Réinventons des fables à partir d'une morale

**Aidactif** Nombre de messages : 10933

assasin's creed a écrit:: Voici ma fable :

Le lapin et le Castor

Seigneur Lapin, sur de l'herbe mouillée,
Tenait dans ses pattes une carotte.
Ministre Castor, par l'odeur attirée,
Lui parla à peu près de la sorte :
"Salue, messire rongeur.
Que vous êtes intelligent ! Que vous me semblez rusé !
Sans mensonge, si votre grandeur
Se rapporte à votre vitesse,
Vous êtes le plus rapide des animaux de ces bois."
A ces mots, le lapin goba les bobards du castor ;
Et, pour montrer sa grande vitesse,
Il déposa la carotte et courut en la laissant.
Le Castor s'en saisit et dit :
"Noble rongeur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien une carotte, n'est-ce pas ?"
Le Lapin crétin, et maladroit,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y reprendrait pas.

Rainho sullivan
Pastiche de

Jean de la fontaine

Ce ne serai pas, juste par pur hasard, un peu copié sur "Le corbeau et le renard", par hasard Suspect

?

Nombre de messages : 139

C'est quand même vrai ça y ressemble!!!

Nombre de messages : 1858

C'est vrai qu'il y a beaucoup de ressemblance !

Nombre de messages : 1241

Voici ma fable :

L'escargot et le guépard

Rien ne sert de courir : il faut partir à point.
L'escargot et le guépard en sont un témoignage.
L'escargot et le guépard,
Ont gagé d'inviter le plus de monde à leur repas d'anniversaire.
Qui avait lieu le même jour.
"Je vous parie, dit le guépard, qu'en un seul jour j'y arriverai.
-Très bien, répond l'autre, mais laissez-moi quelques semaines."
Et c'est ainsi pendant des semaines :
L'escargot travaille sans relâche,
Il envoie les invitations, prépare les moindres détails.
Pendant que le guépard, lui, ne fait rien.
Enfin, c'est le grand jour!
L'escargot peaufine les derniers préparatifs,
Pendant que le guépard cour dans tous les sens.
Quand il envoie ses invitations,
Tous lui répondent qu'ils vont chez l'escargot.
Car ils ont déjà reçu son invitation.
" Monsieur, dit l'escargot, écoutez un peu ceci :
rien ne sert de courir, il faut partir à point."

Nombre de messages : 507

Majestueux, ce poème, Saturne !

Nombre de messages : 541

C'est vrai ! Il est mirobolant !

Nombre de messages : 541

L'oiseau et le chat.

Il faut autant qu'on peut obliger tout le monde : on a souvent besoin d'un plus petit que soit.

Un oiseau, qui volait par là, s'écrasa sur un toit :
Blessé, il ne peut plus s'envoler !
Sur ce toit, se trouve Monsieur le Chat.
" Tiens, tiens, tiens, miaule-t-il ... Un oiseau sur mon toit !
Cela tombe bien, car j'ai un peu faim...
Toutefois, pour montre ma bonté, je vais t'épargner...
- Oh ! Je vous en remercie !" Chante-t-il.

Ainsi, très vite, cet oiseau s'est rétabli.
Mais un jour, il vit Monsieur le Chat dans de beaux draps !
Celui-ci est provoqué par un chien !

L'oiseau accourt,
de son bec jaune pique plusieurs fois le molosse,
qui part en courant.

Nombre de messages : 833

Le Corbeau et La Pie

C'est une pie qui semble tout ce qu'il y a de normale,
Mais cette pie-là,
Travaille dur nuit et jour;
Elle se lève tôt le matin, revient tard la nuit.
Elle, qui travaille dur, se gagne quelques sous pour nourrir ses petits,
Pas comme son voisin, le Corbeau.
C'est un Corbeau solitaire, qui aime se reposer chez lui,
Et qui n'aime guère travailler : ne rien faire, c'est tout ce qu'il sait faire.
La pie a peu de repos alors, quand elle en a,
Elle en profite pour aller se promener avec sa progéniture,
Et faire le plein de provisions !
Un jour, accompagnée de ses petits,
Elle rencontre pour la première fois ce fameux Corbeau,
Lui qui ne sortait pourtant jamais de chez lui.
Alors, surprise, elle lui demande :
"Que faites-vous ici, cher voisin ?
- Eh bien, comme vous pouvez le voir, j'attends que quelques oiseaux
Me laissent au moins un bout de vermisseau
Car, au jour d'aujourd'hui,
Je n'ai plus assez de nourriture !"
Mais sachant que la pie travaille dur
Et qu'elle s'activait jour et nuit pour avoir de quoi manger,
Pour avoir de quoi se faire plaisir et faire plaisir à ses petits,
Alors que le Corbeau eut honte et se mit lui aussi à chercher dans la terre
des graines et des vers.

Sans un peu de travail, on n'a point de plaisir.

Nombre de messages : 1858

Sublime !

Nombre de messages : 1241

chevalier noir a écrit:: Majestueux, ce poème, Saturne !

Merci chevalier noir et Viviane.

Nombre de messages : 1825

Bonjour, voici ma fable:

Le loup et la vache.

Une vache faisait téter son veau paisiblement.
Un loup, qui errait çà et là, la guettait depuis un moment,
ayant mal à la jambe, il demanda des soins.
En échange il lui promit la vie sauve.
La vache, qui était faible, accepta la demande.
Elle le soignait et le nourrissait jusqu'à ce qu'il guérisse.
dès que la jambe du loup fut réparée,
La vache lui demanda de partir de chez elle.
Et le loup ne tint pas sa promesse qui était de la protéger, et il mangea la vache.

La fable montre que la plus grande marque de reconnaissance à attendre d'un vilain coquin,
C'est qu'il ne vous inflige pas un nouvel outrage.

Nombre de messages : 255

Voici la mienne :

Le pauvre et le marquis

Un riche marquis se promène dans les bois,

Et tient dans ses mains une bourse.

Un pauvre, par le bruit alerté,

Vient à sa rencontre et lui dit :

"Je suis enchanté de faire connaissance avec un homme si bien vêtu et si riche !

De surcroit, vous avez l'air si vertueux et si bon !

Je sais par ouï-dire que vous êtes le plus grand seigneur de tous ! "

Le marquis, flatté par les paroles du pauvre,

Léve haut les mains pour montrer sa fierté

Et lâche la bourse.

Le pauvre s'en saisit et dit :

"Sachez que tout flatteur vit au dépend de celui qui l'écoute"

Le marquis rentre chez lui, furieux, et jure que dorénavant
Tous ceux qui osent le flatter se feront battre.

Nombre de messages : 1405

Excuser-moi pour le retard, mais voilà ma fable :

Le Lion et le Pivert

Un Lion, cet animal si puissant,
Que toute la jungle regarde en tremblant,
Ne peut plus rien avaler .
Depuis quelques temps, le seigneur Lion, si courageux,
Souffre d'une dent cariée !
C'est alors qu'il voit tomber devant ces yeux,
Un pauvre Pivert à l'aile cassée.
Le Lion, voyant la bonne la bonne affaire,
Lui propose à peu près ce marché :
"Je te laisse de notre monde respirer l'air,
Si tu me débarrasses de cette dent abîmée ."
Le Pivert, à l'aide de son bec pointu,
Dans la gueule du Lion, force, tourne, cogne,
Finit enfin sa besogne,
Retire la canine crochue.
Le Lion, enfin soulagé, ma foi,
Doit sa guérison au petit Pivert.
Encore un fois, et jusqu'à preuve du contraire,
on a souvent besoin d'un plus petit que soi.

Voilà ma fable r ir

Nombre de messages : 459

Ce ne doit pas être aisé de créer (en s'aidant de l'original) une si belle fable (je dis ça pour toutes bien entendus). top top top

Nombre de messages : 41

-Dragonfly- a écrit:

assasin's creed a écrit:: Voici ma fable :

Le lapin et le Castor

Seigneur Lapin, sur de l'herbe mouillée,
Tenait dans ses pattes une carotte.
Ministre Castor, par l'odeur attirée,
Lui parla à peu près de la sorte :
"Salue, messire rongeur.
Que vous êtes intelligent ! Que vous me semblez rusé !
Sans mensonge, si votre grandeur
Se rapporte à votre vitesse,
Vous êtes le plus rapide des animaux de ces bois."
A ces mots, le lapin goba les bobards du castor ;
Et, pour montrer sa grande vitesse,
Il déposa la carotte et courut en la laissant.
Le Castor s'en saisit et dit :
"Noble rongeur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute :
Cette leçon vaut bien une carotte, n'est-ce pas ?"
Le Lapin crétin, et maladroit,
Jura, mais un peu tard, qu'on ne l'y reprendrait pas.

Rainho sullivan

Pastiche de

Jean de la fontaine

Ce ne serai pas, juste par pur hasard, un peu copié sur "Le corbeau et le renard", par hasard Suspect

?

ben, c'est logique, puisqu'il a dit que c'était un pastiche de cette fable. s urp

Tu sais ce que c'est, un pastiche ? Sinon, regarde sur Google, tu comprendras content

Nombre de messages : 9

L'ours et la souris

Un ours se baladait dans la forêt.
Quand du miel il repéra.

Malheureusement, l'ours avait de trop grosses mains.
Soudainement, un petit passager passait sur son chemin.
- (étonné mais content, en mettant ses mains sur ses hanches) Oh ! Du miel.(étonné mais content, en mettant ses mains sur ses hanches)
- ( d'un air déçu en tapant sa cuisse)Je n'y arrive pas, j'ai de trop grosses mains, c'est une défaite.
- Bonjour
- Oh bonjour !
- Vous avez l'air contrarié. (d'un air interrogatif, en mettant sa main sur son menton)
- (Tracassé, signe "tant pis" avec ses mains).Oui, ce trou et trop petit pour que j'arrive à récupérer le miel.
- (joyeux) je peux vous aider parce que vous êtes désespéré.
- euh, oui, s'il vous plaît.
-La petite souris attrapa le miel.
- (d'un air reconnaissent) Merci, grâce à toi, ce n'est pas une défaite.
- De rien, on pourrait devenir ami. (joyeux)
- Oui, pourquoi pas. Il vaudrais mieux être amis qu'ennemie (content)
On a souvent besoin d'un plus petit que soin.

Notre inspiré est la fable "le lion et le rat."

Nombre de messages : 9

On s'est inspiré de la fable "le lion et le rat" pour inventer cette histoire.

L'ours et la souris

Un ours se baladait dans la forêt quand il repéra du miel qu'il pourrait dévorer.
Malheureusement, l'ours avait de trop grosses mains. Soudain un petit passager passa sur son chemin. L'ours était très contrarié de ne pas pouvoir attraper le miel. Le petit passager était une petite souris qui passait par là avec une petitesse exceptionnelle.
La petite souris, voyant l'ours désespéré, décide de l'aider.
L'ours lui dit qu'il a de trop grosses mains pour attraper le miel. (Heureusement, la petite souris était là pour qu'il puisse y arriver.)
Si vous voulez, je peux vous aidez grâce à ma petite taille.
-"Merci", répondit l'ours en faisant un signe de tête.
Trouvant ce geste très amical, la souris accepte de l'aider attrapa facilement le miel.
L'ours devint très heureux et lui proposa de devenir amis.
La souris accepta avec un grand sourire
On a souvent besoin d'un plus petit que soin.

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