joli !

Quant tu t'entraine de face,
l'adevèrsaire est vraiment coriace.
Mais quant tu médite pour gagné,
tu reste vraiment médusé.
Quant tu va pour la première fois au boulot,
tu pence que tous est crescendo.
Quant tu pence que tous est fini,
les défi recommence jusqu'a l'infini.
Mais quant tu prend de l'age,
tu tourne la page.

l'adevèrsaire est vraiment coriace.
Mais quant tu médite pour gagné,
tu reste vraiment médusé.
Quant tu va pour la première fois au boulot,
tu pence que tous est crescendo.
Quant tu pence que tous est fini,
les défi recommence jusqu'a l'infini.
Mais quant tu prend de l'age,
tu tourne la page.

quand ta voix monte crescendo

tu as l'impression que c'est comme de l'eau

c est tellement coriace

que a la fin tu t en alace

que tu te voile la face

quand tu médusé

ta l'impression que tu t amusé

tu chante devant des spectateur

tu as peur

tu est tellement fier

que tu as un cœur de pierre

merci

Creative a écrit:

C'est marrant on dirait que personne n'a signé la charte et ne connait le BP sur ce topic
Ce n'est quand même pas grand chose à faire

C'est vrai, manifestement, beaucoup ne se sont pas donné la peine de lire la charte à respecter en postant, pas même l'article 1.

Pour rappel :

https://cafet.1fr1.net/t15-charte-d-utilisation-du-forum

La vie est comme un jeu de carte ,
Soit tu perds, soit tu gagnes,
Il y à des moments coriace,
Où tu voudrais être le plus grand des as,
Il y à des moments de vie très lent ou des experiences de vie cresendo,
La vie peut monter à un haut niveau,
Une fois que tu medites,
Tu restes vraiment meduser,
Tu voudrais vraiment gagner,
Pour toi en fin de compte,
La vie n'est qu'un jeu.

Au début de cette histoire,

Qui restera à jamais dans ma mémoire,
Histoire d'une rencontre involontaire,
Avec ce nouveaux partenaire.

Je trouvais au premier regard
Qu'il avait l'air un peu trouillard.
Mais il, a su m’apprivoiser.
Son obéissance m'a médusée.

Dés le premier saut
Adorable et doux comme un agneaux, 
Ma confiance augmenta crescendo. 
Il était vraiment le plus beau. 

Bien campée à califourchon,
Sur ce coriace canasson,
Qui se prénomme caramel,
Je perfectionne ma mise en selle.

Le mensonge


Le mensonge, on y songe
Quand on ment on croit que ça ne se voit pas
On garde espoir pour que nos parents ne peuvent pas le voir
Un mensonge qu'on cache c'est comme un anniv qui se gâche.
Quand on te punit, c'est jamais au lit
Un mensonge coriace, je me prends pour un as
Plus un mensonge est gros plus la colère ugmente crescendo.
Ca se voit dans les yeux chez les enfants et chez eux
Mentir c'est une idée macabre tranchant comme un sabre.
Si ta vie se réduit à mentir, elle va mal se finir
Tu ments, tu vas en prison et le temps dure plus longtemps
Mentir c'est s'enfuir.
Quand tu as menti, tu le regrettes toute ta vie
Si tu continues comme ça tu pourras pas faire ce que tu voudras
Mentir c'est un crime.
Continues à mentir, c'est ta vie qui va pourrir
Mais tous le monde sait,
Que la vérité finira toujours par nous ratrapé
D'ailleur quand on leur dit la vérité, ils sont médusés.

Le doute est une sensation qui nous enveloppe.
Au début, tout va bien.
Ensuite, vous n’y pouvez rien.
En quelque temps…et hop !

Il monte en vous en crescendo.
Malgré tous les efforts, coriaces soient-ils, que vous déployez pour essayer de l’arrêter.
Rien ne peut la calmer, ni les gestes ni les mots…
Plus vous essayer plus vous avez des visions qui créent

Un gouffre plus grand que le précédent.
Dans lequel vous ne pouvez vous empêcher de sombrer.
Il vous méduse jusqu’aux os, desquels il peut maintenant se jouer.
Il vous empêche tous mouvements qui soient cohérent.

Cette puissance vous contrôle,
Vous êtes un acteur contraint de ne pas jouer son rôle.
Votre vision du mal sans cordialité s’étale telle une toile dans votre frêle subliminal.  
Sans votre avis s’installe un rapport de force faisant de vous un vassal.

Petit à petit c’en est finit de l’époque ou vous pouviez leurrer la fratrie.
C’est drôle ces rôle s’inversant sans que vous en ayez le contrôle
C’est comme un poids qui s’est abattu sur vous,
Lentement vous enfonçant dans un trou.

Vous savez, pensez, êtes convaincu, persuadé
Que vous êtes engloutit, ensevelit, enfouit, enterré
Sous ce poids ce tas, ce fardeau, cette masse
Dont vous êtes fatigué, épuisé, éreinté et las.

Que faire pour s’en débarrasser ?
Vous êtes déjà bien loin.
Faire demi-tour dans ce tunnel, et vous enfoncer dans la pénombre?
Vous aimeriez qu’on vous en demande bien moins.

C’est alors que c’en ai finit.
Deux option s’offre a vous.
Sans jamais vous retourner, recommencez tout.
Ou, progressez seul dans l’obscurité aussi infinie soit-elle.

Je vais à un concert
Avec mon adversaire
Nous montons en haut
On y va crescendo
Nous voyons un écolier
Il est p'tit grand est son cerveau
Il nous a méduser
Avec son grand château
Son père était coriace
Mon adversaire aussi
Il fait des acrobaties
Et Moi, je joue de la basse
Mon adversaire a gagné
Nous nous sommes réconcilié
Maintenant je joue avec lui
Nous sommes devenus amis

Sacha Makarewicz 5emeG

on pouvait faire des rimes croisees

cool celui là j'adore !

Citation :

J'ai un peu l'seum

comprends pas

IRIS a écrit:

cool celui là j'adore !

Citation :

J'ai un peu l'seum

comprends pas

le seum en fait ça veut dire j'ai la haine !
as-tu compris ?

Cochard a écrit:

La rageclette

Sur la table y'a des patates, des oignions, d'la charcut', des champignons, d'la viande et du fromage,

Et hop, une énumération pour M'sieur Delage !

Bref, une bonne raclette comme on les aime ;

Le fromage est coriace, ne veut pas fondre ;

J'en ai l'eau à la bouche et mon ventre gronde,

Ma faim va crescendo : l'hypoglycémie règne !

Je suis médusé de voir, les hôtes, ces autres convives bouffeurs de fromages s’empiffrer avec dextérité ;

J'ai un peu l'seum parce que moi, j'ai même pas pu commencé.

J'ai une faim de loup, je m'sens abandonné comme un oisillon tombé du nid, au bout d'un moment ça y est je pète un câble,

La machine c'est arrêtée : le courant est vraiment instable.

Maintenant t'es prévenu,

La prochaine fois, tu feras une fondue !

                                                                      Kilian Cochard 5^ème G

TON slam est super je pense que tu vas avoir une bonne note !

Mon slam (Lisa Nguyen 5e F)

La Famille


A toi qui est si coriace
Forte grâce à ta place
Tellement soudé qu'ils en sont méduser
Fortifié, elle est impossible à casser
D'un amour crescendo
Que l'on retrouvera tout là-haut
Tellement point banale qu'elle a le pouvoir de faire mal
Que vive la vivacité de nos vies devenu vital
Elle reste toujours gentille, c'est ça qui nous émoustille
Une famille qui ne saurait tomber comme des millions de quilles


Lisa Nguyen 5e F

juliette
le cam
5f                                                             Cet après-midi là




Le long du littoral,cet après-midi- là,
Le vent oriental me semble froid.
Ce n'est pas une journée rêvée,
Pour vagabonder ou bronzer.
Hissée sur mon skate,je glisse telle une flèche.
Le vent souffle son haleine glaciale,fend mes lèvres et les assèche.
Coriace sur ma planche cependant je fonce.
Sur moi une bourrasque s'abat comme une pluie de ronces,
Tenace, je ne renonce surtout pas .
Une ombre fugace me coupe la route: sans doute un chat!
Je vacille et chute sur l'asphalte mouillé
Plus de peur que de mal mais mon jean est souillé.
Soudain,médusée,je me tords;une douleur me transperce le dos.
Quel mauvais sort!Est-ce-la mort?Ma souffrance va crescendo.
L'esprit encore en alerte, je tente de dompter cette cruelle sensation
Je me relève,guerrière sans trêve,en me disant "Attention!"
Car au lieu de m'en sortir
Cela aurait pu être pire,
J'aurais pu périr ou éternellement souffrir,
Le martyre.

Bonjour, Monsieur Delage Voici mon slam: