire, expire,
Respire !

La panique me fait trembler,
La pression me fait pleurer...
Ce sentiment me fait paniquer,
Une seule envie : crier...

Je ne sais plus parler,
J'ai peur d'être jugée...
Je ne sais que l'aimer,
Mais ça m'effraie...

Inspire, expire,
Respire !

Ce n'est rien, t'inquiète pas,
Cette même phrase à chaque fois.
Pour ne pas m'effondrer,
Continuer sans abandonner.

Inspire, expire,
Respire...
Mais comment faire..?
Je ne sais plus, je panique...

Inspirer, expirer,
Respirer...
Le tout, pour ne pas céder !

Phoenix