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| Défi de tonalités : l'incendie du collège. | |
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Auteur | Message |
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Hippie
Nombre de messages : 194
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 19:51 | | |
| Ce matin je courrais dans les couloirs, afin de ne pas arriver encore en retard. Dans ma course, la cloche retentit, je trébuchai, non je n'étais pas en retard, c'était l'alarme incendie. ! Malheureusement ENCORE un entrainement. Cependant, je trouvais ça bizarre, ceci m'intrigua, quelque chose de bizarre se passait. ... Cette fois-ci ce n'était pas comme les autres fois, ces fois où tout le monde rigole, ces fois où tout le monde descend les escaliers pour perdre du temps et pour passer moins de temps en cours, non ce n'ait pas pareil ! Les gens remontaient les escaliers que moi et ma classe avions emprunté, ils criaient, couraient, je fus prise d'angoisse. ! Je ne comprenais pas ce qui se passait. Les gens se jetaient des fenêtres, les gens criaient, les gens couraient, les gens pleuraient, plus rien n'allait, il y avait le feu. Affolée, tétanisée je me laissais entrainer par la foule qui se dirigeait vers l'extérieur, Des personnes étaient couchées par terre, écrasées ! j'aurai aimé les aider cependant, mon corps ne répondait plus ! A l'extérieur je regardais avec stupeur le massacre ! Cet énorme brasier m'effrayait.
Des larmes coulèrent sans savoir pourquoi elles étaient là !
A présent tout n'était que cendre !
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| | | kenshin
Nombre de messages : 471
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 19:54 | | |
| Du haut de ma fenêtre qui donne sur la cour de l'école publique où je travaille, j'assiste avec tristesse et chagrin au malheureux incendie de mon collège. De plus, nos splendides cahiers de mathématiques parfaitement tenus comme nos contrôles réussis la semaine précédente, ne sont devenus que de simples sublimes papiers mâchés d'une merveilleuse couleur cendre. ! Je regarde avec désespoir le feu qui dévore ce si beau bâtiment. Ce batiments est pour moi ma seconde demeure ! Une personne méconnaissable surgit des flammes. C'est Mon pauvre directeur qui a perdu son école. ! Il est couvert de cendres de la tête aux pieds. Une journée tragique, vraiment. ! Hélas ! L'école du bonheur pour nous est devenu un simple souvenir. - Spoiler:
TEXTE LYRIQUE Champs lexical de la tristesse : tristesse, chagrin, désespoir... Emploie du je Modalisateurs : de plus. Interjection : hélas ! Figure de style : le feu qui dévore ( personnification )
Dernière édition par kenshin le Mar 4 Mai - 16:24, édité 3 fois |
| | | kenshin
Nombre de messages : 471
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 19:56 | | |
| Du haut d'ma fnêtre qui donne sur la cour du bahut où je travaille, j'assiste à ce putain d'incendie d'mon collège. Les cahiers de math com les contrôles loupés d'la smaine dernière ne sont devenue que d'simples papiers mâchés couleur cendre. Jregarde st'énorme feu qui brule s'collège. Un mec que je reconnais pas,surgit des flammes, c'est mon dirlo à moitié cramé. Quel pestacle ! Piof ! C'te journée de fou ! Mais pendant quelques smaines, le mot école n'est plus dans ma p'tite tête. - Spoiler:
Texte prosaïques
Vocabulaire et constructions de phrases plutôt familières : Vocabulaire familier : Bahut, dirlo, d'la, c'te .....
Construction de phrases familières : Mais pendant quelques smaines, le mot école n'est plus dans ma p'tite tête.
Un mec que je reconnais pas,surgit des flammes, c'est mon dirlo à moitié cramé.
Utilistion de barbarisme : pestacle.
Dernière édition par kenshin le Mar 4 Mai - 9:56, édité 1 fois |
| | | Schtroumpfette
Nombre de messages : 693
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 20:13 | | |
| Même texte mais avec un autre registre. Là ce premier avril, on est allés en français où il y avait tout le monde de contents, et là il y a eu un vieux bruit comme un bruit de clé qui tournait dans la serrure. Du coup, y'a le prof' Msieur' Govaert, qui expliquait un truc sur les phrases, bon tfaçon' jme' tire en CFA donc j'en ai rien à battre des cours, mais bon la on a entendu Richard qui a dit "POISSON D'AVRIL". Là t'as, Msieur Govaert il s'est marré, et il a dit que il allait laisser fermée parce que comme ça les pti' malins s'échapperont pas. Il continuait son truc, et là y'a eu un bruit de ouf qui nous a tous pété les oreilles. C'était l'alarme à incendie. Tsais' on croyait que c'était pour déconner, un truc pour s'entraîner, mais on a entendu des gens qui gueulaient dehors. Alors Msieur Govaert il a dit de gerclait mais il y avait la blague à Richard qui nous a empêchés de se barrer. Là, il a chopé son sac, il cherchait, mais il a pas trouvé les clefs. Alors y'a des gars qui ont voulus défoncer la porte mais pffff, ils ont pas réussi, ils croyaient quoi ? Que ils étaient des Musclors ou quoi ? Eh oh ! Faut pas déconner... Alors on est allés à la vitre et y'avait le pti' Richard qui est arrivé avec une échelle tsais' avec son pti' air de MacGyver, et le prof il a dit qu'on devait évacuer dans l'ordre du cahier d'appel, c'est trop un malin, lui... Alors on s'est tous grouillés de descendre, et on est sortis saufs et sains. Ca gère !
- Spoiler:
Procédés: Oubli du ne (les pti' malins s'échapperont pas) On à la place du nous (on est allés) Les élisions fautives (là t'as) Les abréviations orales (le prof') Oubli du sujet (y'a le prof') Répétition superflue du sujet ( et le prof il a dit) Les interjections (Eh oh !) Mots vagues (un truc) Solécismes (Saufs et sains)
Dernière édition par Schtroumpfette le Dim 9 Mai - 12:39, édité 5 fois |
| | | Arès
Nombre de messages : 624
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 20:55 | | |
| Voilà mon texte épique : Ce matin-là, je sors de mon lit déterminé. Je vais dans la salle d'eau d'un pas décidé, pour faire ma toilette matinale. Une fois préparé, je songe à la journée qui m'attend, je n'ai pas forcement envie d'aller au collège cependant, j'ai l'impression qu'il faut que j'y aille, que je vais servir à quelque chose. Il faut savoir que je suis asthmatique et que je dois toujours transporter ma ventoline sur moi. Je me rends donc en cours de français avec mes camarades et mon professeur, l'ambiance est bonne, cordiale, magnifique mais sérieuse tout de même. Notre pédagogue nous fait part de ses connaissances sur les principaux auteurs du 18ème siècle. Nous sommes tous captivés par ce cours passionnant quand tout à coup, une envie pressente d'aller aux toilettes se manifeste. Je m'y rends donc toutefois, en voulant ressortir j'entends la stridente alarme à incendie en outre, une odeur de brûler flotte dans l'air, je comprends aussitôt que cette fois ce n'est pas un exercice. Toutes les classes se précipitent vers l'escalier pour pouvoir s'échapper, sauf que la partie haute de l'escalier est en feu, des flammes, des colonnes, des montagnes brûlantes y siègent. Je me saisis donc de l'unique extincteur du collège, prêt à braver les flammes, au bout d'une dizaine de minutes l'escalier est de nouveau utilisable malgré sa couleur noire calciné. Les élèves et les professeurs se ruent pour descendre quand soudain, ma respiration se fait lente et difficile je suis en train de subir une crise d'asthme. Je plonge ma main dans ma poche pour attraper ma ventoline néanmoins, je constate avec effroi qu'il n'y est point. Mon souffle est pratiquement stoppé, je retourne avec une fulgurance i nvroyable vers les WC dans l'espoir de retrouver le précieux médicament. Effectivement je le retrouve au pied du lavabo, je l'empoigne et l'utilise promptement, ma respiration redevient peu à peu normal. Je me retourne et découvre avec horreur qu'un rideau ardent m'encercle, je suis piégé, je me trouve dans une véritable fournaise. Dépourvu d'espoir, je me jette dans les flammes et m'endors à tout jamais. C'est épique car :Le héro combat le feu et sauve les élèves. Il y a des gradations : des flammes, des colonnes, des montagnes brûlantes y siègent. ou encore : l'ambiance est bonne, cordiale, magnifique . Il ya des hyperboles : une fulgurance i nvroyable etc.
Dernière édition par Arès le Mar 4 Mai - 18:53, édité 6 fois |
| | | Bob-Marley
Nombre de messages : 271
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 20:58 | | |
| Un beau matin du mois avril, mon réveil sonne une légère mélodie pour me réveiller. Il fait un magnifique ciel bleu parsemé de petits nuages blanc. Je pars de chez moi pour une nouvelle journée unique au collège de Laruns les cinq monts. Une foie arrivé à l'établissement, comme toutes les belles matinées, je dois attendre l'arrivée du deuxième voyage.
A l'étonnement générale, l'alarme incendie se déclenche. Surpris, je vois le principal et les professeurs déjà présents sortir du collège. Ils nous disent d'aller au petit terrain de pétanque en minuscules gravillons juste à côté du splendide établissement. Nous voyons une flamme flamboyante qui est en train de faire brulé le bâtiment « Oh mon dieu ! »
Nous entendons la douce sirène du beau camion rouge et brillant des pompiers qui viennent pour nous aider à combattre le rouge étincelant qui faisait noircir le collège. Le bâtiment s'effondre est créé un nuage de poussière qui formée un petit démon. Heureusement, il n'y avait personne à l'intérieur, tout le monde a eu le temps de sortir de cette prison ardente de feu. ! Enfin c'est Monsieur le principal toujours avec son smoking qui nous l'a dit. Il faudra vérifier dans les décombres du collège. Après une rude bataille, les chevaliers du feu stoppent les flammes qui perdaient de leur brillance petit à petit. Nous allons voir s'il y a un cadavre dans les ruines toutes poussiéreuses et noircit par les flammes. A la stupeur générale, un corps gisait, complètement brulé.- Spoiler:
C'est la tonalité poétique, je ne sais pas si je l'ai bien réussite
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| | | Romulus
Nombre de messages : 435
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 21:26 | | |
| Voici mon texte :
Dans un collège dirigé par un tyran Une nouvelle inscription fut réceptionnée Voyant le piètre bulletin de l’étudiant Le directeur dictateur préféra décliner
L’élève emporté par une colère futile Décida de se venger contre ce mortel il empoigna un récipient de combustible Et répandit sur l’école des étincelles
Le véloce proviseur affolé s’envola Vers le petit portique le plus proche Une fois dehors l’individu se regroupa Avec les élèves se trouvant sous un porche
Mon texte est :
- Spoiler:
Poétique
Dernière édition par Romulus le Jeu 15 Avr - 22:15, édité 2 fois |
| | | Schtroumpfette
Nombre de messages : 693
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 21:31 | | |
| C'était un beau matin Un matin de printemps, Où le soleil et ses rayons Nous transpercent l'iris. Je décide de me diriger, vers ce lieu privilégié, ce paradis instructif qui nous en apprend tant. Eblouie, j'entre dans cette structure, Où l'on façonne notre culture, Et cadrons notre monture, Mais quel bonheur ! M'alignant donc dans ce joli rang, Bondé de petits écoliers, Je lis sur leur visage, Cette soif d'apprendre. Là, un homme de taille moyenne, Avec un sourire éclatant de blancheur, Nous emmena dans sa magnifique, Eclatante, brillante salle de classe. Il nous enivrait de connaissances, Tous impatients d'en connaitre plus Lorsque le concierge nous fît une petite blague, en nous enfermant dans la salle. Notre merveilleux professeur décréta, Qu'il laissera cette porte fermée, Pour que tous suivons jusqu'à la fin, Son cours si passionnant. Là, il y a eu un gigantesque bruit, semblable à une de ces castafiores, Qui brisent les verres avec leur forte voix : C'était l'alarme incendie ! Nous n'étions point affolés, Pensant que ce n'était qu'un entrainement, Cependant, une jeune fille cria, Tel une mère qui voyait son enfant se faire égorger. "Partez-vite mes chers !" S'exclama le professeur, Néanmoins, la farce de Richard, Nous porta préjudice. L'enseignant, enfourcha sa mallette, Pour chercher ses clefs, Qui chercha, chercha, Mais en vain... De là, nous étions tous laminés, Dans la peur constante de finir en cendres, Quand là, Richard arriva avec cette échelle, Et nous sauva, tel un surprenant héros.
- Spoiler:
Procédés: jeux sur les sons ( Qui brisent les verres avec leur forte voix allitérations en "r", jeux sur le rythme des phrases , quatrains, quelques rimes: Eblouie, j'entre dans cette structure,Où l'on façonne notre culture, Et cadrons notre monture.Figures de style ( paradis instructif )
J'avoue n'avoir utilisé aucun effet de symétrie, de parallélismes dans les constructions de phrases.
Dernière édition par Schtroumpfette le Mer 5 Mai - 21:44, édité 4 fois |
| | | Romulus
Nombre de messages : 435
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 22:14 | | |
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Mon texte pathétique :
Un homme vivant seul avait traversé de nombreux obstacles durant toute sa vie, pour accéder au poste de directeur, il se nommait Jean. Une nuit, il fit un étrange songe : un élève était arrivé, mais lorsqu'il voulait lui serrer la main il se transformait en une torche ardente qui brûlait toutes les tables, toutes les classes, toute l'école. Ce collège représentait pour lui sa raison de vivre, le but de sa vie. Alors, il se décida d'aller voir l'administration. Là-bas, les gens le raillèrent, le persiflèrent et le ridiculisèrent. C'est après de nombreux refus que l'administrateur accepta enfin de lui accorder sa requête qui demandait l’exclusion de l’enfant. Satisfait de la réponse reçue, c'est comblé qu'il rentra chez lui. Quelque mois après, le collégien reçu l'avis négatif, Ce dernier se dit alors qu'il devait venger cette offense. L'enfant décida de brûler l'établissement de ce fait l’infortuné proviseur serait alors victime du sort. Le jour forfait, Jean se trouvait dans le bâtiment. Soudain un orage se déclara et le courant électrique du collège fut coupé, l'élève pyromane s'introduit alors dans le lycée et mis ses plans à exécution. Une fois le courant rétabli, l'alarme incendie déchirant le silence averti le directeur aigri qui voyait les flammes arriver : il se dit que c'était la fin, il sauta par la fenêtre et observa sa vie partie en fumée, il laissa échapper de sa bouche des lamentations qui traduisaient son calvaire. Les émotions qui l'emportèrent furent la mélancolie, la morosité, le désespoir de ne rien pouvoir faire contre ce brasier qui consumait petit à petit sa raison de vivre. Il avait pourtant tout essayé néanmoins quelque chose de plus fort avait eu raison de lui.
- Spoiler:
Procédés utilisés :
-Champs lexical des sentiments
Dernière édition par Romulus le Jeu 15 Avr - 22:37, édité 4 fois |
| | | Romulus
Nombre de messages : 435
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 22:34 | | |
| Mon texte épique :
Il y a quelque temps de ceux-là, en France, non loin de l’Espagne, était un humble collège. Cet établissement était dirigé par un homme robuste tel Achille et rusé comme Ulysse. Une nuit, le directeur fit un rêve très étrange : un élève était arrivé, mais lorsqu’il voulait lui serrer la main, il se transformait en une torche ardente qui brûlait toutes les tables, toutes les classes, toute l’école. C’est ainsi que le lendemain, le principal reçut une lettre lui indiquant l’arrivée d’un nouvel élève. Il a décidé de prévenir l’administration de son effrayant songe. Il dut traverser de nombreux villages et affronté une kyrielle d’automobilistes courroucés. Là-bas, tous les témoins s’esclaffèrent à l’entente de sa requête. Toutefois, l’administrateur, étant très compréhensif, lui accorda sa demande. Quelque jour plus tard, l’enfant reçu l’avis négatif. Un écœurement s’empara alors de lui et l’élève décida de se venger. Il prit un bidon d’essence, un paquet d’allumette pour réduire en cendre établissement qui l’avait refusé. Il alluma un grand feu et regarda le collège s’effondrer. Le proviseur se trouvant à l’intérieur entendit l’alarme incendie qui hurlait de façon cyclique et il saisit alors un extincteur. Bien qu’il voyait les élèves qui détalaient vers la sortie dans un désordre incomparable, il entra dans une salle et aspergea les flammes démesurées qui dévoraient trousses, sacs, tables et c’est ainsi que des élèves apeurés purent s’enfuir de ce brasier. Par malchance, il se dirigea vers la sortie la plus proche qui s’écroula sous les flammes. Il fit jaillir le contenu de l’extincteur mais l’effort fut vint car les flammes croissaient, on comprend alors que pour se sauver, il changea de direction vers une porte plus éloignée, à partir de ce moment-là, le temps pour lui était compté car les gaz produits par le brasier l’empêchaient de respirer. Il traversa à toutes jambes le bâtiment mais plus les minutes passaient plus ses forces se dissipaient. C’est alors qu’il ne se trouvait plus qu’à quelques mètres de la sortie que l’énergie l’abandonna et il s’évanouit au milieu des flammes. D’après ce que l’on prétend, il avait eu beaucoup de chance et aucune flamme ne le toucha et c’est pour cette raison qu’il en sortit indemne, en revanche, d’autre suppose qu’une force surhumaine l’avait protégé des flammes. - Spoiler:
Procédés utilisés :
-récits de grands voyages pleins d'aventures et de grands combats... -mélange de fonds historiques et de légendes...
Dernière édition par Romulus le Jeu 15 Avr - 22:38, édité 1 fois |
| | | Romulus
Nombre de messages : 435
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 22:35 | | |
| Mon texte lyrique :
Un homme, proviseur de collège depuis quelques années vivait dans l'ennui et la morosité. Il avait toujours espéré vivre de grandes aventures mais, jamais il n'avait pu car son travail lui prenait la plus grande partie de son temps. Un jour, il reçut une lettre lui indiquant l'arrivée d'un nouveau cancre. Voyant son bulletin avec le parcours chaotique, il préféra le refuser. Hélas ! quelques semaines plus tard, l'effronté reçut l'avis négatif. Un écœurement s'empara alors de lui et l'élève décida de se venger. Il prit un bidon d'essence, un paquet d'allumette pour réduire en cendre l'établissement qui l'avait refusé. Il alluma un grand feu et regarda la bicoque qui faisait office de collège s'embraser. Eurêka ! la seule chose qui le retenait était en train de partir en fumée. Le directeur venait de trouver un alibi pour pouvoir s’évader. Il jubilait de voir les pupitres se transformer en charbon. Il s'exalta de voir ce satané bâtiment, maussade, source de tous ses ennuis se consumer. Il sautillait de gaieté, de joie, pensant à La liberté qu'il aurait d'aller où il veut quand il veut. Il s'imaginait les grandes aventures qu'il allait vivre enfin !- Spoiler:
Procédés utilisés :
-Champs lexical des sentiments
-Interjections
-Parataxe, asyndète
-Mots traduisant la subjectivité
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| | | Arès
Nombre de messages : 624
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Jeu 15 Avr - 22:51 | | |
| Mon texte poétique :
Encore cette sonnerie de réveil Qui me retire de mon cauchemar Où tout n'était que vermeil Je me lève, me lave et me prépare
Je m'en vais vers le collège Vers la classe rouge de français Songeant à ces atroces pensées Que la nuit m'a révélées
Soudain une envie pressante M'emmena jusqu'aux W.C J'entendis l'alarme stridente Puis le verrou était bloqué
La chaleur s'amplifiait Les flammes tourbillonnaient Le fumée me fit tousser Puis mes yeux rouges me piquaient
Dans le rideau bouillonant je me suis jeté Je m'endors à tout jamais L'incendie, les flammes, le feu tout ça je le savais Le cauchemar de ce matin me l'avait révélé
Mon texte est poétique car il y a :
Figure de style : sonnerie de réveil Qui me retire (personnification) Jeux sur les sons : rimes tout le long jeux sur le rythme de phrase : rythme ternaire :L'incendie, les flammes, le feu. Et quelques pieds identiques.
Dernière édition par Arès le Mar 4 Mai - 18:56, édité 4 fois |
| | | kenshin
Nombre de messages : 471
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Ven 16 Avr - 16:33 | | |
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Du haut de ma merveilleuse et sublime fenêtre qui donne sur la cour de mon collège où je travaille, j'assiste gaiement à l'incendie qui brille de mille feux. Les cahiers aux couleurs resplendissantes comme nos pauvres contrôle malencontreusement ratés sont devenus que de simples papiers aux couleurs cendre. Une couleur sombre et triste. Je regarde le feu engloutir notre pauvre et triste collège. Soudain, une personne surgit de l'enfer. Notre très "sympathique" directeur recouvert de cendre de la tête aux pieds. Le mot école à soudain disparut au fin fond de nos pensées !- Spoiler:
Poétique
Figure de style : j'assiste gaiement à l'incendie qui brille de mille feux. ( métaphore ) Assonance en e.
Dernière édition par kenshin le Mar 4 Mai - 16:19, édité 1 fois |
| | | Arlequin
Nombre de messages : 352
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Lun 19 Avr - 21:51 | | |
| 1ère tonalité (tragique) : Voir sur feuille. 2ème tonalité (dramatique) :Voir sur feuille.3ème tonalité :Dring dring ! Oh non ! Il est l'heure pour moi ainsi que pour mes camarades de se ranger sous ce sinistre hall et d'attendre piteusement notre professeur. Un instant plus tard, la porte s'ouvre et laisse apparaître Mr. Barrère, notre professeur de physique-chimie. Ce dernier nous salue puis nous le suivons jusqu'à la salle 2. Pour la seconde fois nous nous rangeons discrètement puis Mr. barrère nous invite à pénétrer dans la salle. Je m'installe aisément, sors mes affaires et je propose de faire l'appel. Une fois terminé, le cours débute avec un léger bruit de fond. Cependant, au fur et à mesure que le temps passe les bavardements s'accroissent de plus en plus ce qui oblige Mr barrère à nous sanctionner. Toutefois, alors que le professeur nous demande de sortir une feuille la sonnerie du collège retentit. Chaque élève se précipite alors vers la porte, bien évidemment, sans la moindre inquiétude : encore un entrainement de sécurité.
Quand je sors de la salle avec un air euphorique, je décide de suivre Thibault et François et d'emprunter le deuxième escalier. Arrivé en bas c'est le brouillard total et les élèves sont paniqués, désorientés : un brouillard bruyant.
Hum, Hum ! Mais que se passe-t-il ? Je ne sais que faire, où aller... je reste incrédule. Le toit s'enflamme, le bâtiment se dégrade et moi impuissant qui regarde laborieusement le désastre. Pourquoi nous ? c'est affligeant tous ces cris, ces larmes et ces flammes qui font entrave, qui dominent le bâtiment. Mon coeur en adrénaline et bat à mille à l'heure, mon corps ne répond plus... Soudain une clameur me fait réagir, Richard nous fait signe de le suivre. Je fais donc l'effort de me relever puis arrivé jusqu'à lui il me présente un masque à gaz. Je cours, presser de voir la lumière du jour et de sortir de ce four. Et tout d'un coup : BAM ! Mon genou viens se heurter à un poteau de l'immeuble. Hélas ! Je me laisse choir sur le carrelage, la précipitation a pris le dessus et à présent je reste découragé, harassé, anéanti. Après quelques minutes, un long silence s'installe dans la salle, rien que le l'effondrement de l'immeuble se fait entendre. Je me susurre des paroles agréables qui me redonnent espoir et soudain le mur gronde, c'est ça il tremble tel un séisme qui s'accroît de plus en plus. Tout d'un coup, celui-ci s'immobilise et des tuiles s'abattent sur le sol. Quelques secondes après, un bruit strident se fit entendre et le mur se fissura. Pardis ! Je suis hébété, une grue se tenait devant moi et là, je laisse échapper un soupir et un sentiment de satisfaction s'empare en moi. Tout est fini, je devais vivre et à présent on m'emmène à l'hôpital.Tonalité utilisée- Spoiler:
Lyrique Voici les procédés propres à la tonalité lyrique que j'ai utilisés :- Spoiler:
Champ lexical de la colère, de la tristesse Ponctuation Figures de styles emploi du je Interjections Mots traduisant la subjectivité
Dernière édition par Arlequin le Lun 10 Mai - 19:47, édité 5 fois |
| | | Eve
Nombre de messages : 241
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Mer 21 Avr - 2:11 | | |
| Un malheur s'est abattu sur de pauvres collégiens perdus à Laruns, dans la Vallée d'Ossau, il y a quelques jours de cela ..
Leur fabuleux collège fut victime d'un incendie !
La journée commençait tranquillement, telles toutes les autres .. Les élèves suivaient leurs cours habituels .. La matinée s'exécutait .. Le début d'après-midi suivait son cours lui aussi, quand soudain, l'alarme incendie retentit !
Les jeunes étudiants ne se souciaient guère de toute cette agitation, pensant qu'il ne s'agissait que d'un exercice, comme chaque début de trimestre .. Quant aux professeurs, ils ne pouvaient cependant conserver le calme dans leurs esprits, car lors de ces simulations d'incendie, ils étaient prévenus plusieurs jours auparavant, or aujourd'hui ce ne fut pas le cas .. Leur panique se fit ressentir par tous .. Et c'est seulement après avoir quitté les bâtiments que les élèves purent confirmer leurs soupçons .. Le collège prenait feu !
A présent, plusieurs heures après le drame, on peut observer les ruines des lieux, et la tristesse de tous ces pauvres paysans démunis devant quitter leur campagne pour la grande ville, où leurs enfants pourront poursuivre leurs études, dans son prestigieux établissement .. Arudy ! _______________________________ - Spoiler:
Quel registre ai-je utilisé ?
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| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Sam 24 Avr - 23:40 | | |
| - Spoiler:
D'après les déductions de Shinigami . . . Mon texte sera lyrique !
L’incendie du collège.
« Devant moi, du désespoir, des cris, des larmes. Un enthousiasme pour certains bien qu’un peu d’effroi. Des flammes colossales se dressent et encerclent le bâtiment. Je les entends, elles se raillent. Elles nous regardent avec tant de réjouissances, elles sont infernales ! Un profond ressentit d’étouffement, de suffocation . . Plus d’échappatoire. Les murs commencent à s’écrouler lâchement, ils succombent à la puissance maléfique. Ce soir le coup final est donné. La lumière se tourne vers l'obscurité. »
La chaleur embrase tout autour de nous. Je n’arrive à distinguer que peu de visages . . Je vois le monde tourner autour de moi. - J’entends des voix. Petit à petit, je ferme les yeux ; aucun son ne parvient à m’atteindre. Je suis entrée dans un autre monde. Je me retrouve dans une salle, seule. C’est alors que j’aperçois, avançant à petits pas, quelques de mes proches. Une ombre, respirant péniblement me saisit la main et nous faisons la ronde. Comme nous étions, étant enfants, les couleurs reprennent vie dans mon coeur et mon esprit. Je traverse les frontières du temps. Des rires, des souvenirs. Je vois son sourire.
A mesure de tourner, un fond sonore se propage dans l’espace. Sibylline mélodie. Un peu enfantine . . A nouveau, un ressentit de suffocation, de quiétude. Le ciel s’obscurcit à mesure de tourner, il prend une tournure rouge, sanglante, froide, sombre. Les visages enjoués de mes compagnons se décomposent. Nos mains se séparent. Je suis alors éjectée par un vent impétueux à terre ! Les gens s’alignent et me fixent. Une larme au sol, il devient blanc, éclatant, aveuglant ! Ils tombent tous à terre et ne sont désormais que cendre et poussière.
Le réveil sonne. Ce matin, les premiers rayons de soleil font leur entrée dans ma modeste chambre. Ils traversent de part en part la pièce et procurent déjà une chaleur agréable. Je me hâte à la fenêtre afin de respirer l’air frais du matin. Du haut de mon embrasure, je scrute l’horizon. J’observe autour de moi le calme de la rue, je songe.
Que la nature est belle et généreuse, je lève les yeux au ciel. Il m‘interpelle : « Guérirais-tu les blessures et changerais-tu les étoiles avec moi ? Libérerais-tu, pour moi le bout de paradis qui est en toi ? Je t’emmènerai loin d’ici, on échouerait jusqu’à cette journée isolée, à jamais perdus pour l'éternité ». Je suis en admiration, je perds mon regard dans cette immensité, je ne veux pas partir, je ne veux pas me préparer . . . Je perds du temps, je savoure chaque seconde. Les hirondelles exaltent leur euphorie, elles volent à vive allure et chantent ! Elles sont libres.
Je franchis le seuil du bâtiment . . Comme toujours, dans cette merveilleuse et vaste cours, à l’instar d’un paradis verdoyant chamarré de somptueuses fleurs, des groupes se distinguent. La sonnerie retentit. Des notes harmonieuses se mettent à danser. Les doigts les effleurent : elles vont éveiller nos ouïes dans la commotion nostalgique de leurs élégies. « Ô sonnerie ! Tu es ma soeur, ma sonate, mon allegro. Ma symphonie, ma balade et mon prélude. »
Curieusement, l’harmonie produite par la sonnerie de 8h25 se fait suivre sans précèdent d’une autre tonalité. Une tonalité qui procure notre lasciveté. Oui, celle de l’alarme incendie . . . Je pose donc aisément mon sac dans le casier. Soudain, du fond des couloirs un rythme lourd, pressé, affolé s'avance : celui de pas et de personnes en détresse tel un peuple alarmé de l'apocalypse. Une panique se propage dans l’air ! Des frissons transpercent mon corps, je me demande bien ce qu’il se passe. Apeurée, je me presse à la cour.
Instantanément, la porte battante du couloir s’ouvre. Le personnel et quelques élèves s’empressent de sortir. Une personne leur tient la porte et les fait évacuer, je distingue une légère fumée s'en dégager . . Nous nous rapatrions au plus vite, ne cherchant plus à savoir où sont passés nos amis, au terrain de pétanque. Ô vaste territoire ! Combien de fois avons-nous dû nous rapatrier sur ton sol, afin de préserver notre sécurité ? Qui a était là pour nous, petits larunsois insouciants de notre immaturité ; à chaque fois que l'alarme sonnait ? Terrain, je te remercie pour tout. C'est avec désolation que je m'exprime ainsi . . . Aujourd'hui, c'est bel et bien la fin.
Un bruit sourd résonne au sein de l’établissement, nous ne savons guère d’où il provient. . . Il semble se hâter lentement . . Tout le monde se tait, observe autour de lui. Je puis observer des visages inquiets, perdus, des larmes légères pénétrant les pores de la peau. Un sentiment d’appréhension envahit la foule. Rien. Rien ne se passe durant ces quelques secondes. La tension augmente, les respirations se fortifient et prennent une allure éprouvante. Je recule doucement afin de me placer à côté d’une amie. Je fais un pas. Rien. Deux pas ; et là les vitres de la salle de physique chimie explosent. C’est alors que tout passe à vive allure, une myriade de flammes semble traverser le collège de part en part. Elles courent, elles sembleraient jouer à cache-cache et faire la course. Elles y prennent goût et continuent leur périple jusqu’à s’échapper par les fenêtres et encercler le bâtiment. Des flammes aux flots bleus, jaunes, rouges se déchaînent hideusement . . .
«Devant moi, du désespoir, des cris, des larmes . . »
- Spoiler:
Les procédés :
- Champs lexical des sentiments : la joie, (enthousiasme, réjouissances), la peur ( suffocation, appréhension, quiétude . . ) Une certaine intuition furtive (les couleurs reprennent vie dans mon coeur et mon esprit) Une certaine nostalgie (larme, silence, rythme lent)
- Une ou deux interjections : !
- Figures de style : blanc, éclatant, aveuglant (gradation), Elles courent, elles sembleraient jouer à cache-cache et faire la course (personnification), Il m'interpelle (personnification), à l’instar d’un paradis verdoyant chamarré de somptueuses fleurs, des groupes se distinguent. (comparaison), Des notes harmonieuses se mettent à danser. Les doigts les effleurent : elles vont éveiller nos ouïes dans la commotion nostalgique de leurs élégies. (métaphore)
-Emploi fréquent du "je"
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Dernière édition par CYBER le Mar 4 Mai - 10:20, édité 11 fois |
| | | CYBER
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| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Dim 25 Avr - 12:05 | | |
| - Spoiler:
Dur dur L'incendie du collège .
« Devant moi, la populace qui chiale. J’avoue qu'ça en réjouit certains mais bon y z’ont un peu peur quand même. Des géantes flammes envahissent l‘bahut ! Si si fréro j’les entends ! Elles se foutent de notre gueule. On peut plus rien faire tout s’effondre comme quand tu choutes dans une bouse »
La chaleur, elle dévore tout ! J’arrive pas à voir le people j’vois des ptit's zoizos tourner ! J'entends des voix . Plus de son peut atteindre-moi ! Chui entrée dans un other world quoi ! J'suis seule et là qui jt'e vois débarquer : des gens que j'connais ! Ils avancent comme des vieux à deux à l'heure. Et là y a une ombre qui s'est pas respirer qui m'prend la main et on fait la ronde. Tu m'aurais vu ! Je traversais carrément les frontières du time ! Quj'lai vu oui l'sourire de cte ombre ! A force de tourner, y a une musik qui s'répand dans l'espace . Une chanson genre tu vois dans les films d'horreur là avec des voix d'gosses ! J'ai encore peur ! Le ciel comment qu'il est d'venu tout noir ! Et rouge , ketchup ! Froid ! Oh lala ! Les viages des gens se décomposent ! C'est dégueulasse ! Nos mains se séparent et chui emportée par un grand vent par terre ! Les individus me regardent j'en flippe trop ! J'ai eu une larme qui a coulé et tombée au sol ! Et le par terre est devenu blanc ! Ca les a fait tomber et ils sont devenus de la cendre !
Eh chiote ! Le reveil qui sonne ! Encore ça va, il faut beau ! Les rayons sont carrément entrés dans la piole et y a déjà une chaleur trop cool. J'veux respirer alors j'vais à la fenetre. J'vois l'horizon. Dire qu'faut qu'j'aille au bahut -_- ' ! J'veux pas m'barrer d'la fenêtre ! Y a les hirondelles qui sont libres au moins ! Moi chui jeune illimité quoi j'en ai ma claque de ce quotidien d'esclave de mes deux !
Allez ! Let's go to the collège quoi ! pour pas changer, y a des groupes de jeun's éparpillés dans la cours ! La sonnerie sonne. T'as déjà vu des notes danser toi ? Pask y a des notes harmonieuses qui se mettent à danser. Et en plus, elles vont éveiller nos ouïes dans la commotion nostalgique de leurs élégies. Ah ouais j'te jure ! Ouais !!!! Ca sonne ! C trop cOol quOii ! Mais euh la c'est zarbi parc’que y a la sonnerie d'incendie qui sonne ! On est trop happy ! J’me presse d’aller voir Mylène ma bestOune forever :
« Eh Mylène - Ou allons nous ? - Au terrain de pétanque ! - C'est gagné ! C'est gagné ! - Ptdr ! » Mais avent J'pose mon sac dans le casier jaune pisse quand soudain du fond des couloirs un troupeau d'éléphant semble arriver ! Panique !
Mais Mylène me dit : "Pas d'panique à bord ! Le fun et la vitesse à bord !" Alors ch'vais mieux ! Mais j'ai des frissons !
Y a du monde qui sort des couloirs à fond la caisse ! Je vois une fumée sortire ! Vite ! Allons au terrain de pétanque ! On s'en tape de nos amis s'y crament ou pas nous on veut sauver notre peau ! Alors let's go ! Un bruit sourd mais on c'est pas d'ou il vient s'entend. On s'la ferme et on est inquiet. La tension augmente, les respirations respirent fort ! Je recule doucement pour me placer avec Mylène ! Je fais un pas et j'ai peur que il y est un truc qui arrive mais rien. Deux pas ; et Mun Diu ! Qu'ey a queste ! Les vitres de la salle de physique explosent ! Et puis là y a tout qui va vite, on voit les flammes qui traversent tout ! Elles sont méchantes et se déchaînent et sont trop moches. Na !
- Spoiler:
Procédés :
- Oubli du "ne" dans les tournures négatives : On peut plus rien faire
- "On" à la place de "nous" : On s'la ferme
- Mots et expressions vagues, ou à connotation péjorative : populasse, l‘bahut , chiote, tu choutes dans une bouse , comme des vieux à deux à l'heure, gosses, jeun's, trop moches, trop cool . . .
- Pas d'élision : Que il . . .
- Oubli du sujet : Et là y a une ombre, y a déjà une chaleur, y a les hirondelles . . .
- Multiples fautes d'orthographe, d'accords : Zarbi, zoizos ...
-Mauvaise orthographe d'homophones : une ombre qui s'est pas
- Répétition superflue du sujet : la chaleur elle . . .
- Ponctuation inutile dans une phrase : J'suis seule et là qui jt'e vois débarquer : des gens que j'conné !
Dernière édition par CYBER le Mar 4 Mai - 9:49, édité 6 fois |
| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Dim 25 Avr - 21:34 | | |
| - Spoiler:
Je me suis essayé à ce registre . . . Il s'avère un peu compliqué . . . J'aurais essayé. L'incendie du collège.
Face à moi on voit du désespoir, des cris et des larmes. On en voit certains enthousiastes bien qu'il aient peur. Des flammes encerclent le bâtiment. Les murs s'écroulent. »
La chaleur embrase tout. Je ne distingue presque plus personne. Le monde tourne. Je fais un cauchemar. Le réveil sonne. Il fait beau. Je fais un tour à la fenêtre. J'observe le paysage. Le paysage est beau. Les hirondelles volent. J'arrive au collège. Il y a plusieurs groupes d'élèves dans la cour. La sonnerie retentit. L'alarme incendie résonne. On pense que ce n'est qu'une fausse alerte alors on pose nos sacs dans les casiers. La porte battante s'ouvre. Des gens paniquent. On part tous en direction du terrain de pétanque. Un bruit survient. Tout le monde se tait et observe. Les vitres de la salle de physique chimie explosent et le feu s'en suit.
- Spoiler:
Eh bien pour ce registre neutre, il n'y a en somme pas de procédés si je ne me trompe . . J'ai fait en sorte de ne pas utiliser de modalisateurs afin de ne nuancer en aucun cas mon jugement . . J'ai également fait en sorte de ne véhiculer aucune émotion par des ponctuations. Tonalité neutre râtée puisqu'il est rempli de caractéristiques lyriques au contraire : on insiste sur le "je" lyrique ( Je fais un cauchemar, etc.), on a le champ lexical des émotions, beaucoup de parataxe qui traduit les pensées et les émotions qui se bousculent, pas mal de modalisateurs sont présents aussi ... ( Le paysage est beau, etc.)Voici le texte modifié . . . Je pense que je n'aurai pas dû me lancer dans ce registre . . Il s'avère compliqué . . . « On voit le fait de ne plus rien entendre. Des gens sont en état de crainte. Des flammes encerclent le bâtiment. Les murs s'écroulent. » La chaleur embrase tout. On ne distingue personne. Le monde tourne. Un cauchemar survient. Le réveil sonne. Il y a une météo favorable. Un pronom à la première personne du singulier va à la fenêtre. Il observe le paysage. Les hirondelles volent. Ce pronom arrive au collège. Il y a des élèves. La sonnerie retentit. L'alarme incendie résonne. On pense que ce n'est qu'une fausse alerte. On pose nos sacs. Une porte s'ouvre. Des gens paniquent. On part au terrain de pétanque. Un bruit survient. Tout le monde se tait et observe. Les vitres de la salle de physique chimie explosent et le feu s'en suit.
Dernière édition par CYBER le Lun 10 Mai - 20:34, édité 4 fois |
| | | Modo Aidactif
Nombre de messages : 22140
| | | | Eve
Nombre de messages : 241
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Mar 4 Mai - 10:14 | | |
| Ô malheur ! Ô désespoir ! Dans cette triste vallée, Maintenant désertée, Par ces collégiens sans espoir !
Personne ne se doutaient, Du malheur avant l'heure ! La journée continuait, Sans crainte et sans peur !
Quand la cloche retentit, Suivi d'une cacophonie de cris, Tout le monde parti, Courant vers la sortie !
Après ce drame, La grande ville les attendait, Mais ils n'avaient plus d'âmes, Pour aller y travailler !
|
| | | kenshin
Nombre de messages : 471
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Mar 4 Mai - 16:44 | | |
| Du haut de ma fenêtre qui donne sur la cour de l'école publique où je travaille, j'assiste gaiement à l'incendie de mon collège. Les cahiers de mathématiques comme les contrôles loupés la semaine dernière ne sont devenues que de simples papiers mâchés aux couleurs cendre. Une personne méconnaissable surgit des flammes. Je regarde avec envie notre cher bâtiments tomber en ruine. C'est mon directeur qui est couvert de cendres de la tête aux pieds. Une journée mémorable. Néanmoins, pendant quelques semaines, le mot école est devenue un souvenir inoubliables. - Spoiler:
J'ai essayé la tonalité humoristique cependant il n'y a pas de calembourg
Dernière édition par kenshin le Mar 4 Mai - 17:41, édité 1 fois |
| | | Modo Aidactif
Nombre de messages : 22140
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Mar 4 Mai - 17:04 | | |
| Edite vite en précisant les divers procédés à utiliser |
| | | Daredevil
Nombre de messages : 290
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Mar 4 Mai - 19:24 | | |
| " Ouai vas-y il regarde pas ! Chope la bouteille sur le coin de la table ! " " Oh et mate ce truc ! On dirait du charbon en poudre, oh et cette bouteille avec les grains jaunes, prends-là ! "
Encore un cours de Physique où c'est le bordel. Alors que le prof de physique(,) déballe son cours sans chercher à comprendre si les élèves écoutent ou pas. Deux d'entre eux, se faisant plus que chier, décide de mener dans leur coin, une expérience des plus explosives. Le premier des deux cancres(,) mélange bien toutes les poudres ramasser quelques secondes auparavant, l'autre de son côté attrape son briquet. Dommage pour eux, ces idiots n'imaginent pas les conséquences que vont avoir leur expérience. À peine ont-ils mis le feu aux poudres, qu'un flash lumineux aveugle la pièce. ! ( explique)
" Eh merde ! Qu'est-ce t'as foutus, abruti ! J'y vois que dalle avec cette lumière ! " " Ferme-là, bordel, c'est pas moi ! "
S'enchaîne alors un son puissant, suivi de près par une fumée blanche à l'odeur dégueulasse. Les élèves commencent à s'affoler, le professeur comprend aussitôt de quoi il s'agit. Il ouvre la porte de la classe et évacue aussi vite que possible les élèves, cela ne se passa néanmoins pas assez rapidement. Le fruit de la connerie des deux cancres, explose violemment envoyant voler à travers les fenêtres ceux se trouvant encore dans la pièce. À l'intérieur de la classe, il fait chaud à en crever, le feu se propage déjà dans les couloirs du collège, déclenchant cette alarme qui ne sert à rien jusqu'à présent. De mon côté, je me relève difficilement, projeter contre un mur par l'explosion, je saigne à plusieurs endroits, je suis tout de même heureux. Eh oui ! Qu'est-ce que vous croyez ? Le collège brûle et je dois en chialer, oh non ! C'est vraiment trop classe de voir ça ! Un rêve qui devient réalité, c'est pas tous les jours que ça arrive, autant vous dire que j'aime ça !
" J'hallucine grave la ! Du sang, des cadavres, un collège en feu, la classe ! M'enfin faut que je pense à sortir d'ici avant que tout me tombe sur la gueule... "
Je me lève, plus que content, limite si je ne verse pas de larmes de joie, faut dire aussi que j'attends ce moment depuis trop longtemps. J'ai même envie de donner un coup de main au feu, descendant les escaliers menant au centre du bahut. J'ai l'idée d'aller fouiller dans la cuisine, histoire de voir si je ne trouve pas quelque chose améliorant l'explosion, je pars donc pour le self. Je ressors quelques minutes après, traînant derrière moi une bouteille de gaz, avec ça, nous allons assister à quelque chose de magique.
" Me reste plus qu'à déposer ce truc dans le couloir d'en haut, nous sommes enfin débarassé de ce bahut pourrit. "Hélas ! Alors que je grimpe les marches, un voix derrière moi ma rappelle à l'ordre, je tourne la tête pour voir qui vient foutre mon plan à l'eau. Là je reconnais Richard, le concierge, comprenant ce que je veux faire, il s'approche vers moi.
" Non mais t'es malade ou quoi ?! Tu as de la chance de tomber sur moi, ce serait un des pions ou même M.Thouvenin, tu serais déjà renvoyé pour ça ! " " Mais c'est pas ce que tu crois, je voulais simplement vérifier quelque chose... " " Sors ! " " Huhu, pas cool ! "
Bien que déçu, je me bouge de là le plus rapidement possible, une fois dehors je remarque la panique générale régnant à l'extérieur. Des médecins m'accueillent et me passe une couverture dessus, c'est là que je me réveille, poussé de rêve si bon par ce tocard de réveil.- Spoiler:
Procédés lyrique :
- Poser une question sans inversion sujet-verbe : C'est toi qui as déclenché ça abruti ?
- Oubli du sujet : Faut dire.
- Les élisions fautives : T'es malade, t'as de la chance...
- La répétition superflue du sujet : Richard, il comprend...
- Les interjections : Eh oui ! Hélas !
- L'abus de mots vagues : ça, trop, cool,
- Oubli du "ne" dans les tournures négatives ainsi que restrictives : Ouai vas-y il regarde pas. Ces idiots imaginent pas les conséquences que vont avoir leur expérience
- Les abréviations orales : Le prof, la télé
- "On" à la place de "nous" : On ne l'écoute pas.
- Mots et expressions vagues, ou à connotation péjorative : Merde, bordel, abruti, gueule, pourrit, chope, dégueulasse, connerie. Un seul texte ? Recopie aussi la leçon sur les virgules. Revois la leçon sur les sons é, er, ait ...
Dernière édition par Daredevil le Mar 4 Mai - 22:14, édité 1 fois |
| | | Schtroumpfette
Nombre de messages : 693
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Mar 4 Mai - 22:10 | | |
| Ce 1er avril, en cours de français, j'étais épanouie. Oui, c'est ce genre de mâtiné où tu te dis que tu as de la chance de te cultiver dans une salle réchauffée, d'avoir un bon prof et d'être aisément assis. Un certain esprit farceur nous dévorait tous, quand un bruit de clef derrière la porte se fit entendre. Nous, les élèves, nous nous sommes inquiétés : serait-ce un élève farceur ?, ou même peut être le proviseur ? Eh bien non ! C'était tout simplement Richard, le concierge très farceur, qui, par ce premier avril, ne pouvait louper l'occasion ! Le professeur le prit avec humour bien sûr et décréta qu'elle resterait fermée jusqu'à la fin du cours. Il continuait avec gaieté son cours, tel un isard gambadant avec enthousiasme sur sa colline et avec autant de clarté que les premiers rayons estivaux. Puis, tout à coup, l'alarme à incendie et son bruit strident me perça les oreilles. ! Mais il n'était pas seul car il se mêla à d'affreux cris. Là, la panique nous envahissait et Mr Govaert nous hurla immédiatement de sortir, mais la blague de Richard nous en empêcha ! Il chercha donc ses clefs et, après avoir retourné sa sacoche, il nous annonça, l'air dépourvu, qu'il n'avait pas ses clefs. J'étais soudain prise dans un labyrinthe sans issue possible, le monde s'écroulait autour de moi, c'était 2012 avant l'heure ! Une lueur d'espoir m'éclaira lorsque quelques camarades décidèrent de défoncer la porte. Mais la réalité reprit le dessus : la porte en bois ne céda pas sous les acharnements des plus costauds!Cette fumée entrant avec une vitesse fulgurante me décourageait de plus en plus, persuadée que c'était la fin.. Mon réflexe fût de me diriger vers la fenêtre lorsque je vis Richard arriver mon subconscient prit le dessus, car il arrivait au ralenti comme le maître nageur d'alerte à Malibu, mais avec une échelle. Cela redonna vie à mon visage, qui lui avait commencé à faner. Nous avons donc évacué la salle, mon coeur battait aussi vite que les doigts d'une secrétaire sur son clavier d'ordinateur, avec 30 ans de métier... Au final, nous sommes tous sauvés et c'est le principal ! - Spoiler:
Procédés lyrique car : Interjections ( ex : Hélas) Ponctuation des émotions ( Nous, les élèves, nous nous sommes inquiétés serait-ce un élève farceur ?, ou même peut être le proviseur ? Eh bien non ! Avec 30 ans de métier ... ) Asyndète ( Mon réflexe fut de me diriger vers la fenêtre lorsque je vis Richard arriver mon subconscient prit le dessus il arrivait au ralenti comme le maître nageur d'alerte à Malibu cependant, avec une échelle. Phrase sans aucune ponctuation s, dite s sous l'emprise des émotions)Figures de styles : ( tel un isard gambadant avec enthousiasme sur sa colline ) Emploi du je : ( J'étais soudain prise dans un labyrinthe sans issue possible, le monde s'écroulait autour de moi, c'était 2012 avant l'heure. Une lueur d'espoir m'éclaira lorsque quelques camarades décidèrent de défoncer la porte. )
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| | | Shinigami
Nombre de messages : 208
| Sujet: Re: Défi de tonalités : l'incendie du collège. Ven 7 Mai - 17:02 | | |
| 7H30. Jour après jour, c'est la même chose, je me retournai donc à cause de la lumière éblouissante du matin, lorsque le groupe KISS se mit à jouer leur plus belle mélodie dans mon réveil, quel plaisir ! Cela faisait longtemps que je n'avais pas entendu telle chanson ! Après m'être préparé, comme chaque jour depuis plusieurs années, je vins sans trop le vouloir dans ce bâtiment public, tout en observant les clones qui y étaient regroupés. À peine rentrés, la cloche sonne. Les moutons doivent aller travailler, les quelques minutes de liberté qui vous on été accordée sont finie. Le cours de Russe, on ne peut pas trop dire que ça soit un réel cours, ou ben une continuation de la récrée, c'est, entre les deux, on va dire... Le cours pourrait être intéressent sauf que je dois aller faire mes besoins. Je demande gentiment, et je m'en vais de ce réel foutoir. Un peu de silence. Si je dois aller aux toilettes pour être tranquille, qu'est-ce que ça va être alors... Drinng. ~ Encore ? Rah, cette sonnerie ne tombe jamais au bon moment, décidément.. Sauf que là, les gens ont l'air de hurler, serait-ce de la peur !?! Je sors des WC. Oh mon Dieu, du feu, du feu à perte de vue ! Et maintenant, que peut faire l'homme face à un tel carnage ? En plus de ça, la fumée me transperce le regard. Suis-je en enfer !? Ah, non, je reconnais les chewing-gums collés sur les angles des murs.. Hum.. Ce n'est pas tout, mais, j'aimerais bien sortir moi.. « Je cours, toujours plus vite, avant qu'elle ne me dévore. » La sortie ! Je suis toujours content, lorsque je traverse cette porte. Les élèves sont là, ils ont l'air de ne pas comprendre ce qui c'est passé.. ► Pour mettre en œuvre mon texte satyrique, j'ai utilisé plusieurs procédés; Notamment beaucoup d'ironie (Il en faut ) Des critiques acerbes, et j'ai essayé d'introduire des pamphlet . Ex: - "La cloche à sonné, les moutons doivent aller travailler" (L.9-10) - "Les élèves sont là ils ont l'air de ne pas comprendre ce qui c'est passé" (L.35-36) |
| | | | Défi de tonalités : l'incendie du collège. | |
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