Idem ma sœur proteste toujours à l'idée de m'être le couvert mais moi en étant l'aîné je dois être responsable de toutes ses gages  mais comme elle prétend pouvoir en faire qu'à sa guise car elle est la cadette et moi l'aîné

Dans ma famille, j'ai un frère qui est le benjamin,
une soeur qui est la cadette et moi, je suis l'ainée.
Ma soeur n'en fait qu'à sa guise quand mes parents lui demandent
de ranger sa chambre. Néanmoins, au bout d'un moment, elle le fait quand même.

Pendant les années de collège de ma soeur, alors que j'étais encore en primaire, nos soirées en familles étaient imprégnées d'une routine singulière avec ma soeur aînée. Chaque nuit, nos échanges étaient une cascade de taquineries et d'insultes, créant une complicité unique. Les repas étaient également des moments mémorables, où une simple purée en mousseline fade pouvait déclencher la consternation de ma mère, surtout à travers les réactions expressives et parfois amusées de ma soeur aînée. Avec ma soeur aînée désormais au lycée, je ressens parfois une solitude accentuée. Les souvenirs remontent, notamment les moments où, lors de nos disputent, j'ai tenté de lui rétorquer quelque chose, sans grand succès. Ces tentatives, bien que vaines, étaient empreintes d'une volonté de faire entendre ma voix dans notre dynamique fraternelle. Le changement de cadre avec son entrée au lycée souligne la nécessité de trouver de nouveaux équilibres dans notre relation. Ces souvenirs, bien que façonnés par  le temps et la distance, demeurent des instantanés précieux, témoins de notre lien familial exceptionnel.

Personnellement, j'ai une grande sœur et un petit frère. Ma sœur est affable la plupart du temps, mais elle peut aussi s'énerver facilement. Je ne la vois pas beaucoup, car elle est interne dans son lycée. Mon frère peut être gentil et mignon, mais pas souvent. Il m'arrive d'apprécier des moments passés à ses côtés, mais ce sentiment est fugace, car il s'envole à la première dispute. Dès qu'il y a une corvée à faire, il s'échappe subrepticement pour aller faire autre chose. Pour moi, sa malice est irréfutable : il arrive toujours à créer des histoires pour ne pas se faire punir. Il peut dire des ignominies sur moi et se jeter au sol en faisant le moribond la seconde d'après pour qu'on ait pitié et que l'on oublie ses insultes. Ensuite, il raconte des inepties à mes parents pour ne pas se faire punir, surtout que ses larmes sont prépondérantes pour faire en sorte de passer pour la victime et que je sois reclus dans ma chambre. On ne choisit pas sa famille, mais on doit faire avec. Malgré tout, je les aime tous les deux. Et ce n'est pas comme si j'étais un ange et que je ne me défendais pas.

Moi, ma sœur n'embellit pas ma vie.   
On rentre souvent en friction à chaque seconde.  Si je veux qu'elle m'écoute, il faut lui proposer de jouer à la console, hormis si elle peut gagner de l'argent.

Moi ça me rappelle ma petite benjamine ou cadette : une fois j'ai protesté pour qu'elle ne joue pas à la switch.

J'ai un frère cadet : lui et moi on ne s'entend pas très bien.  
Des fois même, il m’exaspère ! Mais au fond je l'aime de tout mon cœur.

Chez moi, j'ai deux frères, un ainé et un benjamin. Ils sont très pénibles quand ils n'en font qu'à leur guise. Moi, je suis la cadette et j'écoute plus que.

Moi, j'ai deux frères, le benjamin de ma famille, c'est le plus râleur de la fratrie.

Personnellement, j'ai quatre frères et une sœur, mais pour chacun, nous ne partageons qu'un seul parent en commun ! 

Pour deux de mes frères et ma sœur, nous avons ma mère en commun et pour mes deux autres frères, mon père !

 Je m'entends plutôt bien avec mes frères, mais beaucoup plus avec ma sœur, malgré nos différences comme le fait que j'aime taquiner les muses durant mon temps libre et que je reporte souvent les choses que je dois faire aux calendes grecques contrairement à elle qui n'écrit pas et qui aime faire les choses le plus tôt possible !

J'ai un frère.
Nous avons quatre ans d’écart, il est plus grand que moi.


On ne s'entendait pas vraiment ou pas du tout quand nous étions plus jeunes.

Depuis quelques années, ça va mieux entre nous.

Il m’énervait et on se battait.
Il est bien plus grand (il fait 1,95 m.) et musclé que moi du coup, il en profitait pour me martyriser.



Je me souviens qu'il m'a fait une cicatrice, des bleus et un coquard.

Bien sûr, il ne voulait pas me faire du mal, mais il ne gérait pas sa force.

Mais au fond, c'est quand même le nec plus ultra des grands frères.

Il se croit sorti de la cuisse de Jupiter et il est assez narcissique, ça n’empêche pas qu'il soit là pour me protéger et il n'est pas inexorable à mes pleurs. Son plus gros talon d'Achille est la gourmandise.

En grandissant, on se rend souvent compte que les disputes entre frères et sœurs sont souvent déclenché par un rien.

Moi, j'ai deux sœurs, une plus grande et l'autre plus petite, je suis la deuxième et c'est pénible d'avoir la petite qui nous suis partout et la grande vous rejettent quand elle est sur son téléphone. La grande est narcissique et se croit sorti de la cuisse de Jupiter et la petite tellement chou que quand on la gronde et quelle pleure on lui fait notre mea-culpa in extremis avant de se faire punir par les parents. Mes sœurs sont pénibles, mais son le nec plus ultra des sœurs. 

J'ai un frère, mais c'est un véritable cadeau empoisonné, il se croit sorti de la cuisse de Jupiter et il fait preuve de beaucoup d'hubris en plus d'être narcissique. Je ne voudrais pas le vouer aux Gémonies, mais dès qu'il fait une bêtise, il ne se fait pas gronder car il est sous l'égide de nos parents. Vraiment, il m'énerve, c'est une tâche herculéenne de le faire taire et j'ai l'impression de remplir le tonneau des Danaïdes quand j'essaie ! Il pourrait entrer au Panthéon des gens les plus énervants du monde.

Bonjour,
Alors moi, j'ai un grand frère de 18 ans et une petite sœur qui elle a 11 ans. Entre nous, il y a parfois de la sincérité et d'autres fois un peu de désaccord, ce qui fait qu'on se chamaille un peu. La seule chose que je retiendrai, c'est quand on essaie de demander pardon à quelqu'un, soit elle/il te répond ou soit elle/il est taciturne (pas d'humeur à parler). Le pire aussi, c'est quand on est en colère, on parle de manière laconique (qui s'exprime de façon brève, concrète) et cela peut blesser la personne à qui on l'a dit.

Parfois, les relations frères/sœurs peuvent se compliquer. Une simple remarque désobligeante peut entraîner une dispute. Ma sœur peut proférer des injures ou avoir un humour corrosif que je ne comprends pas toujours. Je suis très affectée par ces conflits, mais heureusement, ils ne durent pas longtemps.