54melina.frd
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 |  Sujet: la mort au delà des pensées ( chapitre 1)
 Ven 28 Nov - 22:36 | | |
| Résumé: Après la mort, il y avait forcément quelques choses, un paradis, un enfer, une réincarnation ou peut-être rien, seulement le long silence paisible et reposant. "La mort", tout le monde en parle mais personne ne connait véritablement ce que c'est, personne ne sait à quoi s'attendre. Nous pouvons choisir la nôtre ou elle la choisira à notre place. Mais tout le monde s'est déjà demandé ce qu'il y avait après la mort, donc, je vais vous l'expliquez.
CHAPITRE 1: La perte
Mon lycée était à deux pâtés de maisons de chez moi, et comme tous les matins j’attendais mon meilleur ami, Jeremy, mais comme tout le monde, je l'appelle Jerem' et comme tous les matins Jeremy était en retard. La rentrée des cours sonne dans cinq minutes, et toujours pas de meilleur ami en vue. << Bon, tant pis!>> me dis-je. Et me voilà partie en courant alors que j'habite juste à côté de ma destination. A vrai dire je suis habituée. J’arrive juste à temps, la cloche vient de retentir, et Mr DIDO attend devant le rang toujours en avance (pas comme Jerem').
< -Oui, très. >>
Mr DIDO était un professeur de physique, très gentil mais assez perturbant. Après seulement trente minutes de cours nous étions en français. C'est assez étrange que les emplois du temps étaient fait ainsi car une heure plus tard nous avions encore cours une demi-heure avec Mr DIDO. Il n'y avait toujours pas Jeremy à cette heure de français et je finissais par me dire qu'il avait était malade. C’était Mme CRINFFORD qui faisait cours. Elle était beaucoup moins sympa que notre professeur de physique mais il y avait pire comme enseignant. Enfin une pause, l'heure de la "recrée". Dans la cour, j’étais le genre de personne qui connaissais tout le monde mais qui ne trainé jamais avec eux. Après avoir dit bonjour à toutes les personnes que je connaissais, un surveillant était venu me voir, c'était Cécilia, elle était super sympa mais un peu sévère.<< Tu connais Jeremy LAROCHELLE non ?
-Oui, pourquoi? Qu’est ce qu'il a fait?
- Tu pourras lui dire que s'il ne vient pas demain ou le reste de l'année à l'heure il sera sévèrement sanctionné par le principal?
-Oui pas de soucis, je lui dirai ce soir quand je rentrerai ou plus tard dans la journée s'il revient.
-D'accord, merci Elsa.
-Au revoir>>Plus tard dans la journée, plein de personnes discutaient en parlant de Jeremy : apparemment il lui aurait était arrivé quelque chose. Connaissant Jerem' il n'était rien de plus qu'en retard, mais ces rumeurs sont bien venues de quelque part. En rentrant chez moi, j’avais remarqué que les volets de la maison de mon meilleur ami étaient fermés. Je n'y prêtais pas attention et me disais que je l’appellerais une fois rentrée chez moi. Mes parents n’étaient toujours pas là, ils étaient encore au travaillent. Quand je rentrais du lycée, souvent j’étais toute seule et je remarquais que tout était calme, sans aucun bruit. C'est un quartier très silencieux. Après avoir mangé un bout en attendant le repas, j’allais appelée Jeremy. Personne ne répond, ni la première fois, ni la deuxième fois. C'était seulement à la cinquième fois que quelqu'un décroche.
< -Oui, qui est-ce ?
-C'est Carole la maman de Jeremy. J'ai bien entendu qu'elle pleurait mais n'y prête pas attention.
-Ah oui, pourquoi il n’était pas en classe aujourd'hui ?
-Il a fait une mauvaise chute ce matin dans les escaliers et il a était transféré aux urgences à l’hôpital.
-Oh mon Dieu non ! Et il va s'en sortir ?
A cet instant mon cœur cesse de battre, mes pensées deviennent noires et des larmes coulent le long de mes joues.
- Il y a très peu de chance>>
J’avais raccrochais et m'écroulais sur le sol. Mon meilleur ami était comme mon frère et pour rien au monde je ne voulais le perdre.
Ma mère était rentrait du travaille, elle me trouva assise sur mon lit, pâle, froide le regard vide. Elle m’appelait mais je ne réagissais pas. J'étais morte à l’intérieur mais intact à l’extérieur. Ma maman hurlait mon prénom, me secouait dans tous les sens, mais je ne pouvais plus bouger. Quand elle se calma et qu'elle se mit à pleurer je l’avais pris dans mes bras. Elle avait eu un souffle de soulagement mais elle continuée de pleurer sans cesse. A ce moment mon père était entré dans ma chambre et nous avait prisent toutes les deux dans ses bras.
Le lendemain je n'allais pas à l'école, encore choqué des événements de la veille. Au lieu d'aller m'instruire j'allais à l’hôpital, voir Jeremy. Arriver à l’hôpital Mr et Mme LAROCHELLE attendaient devant la porte de chambre de leur fils, les larmes aux yeux. Carole m’avait prise dans ses bras et m’avait chuchoté :
<< Il est parti faire des radios, il reviendra bientôt>>.
Je m’étais contenté d'acquiescer.
Effectivement, Jerem' étais arrivé assez rapidement. Quand je l’avais vu arriver dans son brancard, mon cœur c’était accélérais et mes yeux c’était figé sur ses blessures : ses deux jambes et son bras gauche étaient dans le plâtre, son nez était ouvert, il était couvert de bosses et de bleus et son cou paraissait en miette. Apparemment, il se l'était gravement tordu en faisant sa chute. Quand il m’avais vu, il avait essayait de me sourire mais son sourire n’avait pas duré très longtemps. Épuisé, il avait ferma les yeux et se laissait conduire jusque dans sa chambre. Mes parents et ceux de Jeremy m’avait laissé seul avec lui quelques minutes. Il ne pouvait pas beaucoup parler. Alors j'évitais de lui poser des questions.
<< C'est ta mère qui m'a prévenue que tu étais ici. Tout le monde passe des moments difficiles dans la vie, certains plus que d'autre. Mais il ne faut jamais baisser les bras. Il faut croire en toi...Moi, je crois en toi. Tiens c'est la photo de la classe, ce sont les élèves qui l'ont faite pour toi. Je l'ai trouvée dans ma boite aux lettres ce matin. >>
Il avait prit la photo mais ne la regardait pas longtemps.
<a pour toi et que je...>>
Je n'avais pas eu le temps de terminer ma phrase que le souffle de mon meilleur ami s’était arrêté, ses yeux plongés dans les miens. Il était devenu blanc et il laissa tomber les deux photos à terre. Mes parents avaient laissé entrer les infirmiers et m’avait prit par les bras pour me faire sortir de la pièce, mais je me débattais, hurlais, pleurais, tout en fixant Jeremy du regard. Mon père criait mon prénom, mais je ne l'écoutais pas. Je réussis enfin à me libérer, j’avais courus vers Jerem' et le prit dans mes bras, même s'il était raide, froid, mort.
Dernière édition par 54melina.frd le Mer 7 Jan - 15:13, édité 5 fois |
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Phileas Fogg
Aidactive
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| Sujet: Re: la mort au delà des pensées ( chapitre 1)
Sam 29 Nov - 19:19 | | |
| Quelle promptitude ! Sitôt inscrite, sitôt participante ! Bienvenue sur le forum et bravo pour ta participation !  Je t'ai souligné ou barré les fautes du premier paragraphe (je me suis arrêtée là dans ma lecture). A bientôt au club théâtre.  |
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Phileas Fogg
Aidactive
Nombre de messages : 159
| Sujet: Re: la mort au delà des pensées ( chapitre 1)
Jeu 11 Déc - 17:50 | | |
| J'ai fini de souligner tes fautes. J'ai modifié certaines tournures de phrases, des signes de ponctuation et ai corrigé certaines erreurs.
Il faut que tu choisisses : tu as commencé ton récit au présent et tu l'as continué au passé simple. Il faut choisir l'un des deux systèmes de temps. _________________ "Je trouve que la télévision à la maison est très favorable à la culture. Chaque fois que quelqu'un l'allume chez moi, je vais dans la pièce d'à côté et je lis." Groucho Marx |
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CHEVAL
Nombre de messages : 143
| Sujet: Re: la mort au delà des pensées ( chapitre 1)
Mar 11 Déc - 11:58 | | |
| Quand on souffre, on pense toujours au trépas : au moins on s'en va vers la paix et on ne pense plus aux problèmes mais, quand on est dans une sépulture on fait souffrir notre entourage mais, quand on se suicide espère qu'ils profitent de leur vie et qu'ils pensent plus à nous. |
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ROCK'N ROLL
Nombre de messages : 156
| Sujet: Re: la mort au delà des pensées ( chapitre 1)
Jeu 1 Déc - 19:05 | | |
| Lorsque nous avons perdu un être cher, nous pouvons avoir des regrets sur des choses qu'on aurait aimé faire avec ou pour cette personne. La mort nous fait ressentir beaucoup d'effroi. |
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Lilyka
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| Sujet: Re: la mort au delà des pensées ( chapitre 1)
Mar 9 Mai - 15:50 | | |
| Je trouve que cette histoire illustre bien le proverbe : "Profite de tes proches t'en qu'il est encore temps". On a facilement tendance à se dire "c'est bon je le/la révérer demain" donc on ne dit jamais ce qu'on ressent on fond de nous, pourtant c'est une chose très importante de dire ce qu'on ressent de façon à ne pas avoir de regret. On s'enlève un poids sur la conscience. |
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