Cahier de textes des 4emes 1 de Prades

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Phrases complexes

LES PHRASES COMPLEXES sont constituées de deux propositions minimum. Chaque proposition contient un verbe conjugué.
Les propositions peuvent s'enchaîner de différentes manières :
I- LA JUXTAPOSITION : On dit que deux propositions sont juxtaposées, lorsqu'elles se suivent  et sont séparées par une virgule (ou un point-virgule).
Exemple : 'je me meurs, je suis mort, je suis enterré.' (L'avare, Molière)
II- LA COORDINATION : deux propositions coordonnées sont reliées entre elles par une conjonction de coordination (mais - ou - et - donc - or - ni - car).
Exemple : 'Je pense donc je suis' (Descartes)
III- LA SUBORDINATION : une proposition subordonnée est une proposition dépendant d'une proposition principale.
      1) La proposition subordonnée circonstancielle :
Exemples : Je mets un imperméable, quand il pleut.
                 Tu prends une tasse de café, parce que tu adores le café.
      2) La proposition subordonnée relative : cette proposition dépend d'un nom (l'antécédent).
Exemple : La pièce, que vous devez lire, est une oeuvre de Molière.

http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-59292.php

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Phrase simple/phrase complexe.

Définitions

Une proposition est un groupe de mots généralement constitué autour d’un verbe conjugué. Elle comporte normalement un sujet et peut aussi avoir un ou plusieurs compléments.

Une phrase simple ne comporte qu’une seule proposition, et donc qu’un seul verbe conjugué. Il mange sa soupe. Il pleut. Le chat observe une souris.
Une phrase complexe en revanche comporte plusieurs propositions, et donc plusieurs verbes conjugués.
Dans les phrases complexes, les propositions peuvent être liées de trois manières différentes : par juxtaposition, coordination ou subordination

La juxtaposition consiste à placer deux propositions indépendantes l’une à la suite de l’autre, sans autre lien qu’un signe de ponctuation (généralement une virgule, un point-virgule ou deux points). Il fait réchauffer sa soupe : elle était froide. On dit dans ce cas que les deux propositions sont juxtaposées.

La coordination consiste à relier les propositions par une conjonction de coordination Il bâille et il s’ennuie.
La subordination établit un lien de dépendance entre deux propositions indépendantes Dans la phrase : Il est fatigué parce qu’il n’a pas assez dormi , la subordonnée "parce qu’il n’a pas assez dormi" complète la principale "Il est fatigué".

1 je sais repérer une phrase simple et une phrase complexe
2 Dans la juxtaposition et la coordination les propositions restent indépendantes. Dans la subordination, l'une devient prpoposition principale et l'autre proposition subordonnée.

Citation :: Exercices
   Phrase simple ou complexe ?
   Délimiter les propositions
   Propositions juxtaposées ou coordonnées ?
   Propositions principales ou subordonnées ?
   Tout réviser
   TEST

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La complainte amoureuse d'Alphonse allais
adressée à la chanteuse Jane Avril

La lettre à double-sens: jouer avec le passé simple et le subjonctif imparfait

Ce texte d'Alphonse Allais, humoriste (1854-1905) respecte rigoureusement la concordance des temps : à l'imparfait de l'indicatif correspond l'imparfait du subjonctif.

Pour construire l'imparfait du subjonctif :
Prenez un passé simple de l'indicatif à la deuxième personne du singulier (par exemple, pour le verbe vivre : « tu vécus ») et enlevez le s final (dans notre exemple il nous reste le radical : « vécu- »
Ajoutez les terminaisons suivantes : -sse, -sses, -^t, -ssions, -ssiez, -ssent ;
Vous obtenez la conjugaison de l'imparfait du subjonctif :
que je vécusse, que tu vécusses,qu’elle vécût, que nous vécussions, que vous vécussiez, qu’ils vécussent.

exemple : « Croyait-il que je vécusse d'amour et d'eau fraîche ? » (ce qui est le pendant du présent : « Croit-il que je vive d'amour et d'eau fraîche ? »)

Ces sonorités souvent péjoratives( le suffixe-asse) donnent au texte un double sens particulier.L'emploi des verbes au passé simple et au subjonctif imparfait permettent des sonorités surprenantes...

Par ailleurs le champs lexical utilisé pour décrire la demoiselle n'est pas trés flatteur: beauté féroce, air froid, cruauté, orgueil, méprisante...
Et si derrière la supplique apparente d'un amoureux transi se cachait la pire des lettre d'injure?

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Alphonse ALLAIS (1854-1905)

Complainte amoureuse
Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les voeux que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis ;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes
Et je ne sais comment vous pûtes,
De sang-froid voir ce que je mis.
Ah ! Fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me plussiez
Qu'ingénument je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'opiniâtrasse
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez

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Comment apprendre des poèmes

http://www.le-francais-efficace.fr/HTLM/liste_poeme_puzzle.php

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La majorité des propositions subordonnées appartiennent à deux grandes catégories :
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les propositions relatives introduites par un pronom relatif qui, que, quoi, dont où, lequel et ses composés (auquel, à laquelle, duquel, desquels...)
Cahier de textes des 4emes 1 de Prades - Page 5 Puce

les propositions conjonctives introduites par une conjonction de subordination quand, comme, si, que et les composés de que (parce que, lorsque, puisque...)

Ces propositions subordonnées peuvent se trouver à des places diverses dans la phrase : au début ou à la fin (Il bâille parce qu’il est fatigué / Parce qu’il est fatigué, il bâille.), à l’intérieur de la phrase, par exemple pour compléter un nom (La trousse qui est sur la table est à moi.) ou pour compléter un verbe (Il affirme qu’il a raison.)

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Pour donner la nature d'une proposition subordonnée, on analyse la classe grammaticale du mot introducteur ou, s'il n'y en a pas, le mode du verbe noyau.

• La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination : que, quand, lorsque, comme, parce que, pour que…
Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].

• La proposition subordonnée interrogative est introduite par un mot interrogatif (pronom, déterminant ou adverbe) : elle peut être transformée en question.
Les gens du village se demandent [si le mauvais temps durera longtemps].
→ Le mauvais temps durera-t-il longtemps ?

• La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : celui-ci représente un GN ou un pronom.
On entend le vent [qui mugit]. (qui représente le groupe nominal le vent)

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- les complétives : elles sont, la plupart du temps, complément d'objet direct (voir à l'entrée complétives). On les appelle parfois "substantives".
- les relatives : elles sont complément de nom ou de pronom. On les appelle parfois "adjectives".
- les circonstancielles : classées selon les sept nuances (voir ci-dessus). On les appelle parfois adverbiales.

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Phrases complétives ou relatives

* La complétive par 'que' complète un verbe .

Exemple : J'ai su que vous viendriez

J'ai su quoi ? que vous viendriez

* La relative par 'que' complète un nom.

La photo que je regarde est belle

Je regarde quoi ? que = la photo

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Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les voeux que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis ;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes

Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes

Oui dès l'instant que je vous vis
, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous
Mais de quel air vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de je rendis !
De quelle    vous fûtes !

Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond vous eûtes
Pour les que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis ;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes

Et je ne sais comment vous         ,
De voir ce que je mis.
Ah ! Fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me
Qu'    je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez

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Capitaine Caaaaaaverne ! a écrit:: Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de soupirs je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond dédain vous eûtes
Pour les voeux que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis ;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes

Oui dès l'instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous aperçûtes

Oui dès l'instant que je vous vis
, vous me plûtes
De l'amour qu'en vos yeux je pris
Sur-le-champ vous vous
Mais de quel air vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de je rendis !
De quelle    vous fûtes !
Mais de quel air froid vous reçûtes
Tous les soins que pour vous je pris !
Combien de je rendis !
De quelle cruauté vous fûtes !
Et quel profond vous eûtes
Pour les que je vous offris !
En vain, je priai, je gémis,
Dans votre dureté vous sûtes
Mépriser tout ce que je fis ;
Même un jour je vous écrivis
Un billet tendre que vous lûtes

Et je ne sais comment vous         ,
De voir ce que je mis.
Ah ! Fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me
Qu'    je vous le disse
Qu'avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
Et qu'enfin je m'
Et que je vous idolâtrasse
Pour que vous m'assassinassiez

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Séance 1. Georges Dandin

Le titre Georges Dandin
suppose qu'il va être le dindon d"une farce

comprendre les enjeux de la pièce:

1. Angélique est la femme de George Dandin. Elle est la fille de M. et Mme de Sotenville. 2. Clitandre est l’amoureux d’Angélique. 3. Claudine, Lubin et Colin sont la servante et les valets. 4. La scène a lieu devant la maison de George Dandin, dans un lieu ouvert et public.

Le prénom Angélique évoque les qualités d’un ange », c’est-à-dire l’innocence, la douceur, la gentillesse. . Son prénom dit donc le contraire de ce qu’elle est. C'est une antithèse ironique.

Le monologue de la scène d'exposition,George Dandin est seul sur scène et raconte qu'il a fait un mariage d’intérêt. Son mariage n’est pas heureux : sa femme le méprise et sa maison lui est « effroyable »

◆ ÉTUDIER UNE SITUATION COMIQUE : LE QUIPROQUO* de la scène 2.. Lubin parle à George Dandin alors qu’il croit parler à « un homme », c’est-à-dire à un habitant du village . « Il ne faut pas dire que vous m’ayez vu sortir de là » (l. 40-41). Tout au long de la scène,il raconte son secret à un inconnu qui s’avère être le mari.

Scéne 3, 4, 5, 6 la confrontation. Il voit arriver M. et Mme de Sotenville, et veut leur annoncer la tromperie de leur fille . Ils lui reprochent son manque de savoir-vivre (« Est-il possible, notre gendre, que vous sachiez si peu votre monde », et lui rappellent que grâce à eux, il a gagné le titre de « Monsieur de la Dandinière ». Il accuse sa femme de lui être infidèle . Et le fait également savoir à Clitandre qui nie en bloc

L'effet de comique: LES RÉPLIQUES À DOUBLE ENTENTE d'ANGELIQUE. La première réplique d’Angélique est une invite à l’attention de Clitandre, mais si elle est prononcée avec une voix dure, elle peut donner l’impression à George Dandin et à Mme de Sotenville qu’Angélique est au contraire en train de le repousser . Ainsi, on a affaire à une triple situation d’énonciation : – Angélique et Clitandre se parlent ; – ils parlent à Dandin et aux Sotenville ; – ils sont entendus par les spectateurs qui s’amusent de la ruse des amants, de la naïveté des parents et du malheur de Dandin

1. Claudine reproche à Lubin d’avoir manqué de discrétion (l. 1 à 3). 2. Lubin demande à Claudine sa main (l. 33-34), puis un baiser (l. 79). 3. Claudine n’aime pas les maris jaloux et soupçonneux (l. 35 et 37).

ACTE II, SCÈNES 1 ET 2
Pendant que son mari lui reproche de ne pas respecter les liens du mariage, Angélique fait des signes à Clitandre . Puis elle revendique le droit de vivre en société. G.Dandin est très en colère et craint d’en venir aux mains avec son épouse.

◆ ÉTUDIER UN THÈME : LA PLACE DES FEMMES AU XVIIe SIÈCLE.
D’après Dandin, une femme mariée ne doit vouloir « plaire qu’à son mari » et doit avoir des manières irréprochabless. En fait, selon lui, la femme mariée quitte la vie sociale pour ne s’occuper que des tâches domestiques. Angélique considère que son mariage ne lui interdit pas de continuer à bénéficier des plaisirs de la vie mondaine et qu’il n’y a rien là de répréhensible : « mon dessein n’est pas de renoncer au monde, et de m’enterrer toute vive dans un mari » . Elle veut profiter des « divertissements » et de sa « jeunesse » . Elle considère que la fidélité suffit pour que l’engagement du mariage soit respecté : « je ne suis pas capable de quelque chose de pis » Angélique a une vision très mondaine de la vie d’une épouse dont le rôle est de briller dans les salons par son élégance et sa beauté, ce qui est conforme au mode de vie de la noblesse de cour parisienne, le « beau monde » Inversement, pour George Dandin, l’épouse tient son ménage et n’y joue qu’un rôle domestique. Il s’agit d’une conception bourgeoise et campagnarde du mariage.

G.D a appris par une nouvelle indiscrétion de Lubin que Clitandre est chez lui, avec sa femme . Il veut aller chercher son beau-père et sa belle-mère, les parents de sa femme.

A l'arrivée de tous les personnages sur scène, au moment où elle se voit sur le point d’être surprise en compagnie de Clitandre, elle use d'une nouvelle ruse:elle fait mine de repousser brutalement ses avances et de lui donner des coups de bâton. Elle affecte ensuite de sortir par modestie, pour ne pas obliger Dandin à la complimenter sur la sagesse de son comportement. Dandin enrage, les parents sont ravis.

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III. Leur condition sociale

Organisez la liste des personnages sous forme d’organigramme.


	Lubin

George Dandin

Angélique

Colin

Claudine

Lubin

Puis reprendre les catégories sociales.

Entourez en rouge sur le schéma les nobles, en vert les domestiques et en bleu le personnage qui reste isolé.

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Capitaine Caaaaaaverne ! a écrit:: Séance 1. Georges Dandin
http://lettres-histoire.ac-rouen.fr/francais/activites/S%E9quences/sequence_Dandinnon_corrigee.htm

I. Le titre

Quel est le titre exact de cette pièce ?
Quels sont les différents sens que l’on peut donner au mot « confondu » ? recherche dans le dictionnaire.

II. Etude des noms

A qui est destinée cette liste? Le spectateur y a t’il accès ?

A quoi sert-elle ? Que contient-elle comme type d’informations ?

Observez le texte dans les pages suivantes. Qu’est ce qui diffère d’un roman ?
Etude sur la typographie. Toutes les phrases n’ont pas la même valeur dans un texte théâtral.

Lecture de la didascalie initiale et analyse des noms des personnages. Quels informations nous donnent-ils sur le caractère des personnages ?

George Dandin : Créer une hypothèse sur sa volonté de s’élever socialement.
Angélique : Créer une hypothèse qui se révélera fausse sur son côté doux, naïf,…
De Sotenville : Quel est le mot que l’on retrouve dans ce nom

Que remarque t’on chez les autres personnages ? Le nom nous renseigne t’il sur les origines sociales des personnages ?

Mise en parallèle avec d’autres didascalies initiales : celle des femmes savantes et celle du malade imaginaire.
Quels sont les personnages que l’on retrouve plusieurs fois ?
Qu’est ce que ces personnages ont de particulier ?

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Séance 1. Georges Dandin

I. Le titre

Quel est le titre exact de cette pièce ?

Quels sont les différents sens que l’on peut donner au mot « confondu » ? recherche dans le dictionnaire.

II. Etude des noms

A qui est destinée cette liste? Le spectateur y a t’il accès ?

A quoi sert-elle ? Que contient-elle comme type d’informations ?

Observez le texte dans les pages suivantes. Qu’est ce qui diffère d’un roman ?

Etude sur la typographie. Toutes les phrases n’ont pas la même valeur dans un texte théâtral.

Lecture de la didascalie initiale et analyse des noms des personnages. Quels informations nous donnent-ils sur le caractère des personnages ?

George Dandin : Créer une hypothèse sur sa volonté de s’élever socialement.

Angélique : Créer une hypothèse qui se révélera fausse sur son côté doux, naïf,…

De Sotenville : Quel est le mot que l’on retrouve dans ce nom

Que remarque t’on chez les autres personnages ? Le nom nous renseigne t’il sur les origines sociales des personnages ?

Mise en parallèle avec d’autres didascalies initiales : celle des femmes savantes et celle du malade imaginaire.

Quels sont les personnages que l’on retrouve plusieurs fois ?

Qu’est ce que ces personnages ont de particulier ?

Séance 2. Quand le rideau s’ouvre…

Introduction :

Etude du découpage

Observation du découpage dans le livre.

Qu’est ce qui figure en en-tête de chaque scène ? A quoi peut correspondre ce découpage en scène ?

I. Dandin, un mari comble.

Travail en groupes. Les élèves par groupes de 2 ou 3 relèvent les citations correspondantes aux questions.

Question 1. Relevez les termes qui indiquent l’origine sociale de George Dandin et de sa femme.

Question 2. Qu’est-ce qui l’a poussé à se marier avec une jeune fille de la noblesse ?

Est-il riche ?

Pourquoi cette jeune fille l’a-t-elle épousé ?

Question 3. Quel bilan fait-il de son mariage ?

Question 4. Quels sont ses griefs envers les nobles ? envers sa femme ?

Question 5. Comment George Dandin donne t’il une portée générale à sa situation personnelle ?

Question 6. Se révolte t’il contre son sort ? A t’il pour l’instant un projet précis pour modifier sa situation ?

Qu’apprend t’on lors de cette première scène ?

II. A qui s’adresse t’il ?

Est-ce que cette façon de s’exprimer vous paraît normale ?

Comment s’appelle ce type de paroles théâtrales ?

Visionnage du début du film Cyrano de Bergerac pour montrer l’ambiance du théâtre à cette époque

Le monologue a pour fonction de :

Dans la vie réelle une personne surprise à parler toute seule serait considérée comme folle. Est-ce le cas au théâtre ?

III. pour rire ou pour pleurer ?

a. Rechercher le champs lexical du regret

N’y a t’il pas des éléments qui nous font sourire ?

b. Définir le genre de la pièce

Manuel p.137 ( Foucher)

Définition de la farce.

Peut-on dire que George Dandin est une farce ?

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II. Lubin, un fin matois ?

Etude de l’Acte I, scène 2.

Quels sont les personnages présents ?

Lubin et Dandin

Les deux personnages se connaissent-ils ?
Que sait Dandin ?
Que lui apprend Lubin ?
Que sait le spectateur ?
Impact comique
Impact tragique

Le quiproquo au théâtre repose sur

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Comment bien commencer ?

Le titre d'un papier, c'est le premier contact du lecteur avec l'article.
Pour accrocher le lecteur, le titre doit être percutant et créer un désir.
Choisir un titre court
Le titre doit être court, pour que le lecteur sache tout de suite ce qu'il va lire dans l'article. Pour créer une envie, le journaliste utilise des mots "chocs".
Ces mots sont simples et doivent toucher le plus de lecteurs possibles.
Il n'est pas rare qu'un article commence par un dicton ou un jeu de mots.

Ecrire un chapeau
Le chapeau est le terme journalistique qui désigne le sous-titre ou le sur-titre. C'est en général une phrase ou deux écrites en caractères plus petits que le titre, qui expliquent le contenu de l'article. Le journaliste doit prolonger le désir du lecteur en résumant le contenu de l'article de manière attractive (citations, morceaux choisis, anecdotes).

Cohérence titre-chapeau
Si votre titre est attirant, le lecteur lira instantanément le chapeau, d'où l'importance d'une cohérence et d’une complémentarité entre le titre et le chapeau.
On parle de "parcours de lecture" pour déterminer le chemin que parcourt l’œil du lecteur sur la page entière du journal. Et, 9 fois sur 10, le titre et le chapeau sont lus dans le même temps.

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es éléments structurants

Cahier de textes des 4emes 1 de Prades - Page 5 Caf0a_2

Le corps d’un article journalistique comprend trois composantes spécifiques : L'attaque, les relances et la chute.
Etudions leur rôle respectif.
L'attaque
L'attaque, c'est la première phrase de l'article. C'est l'entrée du lecteur dans le papier.
Comme le titre, l'attaque est souvent "punchy" (surprenante). Pour les débutants, il est préférable de choisir une attaque courte et rythmée. Son but est de plonger le lecteur dans une ambiance, pour donner le ton de l'article.
Prenons un exemple d’attaque : "Lundi 8h00 prison de la Santé".
Cette phrase est courte et rythmée. Elle nous donne le lieu et l'horaire de l'action.
Mais l'attaque peut aussi commencer par une citation d'un " acteur " du sujet. Ex : "J'ai pensé à me suicider". Ce type d'attaque est très utilisé puisqu'elle touche la sensibilité du lecteur qui s'identifie à la personne.

Les relances
Comme son nom l'indique, une relance est faite pour maintenir l’intérêt du lecteur dans la poursuite de l'article entamé. Elle suit l’attaque.
Deux techniques spécifiques sont utilisées pour les relances.

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La chute
Le lecteur a lu votre article jusqu'au bout puisqu'il arrive à la chute, ultime phrase de l'article. Ne vous inquiétez pas si votre chute n'est pas brillante. Rappelez-vous que le journaliste est avant tout un artisan et non un artiste. Et le contenu de l'article (une info par phrase) est plus important que l'ouverture sur un autre problème ou qu'une morale dissimulée.
Néanmoins, selon votre style et votre forme d'esprit, vous pouvez orienter cette chute en lui apportant une vision, ou en vous permettant un petit clin d’œil.
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http://www.24hdansuneredaction.com/

une ifo, traitée par 4 médias différents.

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Vrai ou faux

une proposition relative compléte un nom

une proposition circonstancielle peut être enlevée de la phrase

une proposition conjonctive =une proposition complétive.

Une proposition principale peut être coordonnée

une phrase simple ne compte qu'une proposition

Une phrase complexe ne contient qu'un seul verbe conjugué

je suis insupportable: c'est une phrase coordonnée
je suis insupportable et j'adore ça: c'est une subordonnée relative

je suis insupportable pour que tous les élèves apprennent en classe: c'est une subordonnée circonstancielle de but.

lorsque, puisque, quand sont des conjonction de coordination.

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Ecrire un article de journal
Il faut une phrase d'accroche, une phrase choc, un titre accrocheur
Une date, un lieu
qui?quand?où? comment? pourquoi
notre correspondant local sur les lieux
notre reporter
réaliser une interview
notre envoyé spécial
accepter de répondre à notre micro.

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En tant que correspondant local de votre journal, je suis allé à la rencontre d'un homme"pas comme les autres"qui malgré sa grande timidité, a accepté de répondre à mes questions. Cet homme s'appelle Ali.
Vocabulaire
vivre dans des conditions insalubres
un marginal habitué aux brimades et aux regards méprisant des passant
invisible aux yeux de tous,un ancien soldat, qui par le passé avait fait preuve de son courage et de sa bravoure

les aléas de la vie

la déchéance sociale

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http://www.clemi.fr/fr/ressources/nos-ressources-pedagogiques/ressources-pedagogiques/decoder-la-representation-des-filles-et-des-garcons-dans-les-medias.html
http://www.clemi.fr/fr/ressources/nos-ressources-pedagogiques/ressources-pedagogiques/ecrire-un-article-denoncant-les-stereotypes-sexistes.html
http://education.francetv.fr/matiere/education-aux-medias/premiere/article/femmes-et-medias-d-information
http://www.clemi.fr/fr/ressources/nos-ressources-pedagogiques/ressources-pedagogiques/le-sport-au-feminin-quelle-mediatisation.html
http://enseigner.tv5monde.com/collection/terriennes
http://information.tv5monde.com/terriennes/jouets-commerce-publicite-politique-litterature-etc-les-stereotypes-ont-la-vie-dure
http://www.lesnouvellesnews.fr/stereotypes-dans-les-medias-a-lecole-dans-les-jouets-le-sport/
http://www.lesnouvellesnews.fr/category/divers/sexisme-ordinaire/

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Lettres a toutes les demoiselles
Je m’appelle alex , lucas , mathéo, jehan , j’ai 14 ans ,je suis un garçon normal de 4eme dans un collège normal.
Comme dans tous les collèges normaux il y a des filles .
Et comme dans tous les collèges elles se font insulter, traiter de «pute», de «salope», «bousculer»mais juste un peu, en passant, «peloter" de façon plus ou moins ou plus brutale, plus au moins salace par des garçons normaux ,comme ceux que j'appelle mes potes, des garçons comme moi, c'est à dire pas des caids, pas des terreurs, juste des mecs normaux, comme moi..Comme moi parce que moi aussi je voulais impressionner mes amis, faire comme tout le monde parce que tout le monde le fait ,pour faire le chaud pour me sentir supérieur, adulte , un vrai mec ou juste pour le fun. En fait, il en suffit d’un pourque tout commence.Il en suffit d’un pour que tous commence mais un seul ne suffira pas pour tout arréter. Je n’y arriverai pas tou seul.Parce que maintenant je me demande: à partir de quand il est vraiment trop tard?A partir de quand une fille commence t’elle à perdre totalement confiance en elle ,à éviter d’etre toute seule dans la cour, à redouter de devoir traverser un couloir où il y a plein d'élèves , à se sentir inquiéte quant elle marche sur le chemin du college , à renoncer à se mettre en jupe, à préferer se cacher sous des gros pulls ou un t-shirt large et surtout à se demander ce qu'elle à fait pour mériter ça, pourquoi elle renvoie cette image d’elle à avoir honte a ne pas oser en parler à ses parents et aussi à se demander comment se défendre ,( pourquoi moi ?). Je me demande aussi aussi a partir de quand elle commence a douter de moi alex, lucas, mathéo,jehan et a parti de quand elle commence à penser que les garçons sont tous les mêmes et que moi aussi je suis ce genre de garçon.Je sais je suis un garçon qui se pose depuis peu beaucoup de questions.
Alors j’écris ce courrier pour dire que ,meme si j’ai souvent eu la prétendue elégance d’ajouter à mes insultes rituelles des « c’est pour rire » ça va je rigole" j'ai fait partie de ce genre de garçons déjà des dizaines , des centaines de fois.

Mais je ne veux plus en faire partie.

j’ai vu en classe ce qu’était une publicité sexiste , j'ai vu en classe l'inégalité des hommes et des femmes, j'ai vu en classe le film ‘l’emprise’sur Alexandra lange, ,j'ai entendu parler en classe de Catherine Sauvage.
J’ai vu.
J'ai entendu.
Et puis j'ai décidé de me mettre en retrait et j’ai écoute dans la cour autour de moi et j’ai entendu une centaine de fois le mot ‘Pute’, j'ai vu les bousculades qui deviennent des pelotages qui ne portent pas leur vrai nom

Ma fierté en a pris un coup.

Et j'ai eu honte
Honte de la banalité de ces injures.
J’ai vu à quelle vitesse les mots pouvaient devenir des coups .
L’insulte blesse le coup tue une femme tout les trois jours en France je me demande combien de femme vont "[size=24]juste" prendre des coups ce soir, en silence, sans que personne ne le sache car elles ne porteront pas plainte, comme d'habitude...[/size]
Sans que personne ne dise rien...comme d'habitude...
Exactement comme Moi, je traitais de "pute" les filles de ma classe, comme d'habitude...
Je regarde les filles de ma classe et je me demande combien d'entre elles prendront des coups plus tard .
une femme meurt tous les trois jours.
donc un homme tous les trois jours cogne à mort.
C'est mathématique.
je ne veux pas en faire partie.
Un jour, je serai Papa
peut être papa d'une fille.
Qu'est ce que je vais bien pouvoir lui dire..."Ignore les", "ça n'a pas d'importance", "c'est rien, ne te fais pas de soucis"
Les mots n'ont plus de sens quand les injures finissent par des coups.
Je ne suis pas ce genre de garçon.
je dirai à ma fille et je dis à toutes les filles, même celles que j'ai blessées sans le savoir , " aie ton diplôme, aie ton travail, ton salaire, ton permis de conduire, ta voiture, pour qu'au premier coup, tu puisses te rappeler, ce que je t'ai dit, ma fille, ma princesse: au premier coup, tu prends tes jambes à ton cou et tu fuis, loin...
C'est une question de vie ou de mort.

On a toujours le choix.
J'ai fait le mien.

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Bonjour les pinpins.... bat'

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Vous le filles prenez garde salaire, vous les garçons, demandez vous si vous ferz poartie de ceux qui cognent
a toutes celles que j'ai bléssée et que j'ai envie de protéger maintenant

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Bonjour les pinpins.... bat'

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Phrase simple/phrase complexe.

Définitions

La lettre à double-sens: jouer avec le passé simple et le subjonctif imparfait

I. Le titre

II. Etude des noms

Séance 2. Quand le rideau s’ouvre…

Comment bien commencer ?

es éléments structurants

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