Citation :

C'était une douce ironie de dire qu'il jubilait

Citation :

la pauvre victime se retrouvait dans un lugubre emplis d'un bruit ronflant, comme celui moteur.

Arobxse a écrit:

Jolie utilisation de ces mots ! Cependant relis toi il y a quelques "fautes"

Phileas Fogg a écrit:

J'ai souligné deux fautes. N'as-tu pas oublié des mots dans la phrase que j'ai soulignée ?
Fais ''éditer" si tu veux corriger ton texte.

Phileas Fogg a écrit:

Belle plume en tout cas !

*Shark* a écrit:

Terrible ce texte de tueur, on se croirait dans la série esprit criminel
On aura une suite ?

Citation :

C'était une douce ironie de dire qu'il jubilait

J'aime bien cette phrase, je ne sais pas pourquoi.

Citation :

la pauvre victime se retrouvait dans un lugubre emplis d'un bruit ronflant, comme celui moteur.

j'ai l'impression qu'il manque un mot ?

Je te pique de la place !

                   Au pied d'un arbre séculaire, une maison se dresse, vieille, majestueuse, elle attire tous les regards ! C'est une ancienne bâtisse de la fin du 19° siècle ! Abandonné, je me promène tous les matins vers cette maison impressionnante ! Quand un jour, une ombre humaine se détacha de celle offerte par la vieille demeure ! Je ne lui trouve plus le même aspect qu'avant, elle a l'air plus neuve, moins délabrée ! Elle en paraît presque pimpante, comme si quelqu'un l'avait acheté et maintenant l'a rénove ! Mais, cette ombre qui se détachait du mur, on aurait dit qu'elle ne voulait pas qu'on l'aperçoive ! C'était donc un voleur, un rôdeur qui se cache et attend la nuit pour voler les habitations et les habitants du village ! Mon sang ne fit qu'un tour ! Du haut de mes 75 ans, je n'étais pas de taille a lutté contre cette ombre, je rentrai le plus vite possible dans mon village au bord de la destruction, les habitations à l'ancienne était couverte de lierre, de mousse, etc. J'alertais tout le village, cette maison attirait beaucoup de touriste, c'était une véritable attraction à elle seule ! Je n'eus aucun mal à les convaincre de sauver la bâtisse, ils partirent tous, au pas de course ! Je les suivais aussi vite que mon âge me le permettait.

                     Ils fouillèrent le jardin, ne trouvèrent rien, ils fouillèrent la maison de fond en comble, rien non plus !

Pourtant, ils regardèrent dans tous les coins. Ils sortirent de la maison et commencèrent à dire que j'étais sénile, que je perdais toute ma tête, etc. Mais, alors qu'ils commençaient à s'énerver, une voiture s'engagea dans l'allée, le conducteur était très étonné de nous voir ! Quand on lui expliqua l'histoire, il éclata d'un rire tonitruant ! Il nous expliqua qu'il rasait les murs, car il ne voulait pas qu'on puisse le voir en bleu de travail et qu'il était propriétaire de la maison depuis la mort de ses parents, il y faisait donc des travaux de rénovations ! Comme ça, il pourrait l'habiter confortablement ! Ainsi fut résolue l'affaire du voleur de la vieille bâtisse.