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| Récit à partir d'une expression biblique. | |
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Farandole
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| Sujet: Récit à partir d'une expression biblique. Jeu 23 Mai - 20:14 | | |
| Voici un endroit où poster des récits à partir d'une expression biblique : Un véritable jardin d'Eden !
Un jour, une jeune garçon, blond aux yeux bleus, se sentait très triste. On le croyait dur, invulnérable, fort comme Samson, mais en fait c'était un colosse aux pieds d'argile. Au fond de lui, il était malheureux comme Job ! Tout le jour, de retour à la maison, il pleurait comme une Madeleine, il se plaignait, se lamentait, et ce n'était que jérémiades du matin au soir. Il était devenu le bouc émissaire de sa classe, et subissait le calvaire des moqueries. Même un de ses amis l'a trahi, ce Judas ! On le frappait parfois, mais il ne voulait pas rendre oeil pour oeil et dent pour dent, en appliquant la loi du talion : il se disait qu'il valait mieux continuer à tendre l'autre joue pour que ça n'empire pas. De toute façon, il ne fallait pas se battre, ça n'arrangerait rien : qui sème le vent récolte la tempête, ça, il le savait bien. Et puis, chacun doit porter sa croix dans la vie ! C'est normal. Il rêvait de s'enfuir, partir loi, de découvrir un jardin d'Eden, un jardin des délices, un lieu paradisiaque où il pourrait se sentir bien, détendu, comme le parc fleuri dans lequel vivaient Adam et Eve, à la genèse de l'humanité. Il faut toujours croire en ses rêves : la foi déplace les montagnes ! Un beau matin, il partit à l'école par une autre route. Sur son chemin, il se trouva face à un jardin magnifique, comme celui dont il rêvait : il était gigantesque, multicolore, rempli de fleurs singulières et d'arbres aux fruits étranges, aux fruits atypiques, avec bien d'autres particularités insolites encore. On y trouvait des animaux fabuleux, des oiseaux merveilleux, des arbres aux fruits appétissants, des plantes verdoyantes, des plates bandes fleuries et des massifs variés. Dans un coin, un jardin potager l'attendait. Tous les fruits savoureux étaient à portée de main, partout ! Une véritable manne ! Vers l'autre coin, il y avait un grand lac qui scintillait au soleil, entouré de moulins à vent, de petites cascades, un lieu agréable avec le doux clapotis de l'eau. Il y avait aussi beaucoup d'animaux de plusieurs espèces : des chevaux, ânes, cygnes, canards, rouges-gorges, etc. On pouvait aussi se promener en barque sur le lac aux eaux limpides. Un oiseau se posa sur son épaule. Il se dit : "C'est incroyable ! On ne me croira jamais si je le racontais ! Surtout pas mon père, qui est comme St Thomas et qui ne croit que ce qu'il voit !" Soudain, un gardien en colère, qui semblait vieux comme Mathusalem, apparut en vociférant. Le gardien voulait savoir qui il était. Comme il ne le connaissait ni d'Adam ni d'Eve, il lui demanda son identité et ce qu'il faisait là, dans cette propriété privée. L'enfant martyre lui raconta son calvaire, et le gardien, comme un bon samaritain, voulut l'aider à aller mieux. Au lieu de le chasser du parc, il lui proposa d'y revenir quand il voudrait pour se changer les idées ! Quelle chance ! Cette proposition, c'était du pain béni pour lui ! Désormais, il pouvait venir dans ce paradis aussi souvent qu'il le voudrait. Alléluia ! Il y retourne depuis chaque mercredi, le jour de la semaine qu'il attend comme le messie !
Dernière édition par Farandole le Lun 3 Juin - 19:27, édité 1 fois |
| | | Betty Boop
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Ven 24 Mai - 13:29 | | |
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| | | claiclai
Nombre de messages : 531
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Lun 27 Mai - 18:20 | | |
| La parodie de la génèse :
Et Dieu créa le collège Mon histoire commence un jour où rien n’existait encore. C’est le chaos originel, le début des temps, et Dieu mit sept jours à créer toutes les choses essentielles pour la vie de l’Homme sur terre. Pourtant il manquait encore quelque chose dans ce monde merveilleux, mais bête et sans éducation. Une personne qui pouvait faire régner l'ordre et la connaissance. Et là, au milieu de nulle part, il créa cet être. Il l'appela m. Cazenabe. Et Dieu vit que cela était bon. Alors Dieu lui dit : << Je te donne autorité sur la tribu des ados. J'ai besoin d'un homme comme toi pour éduquer les enfants sur terre, que me proposes-tu ? - La création d'un collège ! >> Son vœu fut exaucé. Et Dieu créa le collège, Dieu le bénit et Dieu vit que cela était bon. Mr Cazenabe lui annonce : << Mais j'ai besoin aussi d'autres personnes pour m'aider dans cette énorme tache d'éducation ! >> Dieu créa alors les professeurs, des hommes et des femmes, savant dans différentes disciplines. Et Dieu vit que cela était bon. Cazenabe remercia Dieu. Mais Dieu lui dit : << Dans ton équipe, tu as besoin un grand littéraire, qui s'appelle m. Govaert, tu le nommeras professeur de français et il leur apprendra l'art de lire et de bien écrire. Alors Dieu créa m. Govaert, et Dieu vit que cela était bon. Puis M. Cazenabe dit à Dieu : << Les enfants ont besoins de faire du ski, mais il y a aucun moyen de monter en haut de la piste. - Tu auras donc au sein de ton équipe un professeur de sport >>. Et Yavhé créa aussi les télécabines, les télésièges etc., et donna un nom à chaque piste. Et Dieu vit que cela était bon. Cazenabe emmena les enfants au ski, mais une barrière les empêchait de joindre les pistes. Il fallait un code avec des chiffres. Il fit appeler aussitôt la professeur de mathématique et lui dit : << Peux-tu me donner des chiffres ? - Mais je n'en ai pas, répondit-elle. - Alors, crée-les >>. Les chiffres apparurent et la barrière se leva. Cazenabe dit : << il faudrait un lieu où je pourrais punir ou récompenser, mes élèves >>. Dieu créa le paradis et l'enfer. La cour de récré et la salle d'étude. La tribu des ados de Laruns connurent la genèse du premier collège sur terre. Et depuis ce jour, des milliers de collèges se construisent sur terre, afin que tous les ados réussissent aussi dans la vie.
Dernière édition par claiclai le Mar 28 Mai - 12:01, édité 1 fois |
| | | bumblebee Aidactif
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mar 31 Mar - 20:02 | | |
| L'apocalypse
C'est ce que William vivait , il travaillait à la sueur de son front dans une armurerie, c'était le meilleur forgeron du village . Il était fort comme Samson et soulevait des charges de plus d'une tonne sans souci jusqu'au jour où il trouva un homme vieux comme Mathusalem qui lui dit : « Ouvre cette porte mon garçon, tu y trouveras des passages, va dans chacun d'eux et puis revient .» D'un air essoufflé le garçon chercha, fouilla et explora jusqu'à ce qu'il voie une petite ouverture puis se dit : « Je ne pourrai jamais rentrer dans cette faille ! » Tout à coup, il mit son doigt et comme par magie, il disparut.
Quand il atterrit, il arriva dans un village et tous les gens disaient en coeur : « C'est le retour du fils prodige » Les villageois ont organisé une grande fête avec de la nourriture et des boissons. A la fin de la fête, le chef du village tapa sur son verre et dit : « Monsieur le fils prodige, voulez-vous accepter la mission de détruire l'infâme Judas ? Il répondit sans même savoir ce qu'il devait faire :« J'accepte cette mission !» La foule s'élèva et dit :« ALLELUIA ! » Le chef disait quelque autre parole que personne n'écoutait : il prêchait dans le désert !
Après plusieurs entraînements, William alla dans l'armurerie pour chercher un bouclier, une hache et bien d'autres choses. Il dit : " C'est du pain béni ! " Cet arc était le plus léger, le plus solide et ces flèches tranchaient comme du rasoir. Il le prit et pourtant celui qui le vendait était malheureux comme Job. Le forgeron parcourut l'épreuve et il passa par un chemin étroit et insolite pour arriver dans une maison où un homme immense y demeurait. Ce géant avait l'air très fort et il dit d'une voix grave : " je vais te réduire à néant ."
Il pensa alors que son combat était celui de David contre Goliath, que ce duel ressemblait à celui de l'Armageddon. Munit de sa hache, William la lança de toutes ses forces et lui coupa le bras droit. A l'aide de son épée, le colosse trancha la jambe du forgeron qui dans la douleur cria si fort que l'autre monde l'entendit. Le géant s'esclaffa et lâcha: « oeil pour oeil, dent pour dent. » William mit en joue son arc, il tira plusieurs flèches avant qu'une d'entre-elles transperce le coeur du géant.
A l'issue de la lutte finale, William retourna au village où les habitants l'accueillirent comme le messie. Il tenta de retrouver le chemin par lequel il était arrivé, repassa par la faille et retourna dans son monde où il raconta toute son aventure à son père. Cependant, ce dernier était comme Saint Thomas, il ne croyait que ce qu'il voyait. William retrouva alors le vieillard qui lui indiqua le passage secret, il lui raconta son histoire puis disparut aussitôt.
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| | | ICE Aidactif
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Ven 3 Avr - 19:03 | | |
| Pauvre comme Job C'était un tout petit homme, la plupart des habitants du village disaient qu'il était un peu simple d'esprit, car il se promenait dans les rues, sa vraie maison, en tenue d'Adam, en pleurant souvent comme une madeleine. Il était seul et portait sa croix, car il n'avait pas d'endroit où vivre à part ce petit village. Au début, les gens étaient choqués mais que s'imaginaient-ils ?... Il était pauvre comme Job alors on avait fini par l'accepter. Il mangeait souvent à sa faim, vivant de l’aumône et des poubelles débordantes des villageois: pour lui, tous les soirs, c'était du pain béni de ramasser ce que les gens jetaient; mais il était toujours aussi pauvre et ne connaissait depuis longtemps que des années de vaches maigres. Un beau jour, cet homme rencontra une femme très belle qui lui dit: " Tu vois cet homme là-bas ? Il est fort comme Samson et personne ne la jamais battu. Mais il a un secret : c'est un colosse aux pieds d'argile... Si tu arrives à le terrasser, tu deviendras riche comme Crésus et tu ne seras plus jamais dans le besoin et le malheur... Et Moi, je serai libre... " L'homme se dit tout d'abord que ce combat ne valait pas la peine, car il semblait perdu d'avance : un peu comme celui de David contre Goliath... Son futur adversaire, s'il acceptait ce combat, était puissant et semblait très fier de ses muscles et de l'admiration qu'il voyait dans les yeux de presque tout le monde. On le prenait pour le messie. Sa parole était d'Évangile tant il faisait peur. Mais à chaque jour suffit sa peine: notre petit homme, qui voulait que sa mauvaise fortune se termine et qui voulait croire en sa bonne étoile enfin, se présenta devant le colosse, sous une pluie diluvienne. " Hé toi, le géant ! J'ai décidé de ne plus subir le calvaire. Tu ne me fais pas peur ! Je ne te connais ni d'Eve ni d'Adam, mais ce que je sais c'est que nul n'est prophète en son pays ! " Sur ce il ouvrit sa main droite. Dans celle-ci, une sauterelle minuscule fixant le géant de ses gros yeux noirs, lui sauta dessus. Le colosse, prit de panique, se mit à hurler devant l'insecte et tomba en arrière ; il se transforma en poussière et disparu... Alléluia !! Le petit homme avait vaincu le grand ! Tous ceux qui étaient comme St Thomas, avaient besoin de voir le nouveau héros et pour le fêter, la belle dame ainsi délivrée, lui offrit une tunique d'or, pour le remercier. Un nouveau messie était né, qui ne connu plus jamais la misère et le malheur. FIN |
| | | .POP
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Ven 3 Avr - 20:51 | | |
| J'adore ta redaction Ice!
Dernière édition par POP le Lun 6 Avr - 10:33, édité 1 fois |
| | | Homer Simpson
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Sam 4 Avr - 12:09 | | |
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| | | ICE Aidactif
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Sam 4 Avr - 18:47 | | |
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| | | .POP
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Lun 6 Avr - 10:56 | | |
| Un véritable jardin d'Eden.Bonjour, je m'appelle Paul, je suis le benjamin de ma famille. Pourtant, je suis déjà mort et je vous parle de l'au-delà. Comment cela est-il arrivé ? Pour le comprendre, il faut remonter à la genèse de mon histoire. Il y a une semaine, la famille de Layala, une nouvelle voisine, s'est installée. Ils sont pauvres comme Job, ses parents travaillent à la sueur de leur front pour gagner leur pain, et ils connaissaient des années de vaches maigres. Elle a dû déménager il y a quelques jours dans mon quartier, et je ne la connaissais ni d'Adam ni d'Ève. Un jour, je m'ennuyais et donc j'ai décidé d'aller faire sa connaissance et de lui faire visiter les alentours.j'entrai dans sa chambre (qui était un véritable capharnaüm) ... mais elle était ... en tenue d’Ève. Layala cria, je sortis de sa chambre en demandant pardon : je l'ai rassurée en lui disant que je n'avais aucune intention de la connaitre bibliquement. Elle sortit quelques minutes plus tard en tee-shirt et en jogging. Elle accepta mon invitation, nous allâmes nous promener, elle prit un chemin interdit, que je rêvais souvent d'explorer, et qui était un peu comme mon fruit défendu.Je lui dis que c'était une très mauvaise idée mais, hélas, elle ne m'écouta pas. La fin du chemin finissait en impasse, bizarrement bloqué de pierres, de branches et des rameux de feuillage. Quand je me suis retournée, des loups affamés étaient à quelques centimètres de nous ! Je priais Yahvé de nous sortir de là.... Alléluia ! un homme fort comme Samson arriva, déplaça la pierre et tua les loups. Cette rencontre inespérée fut du pain bénit pour nous ! Il nous dit d'entrer dans une grotte qui se trouvait cachée derrière : il remit la pierre et les ramures d'arbre derrière nous, pour dissimuler l'entrée de cette grotte, datant d'une époque antédiluvienne. Nous remercions notre sauveur, ce bon Samaritain venu pour nous aider ! Au fond de la grotte, nous arrivâmes éblouies dans ce qui était un véritable jardin d'Eden, verdoyant et rempli de fleurs ! C'était un endroit miraculeux, on se serait cru dans un conte rempli de merveilleux ! Moi qui suis comme St Thomas, qui ne croit que ce qu'il voit, je n'en revenais pas ! Layala me dit de venir avec elle et d'en profiter au maximum. Un homme vieux comme Mathusalem arriva et nous demanda qui étions nous.Nous lui apprîmes que nous n'étions pas d'ici, mais il nous répondit que cela n’avait aucune importance. Il nous conduisit devant une grande foule d'habitants de ce lieu étrange, qui s'exprimaient de manière confuse, et c'était une véritable tour de Babel ! Tout le monde parlait une langue différente, mais bizarrement je comprenais toutes les idiomes. Cela faisait 7 jours que nous étions bloqués là. Layala, qui semblait pourtant courageuse et très forte, était en fait un colosse au pieds d'argile : elle pleura comme une Madeleine, car ses parents et ses autres amies lui manquaient. Elles se plaignait tout le temps, et je ne supportais plus d'entendre ses jérémiades. En plus, moi-même j'étais aussi triste d'avoir laissé mes parents, qui devaient s'inquiéter et me chercher partout. Peut-être avaient-ils même pris une semaine sabbatique pour pouvoir me chercher ! Layala m'accuse déjà de cette situation, alors que c'est elle qui a voulu prendre le chemin interdit : elle ne voit pas la poutre qui est dans son oeil ! Je craignais d'être puni à mon retour, et que Layala me jette la pierre pour l'avoir invitée à se promener, mais je ne la laisserai pas faire de moi le bouc émissaire de cette histoire : la bêtise, on l'avait faite tous les deux. Si elle m'accusait pour éviter sa punition, ce serait comme la trahison de Judas. Mais on dirait qu'elle s'en fiche de ce qui pourra m'arriver, et qu'elle s'en lave les mains tant qu'elle s'en sort, elle ! Dans ce cas, je ne suis pas du genre à tendre l'autre joue : je me vengerai : comme dans la loi du talion, ce sera oeil pour oeil, dent pour dent ! Après, je me suis dit qu'en demandant pardon à mes parents et en me cachant sous le sac et la cendre, ils me pardonneraient. Après tout, je suis la chair de leur chair. Même si je les ai déçus, ils seront heureux de voir le retour du fils prodigue. Et puis, je sais les embobiner. Après tout, je suis un grand menteur devant l'Eternel, et ils croient que tout ce que je dis est parole d'évangile Mais ce n'était pas le moment de partir : une pluie diluvienne avait commencé depuis 7 jours. Quelle plaie ! J'attendais comme le Messie que la pluie cesse pour pouvoir rentrer chez moi. Je décidai d'aller voir le vieil homme pour lui demander comment sortir de ce paradis qui devenait pour nous un enfer. Il nous dit qu'on ne pouvait plus, car nous étions en fait ... morts et retournés à la poussière depuis 7 jours maintenant ! Moi qui m'imaginais que je serais mort un jour lointain à cause d'une guerre, d'une catastrophe naturelle, de la pollution, ou dans un Armaggedon nucléaire, en fait je suis mort bêtement mangé par des loups devant une grotte. Mais nous voulions sortir de ce lieu ! Mais cet homme était en fait un chérubin, chargé de nous garder. Et ils se moqua de moi en disant que ce qui m'arrivait était mérité, et qu'avec toutes les bêtises que j'avais faites, je n'avais rien d'un petit chérubin. Nous avions beau supplier, on ne nous écoutait pas et nous parlions dans le désert ! C'était le châtiment de notre désobéissance : nous devions nous ennuyer pour l'éternité dans ce purgatoire : ce sera notre calvaire, et nous devrons boire la coupe jusqu'à la lie, nous ne pouvions rien y faire. Nous devrons porter notre croix, sans jérémiades Mais ne pensons pas à l'éternité : à chaque jour suffit sa peine ! Un conseil : si un jour vous voyez un chemin interdit, ne succombez pas à la tentation ! Fuyez !
Dernière édition par POP le Lun 27 Avr - 13:56, édité 1 fois |
| | | Happy- Aidactive
Nombre de messages : 473
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Lun 6 Avr - 17:25 | | |
| David contre Goliath David est le benjamin de la famille Juliano et pour l'honneur de son peuple, il doit défier en duel Goliath. Ce dernier est un homme grand et fort comme Samson. C'est, qui n'a jamais été vaincu jusqu'à ce jour.David fier de représenter son peuple, sait tout de même la partie est perdue d'avance. Toutefois, il ne peut pas abandonner, car tout le monde attend ce combat comme le Messie.Il s'éloigne pour pleurer comme une madeleine derrière un rocher lorsqu'il entend la conversation entre Goliath et son chef :"N'oublie pas de protéger ton genou, il est très sensible, ce n'est pas ce petit Juliano qui me battra".Alléluia ! s'écrie David, il sait maintenant ce qu'il faut faire, il doit viser le genou de Goliath qui est un vrai colosse aux pieds d'argile !
Tous les habitants, des jeunes au plus vieux comme Mathusalem, s'engouffraient dans l'arène pour assister à l'événement. A la genèse du combat, David subit un calvaire, les coups de Goliath, étaient si violents et forts qu'il ne parvenait pas à rester debout. C'était une véritable apocalypse pour David qui se voyait perdu. Il rassembla ses dernières forces pour se jeter sur le genou de Goliath et le briser d'un grand coup de poing. Goliath s'écroula, fut enterré et ainsi retourna à la poussière.
David avait gagné ce combat acharné et cette dure épreuve : il avait bu la coupe jusqu'à la lie. La foule l'acclama pour cela. David quitta l'arène, fier d'avoir gagné. |
| | | Michalak
Nombre de messages : 141
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Lun 6 Avr - 19:43 | | |
| Travailler à la sueur de son front Jean était le benjamin d'une famille de quatre enfants, il adorait la boxe. Âgé de onze ans, il était de petite taille, mais très épais. Il songeait à devenir un grand boxeur et d'être connu comme le loup blanc. Ses parents l'avaient inscrit à des cours de boxe, il était ravi, mais vu son gabarit, il perdait tous les matchs les uns après les autres. Après chaque compétition, il rentrait chez lui en pleurant comme une madeleine. Ses camarades se moquaient de lui, malgré tout il voulait devenir un grand boxeur. Pour ses 15 ans, ses parents lui offrirent des places pour aller voir un combat de boxe de son idole Teddy Riner. Il attendait ce jour comme le messie. A la fin du combat une surprise l'attendait il alla rencontrer enfin Teddy Riner. Celui-ci fut touché par se jeune homme qu'il décida de l'entraîner, mais pour cela il fallait que Jean travaille à la sueur de son front. Après des mois d'entraînements intensifs, Jean fut beaucoup de progrès. Un matin alors qu'une pluie diluvienne s'abattait sur la ville, il eut un appel de Teddy lui disant qu'il pouvait participer au championnat de France le onze et douze mai. Pour Jean ce fut du pain béni. Il perdit son premier match, mais Teddy lui donna quelques conseils pour le match suivant. Quand il vit arriver son adversaire pour lui ce fut David contre Goliath. Pris d'un stress important, il était incrédule sur ce match. Teddy lui donna un dernier conseil : << la foi déplace les montagnes croit en toi >> Ce fut un match très difficile, mais au final il gagna. Des années plus tard, après beaucoup d'efforts, grâce à son bon samaritainTeddy il devient champion de France. Ses camarades se repentirent sous le sac et la cendre et furent ses plus fidèles supporters. Baptiste Fourcade |
| | | ICE Aidactif
Nombre de messages : 586
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mar 7 Avr - 17:55 | | |
| - Michalak a écrit:
Pour ses 15 ans, ses parents lui offrirent des places pour aller voir un combat de boxe de son idole Teddy Riner. Il attendait ce jour comme le messie. A la fin du combat une surprise l'attendait il alla rencontrer enfin Teddy Riner.
Michalak, Teddy Riner est un judoka Sinon j'aime bien ton texte Michalak |
| | | Parra.
Nombre de messages : 201
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mar 7 Avr - 18:09 | | |
| Un vrai capharnaüm En ce jour de pluie, Horace attendait comme le Messie le facteur qui devait lui apporter le nouveau jeu qu'il avait commandé. Au bout de longues heures, le facteur arriva. Il sonna trois fois et sa mère alla récupérer le paquet. Elle alla le lui apporter dans sa chambre. Elle découvrit alors un vrai capharnaüm! Elle commença ses jérémiades : "Quand je pense au temps que j'ai passé à décorer ta chambre, c'est offrir des perles aux cochons ! Tu auras ton jeu quand tu auras rangé ta chambre ! Et je suis comme Saint Thomas : je viendrai vérifier, car je ne crois que ce que je vois." Il essaya de négocier mais " qui sème le vent récolte la tempête", elle ne l'a donc pas écouté. Le jeune garçon ne pouvait plus retenir ses larmes : il pleurait comme une madeleine ! Pour lui, ranger était un véritable calvaire. Heureusement, son frère Benjamin, en bon samaritain, vint l'aider. lls commencèrent par le dessous du lit où il retrouva même un biscuit vieux comme Mathusalem. Ensuite, ils se partagèrent la tâche : l'aîné prit l'armoire et le bureau, le benjamin le reste. Au bout de deux heures fatigantes, Horace s'écria " Alléluia !" Ils contemplèrent la chambre et purent enfin découvrir le nouveau jeu ensemble. |
| | | --Marco Polo--
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Dim 3 Mai - 19:39 | | |
| Vieux comme Mathusalem
Il était une fois, un aïeul qui habitait seul dans une maison séculaire. Il prêchait la bonne parole, mais les gens ne l'écoutait pas : il parlait dans le désert, puis les gens partirent, lassés d'entendre sans cesse ses jérémiades, et il se retrouva seul dans le village décrépit. Oui, tous les villageois étaient partis, car l'Apocalypse était prédite. Ils mourraient tous, mais le vieux s'en lavait les mains, puisqu'ils ne voulaient pas l'écouter. Grand pêcheur devant l’Éternel l'ancien se nourrissait chaque jour de poissons frais.
Une nuit, une pluie diluvienne dévasta la région et fit déborder tous les cours d'eau. Malheureux comme Job il dut porter sa croix en travaillant la terre à la sueur de son front pour refaire des plantations.
Un jour, un homme à cheval passa dans le village et vit le vieillard. Il lui expliqua qu'il faisait le tour des villages reculés pour venir en aide aux personnes isolées. Fort comme Samson, le cheval les aida dans leurs travaux de labour. En bon Samaritain, Pancho resta avec le vieux plusieurs mois. Au mois d'Août, la récolte tant attendue fut du pain béni tellement elle était miraculeuse. Un cri de joie sortit de la bouche du vieillard : "Alléluia !" |
| | | Tartiflette
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mer 3 Fév - 9:39 | | |
| UN SI CHARMENT CHERUBIN... Le 15 mars 1681 la genèse du chantier d’un internat anglais près de Manchester débuta. Le 21 décembre 1682 le chantier prit fin et 100 ans et un jour plus tard les étudiants se préparaient à rentrer chez eux ou à passer Noël à la résidence. Tout le monde était joyeux et attendait Noël avec impatience. Les habitudes ne changeaient pas même avec des cours en moins. Les "grands" organiser des activités pour les plus jeunes ou faisait des randonnées dans le parc de l'internat. Le soir des veillées étaient accoutumées aux vacances et plus particulièrement aux vacances de Noël.Même si les vacances de Noël étaient faites de guettais et de joies certaines personnes n'étaient pas gentilles avec tout le monde, et même plus particulièrement avec une personne. Un garçon prénommé Victor, un benjamin chétif, petit de taille, craintif et surtout très naïf. Il n'était autre que le bouc émissaire de tout le monde. Il portait sa croix continuellement. Personne ne méritait cela et encore moins pendant les plus belles vacances de l'année. Presque tout le monde se moquait de lui à cause de sa couleur de cheveux et de ses lunettes. Le pauvre garçon était roux et porté des lunettes roses que lui avaient choisi ses parents à cause du prix, mais ces lunettes ne lui servaient plus à grand-chose puisqu'il n'y voyait plus rien depuis très longtemps. Les surveillants étant les préfets de chaque maison ne réagissaient pas quand Victor avait des ennuis. Toutes ces moqueries et ces coups que recevait Victor étaient tel David contre Goliath. Le garçon est en perpétuel stress et accumule des troubles obsessionnels compulsifs qui ne l'avantagent pas plus que son apparence.Le plus étrange dans son comportement est qu'il se parle lorsqu'il est dans un coin, puis roule de l'œil pour être attaqué par une crise d'épilepsie. Après la crise passer, il partait se coucher et on l'entendait hurler à la mort dans son sommeil comme si on l'égorge vif. Imaginez-vous dans votre sommeil qu'une main vienne vous prendre une épaule et qu'une lame froide qui se glisse dans votre gorge lentement pour vous faire voir la mort arrivée pas à pas et vous envelopper de son voile blanc. Cet enfant, enfin cet adolescent vivait ça dans son sommeil sans pouvoir se réveiller en vivant cette horreur seconde par seconde chaque nuit. Beaucoup de personnes deviendraient vite folles. Victor n'avait presque plus de cœur ni de pitié pour ses camarades, il devenait froid et hostile même envers les quelques professeurs qui étaient restés, il n'était pas près de leur tendre l'autre joue. Noël approché et le garçon ne se montrait plus beaucoup, il resté enfermé dans sa chambre qui même si c'était un petit dortoir, resté souvent vide et sans activité. Le soir, il sortait du dortoir et aller aux cuisines puis revenait ; ses camarades de chambre eux se moquaient encore plus de lui, les remarques étaient de plus en plus blessantes et le garçon lui devenait un glacier plus rien ne pourrais réchauffer son cœur. Enfin, arriva le 24 décembre, tout le monde était aux préparatifs de la fête sauf Victor, mais contrairement à d'habitude, il se promena dans les cuisines fascinées par les ustensiles argentés. Les lames aiguisées comme des rasoirs, pendant au-dessus du plan de travail ce balancé doucement avec les petits courants d'air qui venaient par-ci par-là et les faisaient s'entrechoquer les lames qui émettaient de petits titillements. Puis tout d'un coup le plus long couteau sortit de son croché et fendit pour se planter dans le plan avec un bruit net sec et précis. Le garçon resta les yeux fixés sur la lame. Puis une voix se fit entendre de l'autre côté de la cuisine. C'était le cuisinier, mais le garçon s'enfuit. Le cuisinier était arrivé de bonne heure pour préparer le repas de Noël, les dindes étaient arrivées, il fallait les farcir et les faire cuire ce qui prenait beaucoup de temps. On ne revit plus le garçon de l'après-midi. Le repas arriva et les enfants se réunirent à table. Victor se retrouva au bout de la table comme d'habitude, mais les autres autour de lui et quelques autres qu'il ne connaissait ni d'Eve ni d'Adam n'arrêtez pas de se moquer de lui, de le charrier, ils étaient vraiment cruels avec lui ne lui laissant jamais profiter de la gaîté du repas. Le garçon ne prit même pas de la bûche de Noël et parti en courant dans le dortoir tout en hurlant et pleurant. Tout le monde à ris même les professeurs et les surveillants. Il se réfugia dans son lit. Mais son cœur se refroidit pour de bons, il se rétracta, s'assécha, il ne ressentait plus que de la haine envers tout le monde, il se haïssait lui-même, ses parents le monde entier.Après la veiller les enfants ires vite au lit pour s'endormir avant les douze coups de minuit.Tout le monde d'endormi, tous, non Victor lui était toujours réveillé avec cette haine qui lui terrassait le ventre une haine qu'il faut assouvir au plus vite, mais qu'il faut savourer. Minuit commença à sonner au clocher de l'internat puis au douzième coup une lame argentée s'abattit sur la gorge d'un enfant de la chambre puis un autre au cœur. Un autre enfant se fit éventrer et égorgé pour éviter les cris, Victor était en effet un grand éventreur devant l'éternelle, puis un troisième se vit enfoncer la lame dans la bouche lui cassant une dent lui coupant la langue et s'abattit au fond de sa gorge un petit cri se fit entendre et deux coups lui transpercèrent les poumons. Le dernier de la chambre fut égorgé et eu les yeux crevés puis arraché avec le bout de la lame. Une lame qui l'avait nourri durant son internat, la lame du cuisinier un coup long mais léger que le garçon maltraité s'emparât l'après-midi avant que le cuisinier le remarque. La seule personne étant encore vivante était ce dernier, il était couvert de sang et tenait toujours l'arme des crimes dans la main. Mais il ne décida pas de s'arrêter là, il était décidé d'aller plus loin comme si tout le mal de la terre était venu en lui, il prit les corps les traînât aux milieux de la chambre puis commençât à découper leur membre, il mit les bras droits d'un côté les gauches de l'autre puis les jambes ou il suivit le même procédé. Il prit les têtes les faisant rouler sur le sol comme des ballons. Puis il commença une partie de legos humains il assembla une tête sur un corps avec un bras d'une autre personne, il échangeait les jambes et les bras s'amusant à leur donner des noms différents à chaque fois, plutôt des surnoms dont ils s'amusaient à lui donner des surnoms humiliants. L'horreur ne s'arrêta pas là, il voulait que tous les élèves voient n'avait pas l'intention se cacher sous le sac et la cendre. Il alla dans chaque chambre et déposât un membre ou une tête au milieu de chaque pièce pour qu'à leur réveil, ils voient leur camarade en charpie, il mit une tête dans la chambre des surveillant et un corps sans membre ni tête dans celle des professeurs. Imaginez-vous vous réveillant le matin de Noël avec un morceau de corps ensanglanté dans votre chambre ou sur votre lit à peine réveillé imaginez-vous l'effroi que vous auriez. L'enfant sortit et alla dans les bois sous la pluie, le couteau sanglant toujours dans la main, il trouva un arbre ou s'abriter et attendit. Il était décidé à attendre comme le Messie les hurlements des enfants se réveillant avec des morceaux de corps devant le nez. 6 h 00 un cri retentit puis l'internat entier hurla un cri effroyable montant des murs sortant des cheminées, c'était l'apocalypse, un vrai capharnaüm ! Le garçon sourit puis partit en s'enfonçant dans la forêt. Plus personne ne le revit jamais et certain croit encore qu'il pourrait rôder aux alentours de l'internat... Mais attendez REGARDEZ DERRIÈRE VOUS IL EST LAAAAAAAAAAA !
Dernière édition par Tartiflette le Mer 3 Fév - 14:32, édité 2 fois |
| | | -Lefreestyler
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mer 3 Fév - 10:19 | | |
| Un jour lointain, Un homme appelé Gérard se balada dans son village. Quelle minute plus tard après avoir quitté sa maison il eu une drôle de surprise et fut étonné. Un cadavre... Il regarda autour de lui, mais il trouvera personne. Il courra pour trouver quelqu'un, Gérard trouva personne, il revenu et vois que le corps retourne à la poussière sans indice su la personne qui la tuer. Il alla voir le roi qui habiter près de chez lui pour que celui-ci le voie. Une petite heure plus tard, le roi arriva près de l'endroit du crime. Il fut étonné, car il reconnut qui la tuer.
-C'est Jean qui la tuer vu la façon ou il est mort, ca peut être que lui, et regarde ce coup d'épée cela ressemble a celle qu'il avait en décoration. On va aller chez lui. Regarde, il y a plus son épée, c'est lui. -Mais tout à l'heure, je l'ai cherché et je ne l'ai pas trouvé. Il a dû faire une longue traverser du désert ! Ah non il ai juste caché sous le sac et la cendre. - Œil pour Œil, dent pour dent due va être condamné à la peine de mort. En plus, tu étais vieux comme Mathusalem et arrête de pleurer comme une madeleine, tu es un Judas. - Je dis amen. |
| | | Flor do Brasil
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mer 3 Fév - 10:25 | | |
| Des si charmants chérubins Il y a fort longtemps dans un petit village perdu au fin fond des montagnes où se trouvait la famille Aigremont. C'était une famille de chasseur et celle-ci était aussi vielle que Mathusalem. Leur maison était entourée d'un véritable jardin d'Eden. Il y avait des arbres fruitiers, des oiseaux insolites, des fleurs merveilleuses et des animaux fabuleux. Dans cette famille, il y avait trois enfants, la benjamine Ingrid (10 ans) était très malade, le cadet Robin (13 ans) était un excellent dresseur de chien de chasse et l'ainé Julien (17 ans) était fort comme Samson et grand chasseur devant l'Éternel. La famille était heureuse et vivait presque une année sabbatique. Mais un jour se fut l'Apocalypse, les animaux, les fruits et les récoltes se faisaient rares. Ils connurent des années de vaches maigres et malgré qu'ils travaillaient à la sueur de leur front, ils n'eurent plus beaucoup d'argent et de nourriture. De plus, Ingrid tomba malade, elle toussait de plus en plus fort tous les jours et sa maladie ne s'améliorait pas. Robin eut peur pour sa sœur. Il cru qu'elle allait retourner à la poussière, mais son père lui rappela qu'à chaque jour suffisait sa peine et que si tout le monde essayé de l'aider elle pourrait se guérir vu que la foi déplace les montagnes. Or, l'état d'Ingrid ne s'améliorait point. Alors, Robin et Julien dirent à leur parent qu'ils allaient partir chercher un druide, car ce son les seuls à pouvoir sauver Ingrid, mais ils habitaient à 1 600 km de chez eux et cela prenait 1 semaine allé et 1 semaine retour à cheval (car les voitures n'existaient pas encore). À leur départ, leur mère pleura comme une madeleine, mais leur père resta stoïque. Au bout de quelques jours, ils croisèrent un homme (qu'ils ne connaissaient ni d'Adam ni d'Eve) qui leur indiqua le chemin, mais cet homme a suivi nos deux jeunes garçons et pendant la nuit ce judas essaya de les voler. Or, Julien qui ne dormait pas sur ses deux oreilles entendit le félon et lui régla son compte. Bien sûr, c'était David contre Goliath. Avant que l'homme ne soit occis, il cria : "Merci mon brave !" (il ne le remercie pas de le tuer, mais lui demande d'avoir de la pitié). Mais Julien le tua, car le voleur voulu prendre leur affaires et que dans ses affaires, il y avait de l'argent bien sûr, mais aussi une photo de leur parent. Julien dit alors à son frère : "On récolte ce que l'on sème". Ils continuèrent leur route quand soudain Robin vit un village de druide, il était parti en éclaireur et retourna voir son frère pour lui annoncer la nouvelle, mais Julien était comme saint Thomas et il ne le crut pas, car il avait vu bien des villages en se faisant des faux espoirs à chaque foi. Ils arrivèrent devant une maison pour demander l'hospitalité (à l'époque, quand une personne venait chez vous et demandait l'hospitalité, vous deviez l'accueillir comme un roi), la personne qui ouvra la porte s'avérait être le chef des druides. Julien n'en revenait pas, il se dit que c'était du pain béni. Alors il expliqua au druide pour sa sœur Ingrid. Le druide vit tout de suite le problème et accepta de les aider, mais d'abord le plus preux des deux du endurer une épreuve pour prouver leur bravoure. Julien y alla et subi un calvaire et du boire la coupe jusqu'à la lie. Le druide avec Robin et Julien. Pendant une semaine, le druide leur raconta ses moult odyssées. Chez eux, l'état d'Ingrid ne s'améliorait pas. Leur parent les attendaient comme le Messie. Que le druide arriva avec les enfants, il examina Ingrid au plus vite et vit qu'il pouvait l'aider. Quand sa mère l'apprit elle cria : "Alléluia". Au bout de quelques heures, le druide sorti de la chambre d'Ingrid (là où elle se reposait et qui était un vrai capharnaüm) et annonça à la famille qu'elle était sortie d'affaire et qu'au bout de quelques semaines elle sera remis sur pied. Le druide regagna ses pénates et la vie reprit sa cour comme si rien ne s'était passé. Or, la famille Aigremont ressortie plus forte de cette histoire, les parents n'ont pas arrêter de travailler ça les a endurci, Ingrid a lutté contre un virus qui aurait pu la tuer si ses frères ne l'avant pas sauvé et Robin et Julien qui on entreprit un voyage seul, ils se sont nourri seuls et on dormi en forêt seul. |
| | | Flor do Brasil
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mer 3 Fév - 21:21 | | |
| J'adore ta rédaction Tartiflette.
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| | | Tartiflette
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| | | | Modo Aidactif
Nombre de messages : 22140
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mer 21 Sep - 20:59 | | |
| Ah oui, je me rappelle de cet épisode. Après, il me semble que ton récit version papier était bien plus long et avait bien plus de détails un brin macabres et morbides. Quand la cheffe l'a su, elle avait voulu te recevoir malgré mes tentatives pour lui faire comprendre que ce n'était qu'un récit. Cela se voyait à ta tête que tu ne comprenais pas ce qui t'arrivait, mais elle restait persuadée que c'était potentiellement grave. Bon, elle a fait ce qu'elle croyait devoir faire, chercher à savoir comment tu te sentais dans la classe, et ça c'est très bien, mais comme ça se voyait que tu allais bien, en insistant la situation devenait un tantinet surréaliste |
| | | Tartiflette
Nombre de messages : 217
| | | | Modo Aidactif
Nombre de messages : 22140
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mer 21 Sep - 21:31 | | |
| Avec quelques dauphins roses à paillettes, j'espère. |
| | | Killua
Nombre de messages : 291
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mar 13 Juin - 17:00 | | |
| Alléluia ! Mon histoire commence quand on rencontre un garçon du nom de Rachid qui ne faisait que pousser des jérémiades. À l’école, il subissait le calvaire de ses camarades, car il avait la peau d'une autre couleur que les autres. Il pleurait comme une Madeleine tout le temps et la seule chose qui le rendait heureux était de jouer au tennis. Malheureusement, quand il retournait à l'école, il devenait malheureux comme Job. Il s'était même fait trahir par son ami qui ne faisait que lui cracher dans le dos et n'était qu'un judas. Il devait travailler à la sueur de son front, car il espérait devenir fort comme Samson au karaté qu'il pratiquait pour se défendre et ne pas tendre l'autre joue. Il essaya de participer à un tournoi, mais il n'en avait pas eu le droit. Il se disait : "Quelle plaie, cette secrétaire !" Depuis Ce jour, il se dit que pour lui le tennis était le fruit défendu. Il s'entraîna et devint un grand tennisman devant l'éternel pour montrer que tous les gens qui l'avaient rabaissaient ne disaient que des bêtises. Il retenta sa chance au tournoi de Roland-Garros. Il se retrouva face à la secrétaire qui lui avait refusé l'accès au tournoi et il se dit :"œil pour œil, dent pour dent". Heureusement, il arriva à la faire changer d'avis et elle dit "amen". C'était du pain béni, car n'avait jamais eu le droit de faire un tournoi.Il franchit les étapes et les autres ne faisaient que le critiquer, mais il était comme Saint Thomas . Il se retrouva en finale contre Novak Djokovic et il gagna. Il cria :"Alléluia !" et les autres arrêtèrent de le critiquer. Toutes les personnes qui l'avaient critiqué (même son ami) furent prises de honte et se cachèrent sous le sac et la cendre. Fiers de lui, ses parents lui dirent que la foi déplace les montagnes ! Et ce fut la genèse de sa carrière.
Dernière édition par Killua le Mer 21 Juin - 14:23, édité 4 fois |
| | | batistecap
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| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Mer 14 Juin - 20:01 | | |
| La genèse du rugby:
Mon histoire commence un jour où rien n'existait encore. Dans ce monde merveilleux, rempli de travail, il maquait une chose essentielle : le loisir. Dieu mit 7 jours pour créer un sport qu'il nomma : le rugby.
Au commencement, Dieu créa le rugby. Or la terre était vide et vague, les ténèbres couvraient l'abîme, un vent de Dieu tournoyait sur les eaux.
1. Dieu créa le terrain et les joueurs de rugby.
2. Ce jour-là, YAHVÉ s'ennuyait. Il décida de créer un sport qui s'appellerait le rugby. Il dit : "que le rugby soit !et le rugby fût".
3. Il se posa la question de savoir avec quoi les joueurs pourraient jouer, il décida d'un ballon ovale. Il dit : "que le ballon soit ! et le ballon fût". Dieu choisit un ballon ovale pour permettre aux joueurs d'avoir une meilleure prise en main lors des passes.
Dieu trouva que c'était trop facile de jouer à ce jeu, alors il décida de le compliquer. Il créa les essais. Il dit : "que les essais soient ! et les essais furent".
4. Après cela, il trouva que cela était encore trop facile, donc il décida de créer les touches et les arbitres. Il dit donc : "que les touches soient ! et les touches furent"; "que les arbitres soient ! et les arbitres furent". Dieu vit que cela était bon, les arbitres jouent le rôle de chefs de jeu.
5. Quelque temps après, ne trouvant pas le rugby assez compliqué, il décida de créer les équipes. Une équipe face à une autre équipe. Il dit : "que les équipes soient ! et les équipes furent". Plusieurs équipes ont donc été constituées avec plusieurs joueurs, garçons et ou filles. Les joueurs inventent les points pour désigner les gagnants et les perdants. Le tee sort alors de terre pour tirer les pénalités et les transformations. Elles permettent de gagner 3 pour points la pénalité et 2 points pour la transformation de l'essai qui donne 5 points à l'équipe.
6. Dieu s'énerva, car les joueurs lui avaient désobéi. Il décida de créer le plaquage, car il ne supporta pas que les joueurs fassent leurs règles sans le consulter. Il dit donc : "que le plaquage soit ! et le plaquage fût".
7. Dieu créa ensuite les ambulances pour transporter les joueurs blessaient, car c'est un sport assez violent et les blessés sont nombreux au cours des matchs. Il dit donc : "que les ambulances soient ! et les ambulances furent". Dieu se félicita d'avoir créé les ambulances pour éviter la souffrance des joueurs et leur permettre d'être sur pied pour les matchs suivants.
Dernière édition par batistecap le Mar 20 Juin - 19:17, édité 2 fois |
| | | Monkey D luffy
Nombre de messages : 123
| Sujet: Re: Récit à partir d'une expression biblique. Jeu 15 Juin - 19:57 | | |
| L'odyssée de Charles (ceci n'est pas un titre à partir d'une expression biblique) Étant jeune, Charles vivait dans un tout petit quartier sans soucis, où il connaissait tout le monde. Il vivait seul avec son père, un petit agriculteur qui travaillait pour nourrir son enfant, car il ne connut (plus que parfait) pas sa mère qui était morte avant sa naissance. Comme l'endroit où il résidait était très petit et que tout le monde se connaissait, le père de Charles lui laissait beaucoup de liberté et n'avait imposé qu'une seule règle a Charles : il fallait qu'il regagne ses pénates avant le dîner, avant 20 h. Il était très proche de son père, c'était un peu son talon d'achille, s'il le(quoi ??? Mal dit) perdait, il perdait tout. Son père pensait plus à l'apparence(pourquoi à son apparence ? ) et le au bien-être de son fils qu'à lui-même, il devait même quelques fois être en tenue d'Adam, donc celui-ci était semblable à un vieux silène délavé (???? ), qui ne prend pas soin de lui, car il travaillait à la sueur de son front pour satisfaire les aux besoins de son fils. Mais il avait une habitude : tous les matins, c'était de prendre il achetait un ticket de loto en allant au travail, en priant pour toucher le pactole. Mais, un jour, tout bascula pour les deux hommes. Un matin, alors que tout semblait de plus en plus dur pour le père de Charles, il connaissait une longue traversée dans le désert avec (qui ou quoi???), pour cause les grosses pluies diluviennes qui tombaient sur son village. Des dizaines d'animaux morts, des champs inondés, le bilan était catastrophique ! Mais comme tous les matins, il alla chercher son ticket de loto et le vendeur lui expliqua apprit qu'il était l'heureux gagnant de plusieurs millions d'euros ! En apprenant la nouvelle, l'homme faisait(passé simple !) sortir sa joie en criant, sautant et finira en pleurt en comprenant que son apocalypse était finie et que c'était une vraie manne qu'il venait de recevoir ! Peu à peu, ses voisins et tout le village commençaient à apprendre que David, le père de Charles, était devenu riche comme Crésus en voyant l'attitude ou et la maison de David qui ont(imparfait) radicalement changé. Sa maison vivait des changements quotidiens, c'était un véritable Jardin d'Eden qui entourait sa maison ! Charles et son père comprirent vite que la nouvelle, c'était rependu puisque même leurs pire ennemies, qu'ils prenaient pour des judas, revenaient dans leur vie, mais pour eux ce n'étaient que des plaies. Pour fêter ce pain bénit qu'ils avaient reçu David décida de faire une bacchanale avec tout le village dans sa nouvelle maison neuve. Lors de la fête, David faisait(passé simple) bien comprendre a tout le monde qu'il ne partagerait pas son pactole, car même si c'est la chance qui l' lui avait fait avoir procuré cet argent, il avait travaillé très dur pour pouvoir se payer ses tickets. Il ne donnerait qu'à son fils, la chair de sa chair. En entendant cela, Charles compris vite que tout allait déraper. Même s'il essayait d'apaiser les tensions, certains de de ceux présents à la fête, les plus pauvres, étaient très mécontents et Charles, en voyant de petits rassemblements, essaya de prévenir son père, mais celui-ci lui répondit (p)"mon fils, si les gens ne sont là que pour mon argent, c'est que ce ne sont pas vraiment mes amis et, dans la vie, on ne récolte que ce que l'on sème, ils me trahissent, ils n'auront donc pas un centime. " Dès la fin de sa phrase, une bagarre éclata entre les réels amis de David et Charles contre ceux qui étaient venus par intérêt. C'était un combat de David contre Goliath, car David était très apprécié dans le village. Les judas se sont fait exclure de la fête et David, pour remercier ses amis, paiera toutes leurs dettes, car il comprenait leur situation puisqu'il était dans la même quelques semaines auparavant. |
| | | | Récit à partir d'une expression biblique. | |
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