Oui, comme on peut la rendre quand on veut .

Oui tu as raison, on peut la rendre quand on veut, mais au bout d'un moment pour ne pas faire l'interrogation de vocabulaire, il valait quand même mieux la rendre avant! C'est ce que j'ai fait

Devoirs pour la rentrée :

Apprendre les règles sur la conjugaison du présent + valeurs d'emploi de ce temps (habitude, vérité générale, énonciation, narration)

Corriger l'évaluation de vocabulaire et du son é/er (si ce n'est pas fait) et utiliser les mots en exercice d'écriture régulière.

Finir la rédaction préparée en classe.  

Rappel du sujet :

Spoiler:

Consignes :

Spoiler:

Vous pouvez poster votre brouillon sur ce topic pour avoir des conseils/avis pour améliorer votre travail.
 N'oubliez pas le BP, je vous signalerai les erreurs restantes.

Mon amie et moi arrivons au sommet contemplons avec émerveillement le paysage qui s'offre à nous! Le lac reflète la montagne splendide. La brise douce caresse ma tête chaude. Les nuages immaculés semblent blancs et doux comme des agneaux qui viennent de naitre (il y a une comparaison).

La première étoile apparut dans la lumière pourpre du crépuscule sur la montagne la nuit était douce est la lune nous enveloppait de sa lumière laiteuse.


Dans la nuit, les nuages se transformèrent progressivement en diable des tempêtes. Le vent au sommet siffle, de l'autre côté de la montagne l'orage se mit à gronder.

Je regarde par le vasistas, : toutes les couleurs ont disparu pour laisser place au blanc livide de la neige. Le feu crépite dans l'âtre, il me chante : "n'oublies pas la chanson de la montagne Candice, elle est si légère, si douce, tant de clarté ne peut assombrir ton coeur...."

 
 
  La flamme étouffée s'efforçait de renaître et bientôt le
feu crépitait dans l'âtre. Oh ! je me souviens de mes belles
vacances d'été à la montagne, il faisait un soleil éclatant
le vent sifflait entre les tuiles mal jointes du refuge. (Ceci n'est pas logique, relis tes deux propositions)
Malheureusement(p) cette saison s'en est allée pour laisser place
à la saison blanche.

J'aurais bien des suggestions à donner pour améliorer ce premier jet, mais j'attendrai pour vous conseiller au mieux (orthographe, tournures de phrases, emploi du vocabulaire, etc.) d'avoir accès à un ordi, car depuis un téléphone c'est moins pratique ;)




Il y a moyen d'ajouter de nombreuses phrases déjà travaillées en classe et inexploitées, c'est dommage de s'en priver.

La tempête arrive trop vite aussi et empêche de réinvestir de nombreux mots du champ lexical de le météo vu en classe, et qui peut facilement être développé ici.


N'hésitez pas à vous conseiller entre vous, c'est aussi un lieu d'entraide :)

                                                                                        Journée prévue en montagne



     Par une belle journée d'été, ma famille décida que nous irions nous promener en montagne.

     En effet, la météo était vraiment clémente, il n'y avait aucun nuage dans le ciel, qui était d'un bleu magnifique !

     Une très belle et bonne journée s'annonçait en perspective. Mes parents avaient préparé un bon pique-nique, composé de tout ce que j'aime manger.

     Nous étions prêts à partir, avec nos sacs à dos bien chargés et nos bâtons quand, soudain, un petit vent se leva.

     Le temps se mit rapidement à tourner : de gros nuages noirs apparurent au loin, derrière les montagnes, et le crachin se mit à tomber, telles des larmes venant du ciel (comparaison).Il se changea progressivement en pluie torrentielle.

     Le vent devint de plus en plus violent, faisant se courber comme des roseaux (comparaison) les arbres et arbustes de notre jardin.

     Nous pouvions observer tout cela depuis notre salon, bien à l'abri derrière les fenêtres.

     Finalement, mes parents prirent l'initiative d'annuler la sortie. C'était bien plus sage ! Et nous étions si bien à l'intérieur !

     Il se mit à faire très froid alors mon père décida de faire une petite flambée, histoire de réchauffer un peu l'ambiance.

     Nous avons ensuite voulu jouer à des jeux de société, bien au chaud devant notre cheminée.

     Mon chat nous y rejoignit ; il s'allongea sur mes genoux et nous restâmes ainsi devant l'âtre un bon moment. Nous pouvions entendre le feu danser en crépitant, de petites étincelles jaillissaient comme des milliers de petites étoiles scintillantes. (comparaison)

     Il finit par s'endormir en ronronnant et je pus enfin commencer une partie de Monopoly avec mes parents.

     Cette journée était très agréable et douce. la sortie en montagne ne fût que partie remise.

     De plus, elle m'inspira pour écrire les deux haïkus suivants :

 

Par une belle journée d'été à Socoa. Sous mes pieds le sable me réchauffe le coeur . Je contemple ce visage qui s'offre à moi et que je vois pour la première fois"personnification allitération en "é" Ce vaste océan limpide et calme. Les digues se dressent comme les rempart des châteaux"Comparaisons". Je songe d'être un dauphin sautant et plongeant dans cette baie."Métaphore"
Mouvement des vagues
Tendu infini
Regard perdue

D'un coup, le vent se lève, le sable me cingle le visage.
Chaque foulées
Hénie dans la nuit
Eclaire mes rêves
Vaguement endormie
Amour infini
La complicité éternelle

Les nuages sombres s'arrivent au galop tel un mustang fougueux. Des éclairs découpent le ciel et la foudre résonne contre le fort. L'océan s'agite, les vagues sautent par- dessus la digue recouverte algues comme si elles voulaient l'engloutir mais celle-ci résiste. La pluie torrentielle me pousse à rentrer et de regarder ce spectacle magique par la fenêtre de ma chambre.allitération en "s"




Assise sur mon lit écoutant cette pluie ruisselante sur le toit de la maison,les vagues les plus fort arrive la route de Saint-jean de luz. Je me souviens de cette première journée à Socoa, où le temps peut changer rapidement. Dans ce jour elle n'a pas oublié cette chanson.
"N'oublie pas la chanson de la mer  Anna
Elle est dans les nuages immaculés
Dans la mer des poissons scintIllent
Dans le sable chaud de mon espoir".

Bonjour monsieur faut-il mettre tous les haïkus et les acrostiches?

Réponse : Oui. De préférence insérés directement dans la rédaction (cf exemple avec le récit de Charlechat, un peu plus haut).

Les acrostiches et haïkus écrits en novembre/décembre, mais qui seraient trop hors sujet ici, devront figurer à la fin de la rédaction, ou plutôt à sa suite.
Sinon, insérez-les au sein de la rédaction, c'est le mieux.

forêt 
Par une belle journée bien ensoleillée. 
Mon père, mes deux frères et moi nous décidons d'aller nous promener en forêt. nous avons apporté un panier pour ramasser des champignons, des marrons, des châtaignes et des noix.Il y a un champignon qui s'appelle L'amanite Phalloïde qui est mortel pour l'homme, mais pas pour la limace rouge. Dans la matinée nous avons croisé un écureuil roux dans un arbre en train de manger une noisette ,les premières leçons d'escalade des jeunes écureuils dégénèrent vite en jeux et en cabrioles. Vers midi nous pique-niquons  à côté d'un ruisseau puis, nous avons eu de la visite et assisté à concours de saut dans les conifères. La martre s'élance dans le vide pour essayer d'attraper un écureuil.Après avoir mangé nous poursuivons notre aventure. Nous avons aperçu la mère lérot promener ses petits , la lérot, les range l'un derrière l'autre ,chacun chevauchant le dos de celui qui précède.  Le soleil brille et peu à peu le ciel devient gris et l'orage menace. Nous nous mettons à courir pour rentrer et tout à coup je glisse dans une flaque d'eau. Dans notre maison bien au chaud nous nous rappelons de cette journée en forêt tellement que j'ai été émerveillée par la beauté des animaux et par leurs cris magnifique !

Nono64 a écrit:

Bonjour monsieur, ou puis-je retrouver le topic du vocabulaire, pour finir la correction de mon évaluation de la règle 2 ??

De quel topic vocabulaire parles-tu ? Celui de la séquence poésie ? Celui de la météo ?
Et quel rapport entre cela et la correction de la règle 2 d'orthographe ?

Monsieur, 
J'ai corrigé est-ce que cela convient ?

J'ai fait ce test pour essayer de mieux comprendre la différence entre métaphore, comparaison et personnification:


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Où faut-il poster les comptes rendus de lecture ?

Réponse : sur le topic Club lecture, par exemple.

Arrivé au col de Suzon, je contemplais (ton récit est-il au passé ou au présent ? Tu changes de choix de temps sans raison) le pic du midi d'Ossau qui ressemble à une baleine avec la bouche ouverte. Je n'étais qu'à quelques pas d'un flanc du pic. Arrivé au sommet, je regarde le paysage et les troupeaux d'animaux. Au-dessus de moi, des nuages immaculés et le soleil qui tape.

Au loin, des nuages gris avançait : ils devaient annoncer le mauvais temps. Au bout d'une heure, derrière la montagne, l'orage se mit à gronder. Je courais pour arriver le plus vite au refuge. Tout à coup, une pluie torrentielle s'abattait (passé simple) sur la montagne.


Deux ans plus tard, je me réchauffe à côté de l'âtre et mon chat qui se roule par terre. Je revois encore courir sous la pluie et les nuages gris en train d'avançait.


Très très court.
Même remarque qu'à d'autres sur les très très nombreuses phrases travaillées en classe et totalement absentes ici.
Tout le travail sur la météo est réduit à ... "torrentiel".
Tu ne signales pas non plus les éléments obligatoires (personnification, jeux de sonorité, etc.) et tu n'as pas inséré les poèmes -haïkus et acrostiches- écrits en novembre/décembre.

 

Par une journée ensoleillée d’automne, ma famille et moi décidons de partir en bivouac à la montagne. Après une longue marche, le sommet apparaît, droit devant nous.

Là, nous contemplons avec émerveillement le paysage qui s’offre à nous : les sommets enneigés immaculés, les reflets du soleil dans le lac, les différentes couleurs de la montagne deviennent une toile (métaphore) vivante et les odeurs de l’automne nous chatouillent le nez. Le paysage devient petit à petit monotone,(assonance) toutes les couleurs s'effacent.

Tout à coup, une petite marmotte surgit de son trou au milieu de mille petits soleils qui miroitaient sur la neige comme des diamants(comparaison).

Une tiède brise se mit à nous caresser (personnification)le visage, l’hiver arrive doucement. Le refuge surgit au détour d’un virage, c’est là que nous passerons la nuit.

 

Le lendemain, nous continuons notre marche pour rentrer à la maison. En descendant, nous remarquons des nébulosités dans le ciel. Ma famille décide de presser le pas.

En arrivant au fond de la vallée, l'orage se mit à gronder d'un côté à l'autre de la montagne. Alors que nous arrivions sous un petit abri, une pluie diluvienne s'abattit sur nous. Lors d'une petite accalmie, nous en profitons pour détaler comme des lapins (comparaison), la maison n'était plus très loin.

 



Au chaud dans le chalet, nous nous souvenons avec mélancolie de cette balade où toute la famille était réunie loin des préoccupations de tous les jours. Fini le temps où nous profitions de la nature et où nos parents n’étaient pas débordés. Période d’accalmie avant le rush de l’hiver.



Le feu dans l’âtre

La cheminée allumée

Le bois crépite.

 

Montagne blanche

Les oiseaux bleus qui passent

L’hiver est là.

 



 

 

Morne le nuage pleure

Ensemble de petites gouttes

Ruissellement de l’eau




Bien. Même remarque qu'à d'autres sur les nombreuses phrases travaillées en classe et absentes ici.
Tu ne signales pas non plus les éléments obligatoires (personnification, jeux de sonorité, etc.)

Un beau jour, alors que les températures sont estivales, je pars en montagne. Arrivé au col, un acrostiche me revient en mémoire :

Comme le col du portalet
On passe d'une vallée à une autre
Laissant de beaux paysages pour en voir d'autres.


 Je contemple alors avec émerveillement le paysage qui s'offre à moi, de l'autre côté, une mer de nuages  me fait penser à des agneaux broutant dans les alpages. (comparaison) Ceci me rappelle un poème :


En transhumant
Sur les sommets des montagnes
Tout l'été
Ils viennent
Vaches et brebis
En estive



En sautant de cailloux en cailloux puisque je suis un petit isard dans les rochers j'arrivé au refuge(métaphore). Je m'installe tranquillement. Par la fenêtre je vois des sangliers qui se baignent dans leurs bains de boue.  Un haiku me revient :

Un beau sanglier
S'amuse tranquillement
Dans son bain de boue.

Et un autre sur le cerf :

C'est bientôt l'automne
Le cerf va perdre ses bois
Pour passer l'hiver.

 Au crépuscule, les premières étoiles apparaissent dans la lumière pourpre du couchant. Le lendemain, le jour était chaud et le soleil nous enveloppait de sa lumière ardente. Les arbres semblent danser sous la canicule.

Progressivement les premières nébulosités apparaissent dans le ciel bleu. Un autre haiku me revient :

Des nuages blancs
Surgissent tout a coup
Des cimes des montagnes
 
De l'autre côté des montagnes l'orage se mit à gronder et le tonnerre résonne d'une étrange manière . Du crachin puis une pluie diluvienne s'abat sur nous. Il pleut des cordes ! C'est une vraie bourrasque qui déchire le ciel !



Le vent sifflait entre les tuiles mal jointes du toit. Allongé bien au chaud au fond de mon canapé, j'entends le clapotis des gouttes contre le toit de la cabane. La flamme étouffée s'efforce de renaître et le feu crépite doucement dans l'âtre.
N'oublie pas la chanson de la montagne, Thibault, avec ce beau soleil estival et la dégradation orageuse qui nous trempe entièrement.