Merci Anastasia !

tous vos poèmes sont magnifique. J'en ai également écris un il n'est pas aussi bien que certain mais il peu faire l'affaire

Quand tu entends crier
Des mots aussi dure que l'acier
Qui dévoile présent, futur et passé

Et qui te comble d’humiliation
Tu te fais ta propre interprétation
Tu essaye d'oublier

Que ces mots t'ont touché(e)s
Qu'il resteront gravés
Et qu'il ne partiront jamais

Les larmes et les pleurs
Expriment seulement une partie de ta douleur
Tu tombe dans un trou noir
Jusqu’à ne plus rien voir

Aaliyah, Merci pour ce poème, c'est bien, mais tu devrais faire attention à l'orthographe, c'est mieux quand on fait un joli poème de l'écrire sans faute. Je vais te signaler les endroits des fautes mais tu devrais te servir du bon patron...

Et maintenant la suite du poème : le petit chemin...

20 ans plus tard...

L'ultime chant des feuilles mortes,
Sous nos pas, brise le silence
Qui s'est glissé, en quelque sorte,
Entre nous qui marchons en cadence.

Pas même un cri d'oiseau de nuit
Ni le doux battement d'une aile
La forêt maintenant assoupie
Nous enveloppe, nous ensorcèle.

Pourquoi sommes nous venus ici
Espérant ranimer le passé ?
Le présent nous tient à sa merci
Nous vole nos mots, nous rend muets.

Hier nous étions comme deux frères
Aujourd'hui, nous voici étrangers
Nos goûts et nos chemins diffèrent
La vie nous a obligés à changer.

L'amitié, à l'instar de l'amour
A besoin d'une présence
Pour perdurer jour après jour
Et souffre quelquefois de l'absence.

Janine Laval
écrit il y a longtemps, mais remanié le 2 octobre 2014

Je suis en 6e et j'ai fait un poème en classe où il fallait utilisé les mots suivants : soleil, luire, bleuet, blé, vent, nuage, blanc, silence.

Voici mon poème :

L'automne :


Le vent frais souffle en bord de plage,

Les rayons du soleil luisent

Sous les nuages blancs, la fin !

L'été s'en va, l'automne prend place ;


Blés et bleuets ont succombé

Et les oiseaux font leurs valises

Les cheminées vont crépitées

Les châtaignes feront gourmandise


Voilà l'automne est arrivé !

Tu t'es bien débrouillée Mélina ! Il y a de belles personnifications en plus ! Pour la 2ème strophe tu as aussi fait des rimes croisées. Bravo !
Attention: crépitées : "crépiter" (les cheminées vont "mordre").

Ce poème parle des immigrés : 

 Ne vous souciez pas de moi
 Souciez-vous plutôt d’eux
 Eux qui  traversent la mer  à 1000, 
 Sur une barque pour 2
 10 morts et un survivant 
 Pour arriver en France où ils sont rejetés 
 Souciez-vous d’eux !
 Eux qui risquent leur vie pour en avoir une meilleure 
 Car même après toutes ces mésaventures 
 Ils gardent le sourire devant votre regard immature.   






    Réalisé par:*Griffon*

Dommage pour les fautes en effet,  mais j'aime bien ce texte qui touche à un domaine qui me tient terriblement à cœur vous le savez...

Bonjour Janine Laval !

Griffon ne sait pas encore qui tu es ni pourquoi ce sujet te touche, mais va le découvrir en novembre en étudiant tes poèmes sur le sujet des migrants et des SDF.

Que pensez-vous de ce poème :

Le temps de mes sentiments


Je pense de tout et de rien,
Quand le vent revient.
Il emporte les feuilles, elles viennent à moi,
Et me ramène tous mes souvenirs d'autrefois.

Les nuages cachent le soleil                                                               
Comme l'ombre cachent ma lumière.
Ma joie, ma tristesse, rien n'est pareil
Et j'attends que reviennent l'air.

Ma peur, ma tristesse cachent ma joie.
Je cherche ma voie.
La lumière réapparaîtra un jour,
Et mon sourire reviendra pour toujours.

méditrine

Modo a écrit:

Bonjour Janine Laval !

Griffon ne sait pas encore qui tu es ni pourquoi ce sujet te touche, mais va le découvrir en novembre en étudiant tes poèmes sur le sujet des migrants et des SDF.

Merci Modo !

Tout ce que je peux vous dire c’est que je suis en sixième,Écrire des poèmes  ce n’est pas seulement pour faire rêver les gens,c’est aussi  pour parler de ce qui se passe dans le monde .

J'adore ton poème *Griffon* il me fait songer à la chance que nous avons 

J'adore ton poème *GRIFFON*

Merci les filles  

Très beau poème Griffon, touchant et sérieux.

Méditrine, c'est joli !
Attention aux fautes que vous avez laissées ;) L'accord sujet-verbe dans la deuxième strophe, et le "rien ne..." (vous avez oublié la négation à cause de la liaison)
Petite question : est-ce exprès que vous parler de "penser de tout", et non "penser à tout", au premier vers ?

Merci beaucoup Uranie pour avoir précisé ma faute... Je l'ai rectifié.                        
Pour répondre à votre question, oui ceci est fait exprès d'avoir mis "penser de tout".


Je trouve que ton poème est fantastique *Griffon* !!!!!             

Merci

Je pense que je suis en train de sortir d'une très longue période triste et parsemée de péripéties plus ou moins douloureuses, si bien que je viens de "ré-écrire" un petit poème, chose que je n'avais plus effectuée depuis quelques années ! Inspiré par quelques jours très chauds un peu en avance qui m'ont fait repenser aux étés ici :
Oublier...

Sous le chaleureux soleil méridional
Il fait bon trouver,  parfois, un coin d'ombre.
Ne rien faire, si ce n'est écouter les cigales,
Balayer ses soucis et tout ce qui encombre.
Rêver nonchalamment, laisser courir le monde,
Changer à son goût la fin d'un film triste,
Nager dans la joie durant quelques secondes.
Ouvrir un livre, un roman futuriste
Sans violence ni nature moribonde,
Oublier, oui...
OUBLIER...Mais pas trop longtemps...
J.Laval 03.04.2021 Ribaute les Tavernes

J'en profite pour vous souhaiter de Joyeuses Pâques même en ces temps bouleversés, en espérant que vous soyez toutes et tous en grande forme et saluer aussi Modo  que j'ai lâchement "laissé tomber" depuis si longtemps !

Un nouveau très joli poème, @janine Laval !

Merci Modo, je suis enchantée de revenir un peu parmi vous ! J'ai beaucoup de travail cependant, car je prépare mon déménagement pour fin juin début juillet si tout se passe bien, et, en 18 ans nous avions accumulé tellement de choses plus ou moins utiles qu'il faut que je fasse un tri drastique ! Ceci n'empêche pas que je m'octroie quelques petites pauses dans la journée pour recommencer à lire, écrire, photographier et dessiner ! À bientôt pour des textes ou des photos et dessins sans doute... ! J'espère que tout va (à peu près) bien pour vous les uns et les autres, malgré ce reconfinement. Les temps sont assez durs.

Un tout nouveau, inspiré par un rêve,
Directement, sans retouche, peut-être y aurait-il à redire ?


Comme un fantôme...

Sur le quai luisant de pluie,
À l'heure morose crépusculaire,
Une ombre raide comme  un "i",
Se tient  sous un lampadaire.

Homme ou femme, on ne sait dire.
Attendant un train imaginaire
Pour voyager ou pour s'enfuir
De l'autre côté de la terre .

Tellement impassible et figé
Qu'il semble une statue de cire
Si ce n'est un frisson léger
Quand la bruine vient le refroidir.

Et la nuit tombe sur ce fantôme...
La pénombre tente de l'avaler
Comme on donne un coup de gomme...
L'ai-je vu ? L'ai-je rêvé ?

Le quai maintenant est désert,
Je ferme mon parapluie
Et je m"en vais.

Janine Laval 12.04.2021