Portrait d'une SDF et d'une bourgeoise :



Portrait d'une SDF :

Elle est assise, là, au milieu de ses cartons sur son petit coin de trottoir, dans le froid et la grisaille.

En haillons, elle est toute recroquevillée, dans ses vêtements usés.

On croirait presque la voir frissonner, si seulement on la regardait.

Ses cheveux sales et filasses tombent désordonnés sur ses épaules frêles. Son visage, prématurément flétri, ridé par l'air glacial, est terne et gris.

Tête baissée par la honte avec son petit écriteau, ses yeux sont cernés, comme perdus dans le vide, hagards. ..

Blottie contre son chien, elle semble craintive et apeurée, ses yeux fuient le regard des passants sans même oser les lever vers ceux qui détournent la tête d'un air parfois gêné, dégoûté ou méprisant, ni sur ceux qui passent ou l'enjambent dans la plus totale indifférence .

Mais on sent sur ses épaules, si on la regarde, toute la misère du monde, et c'est pourquoi on ne la regarde pas car sa vue donne mauvaise conscience aux acheteurs fortunés qui vont s'acheter des futilités ... son désespoir est criant et pourtant personne ne l'entend.

Elle semble comme inexistante, transparente aux yeux des passants, son malheur ne suscite aucune réaction.

Moins on la voit, plus elle s'efface ... Elle n'existe pas. Elle est SDF.






Portrait d'une bourgeoise :


On entend d'abord le bruit des talons de ses chaussures de cuir, qu'elle fait volontairement claquer, clap clap, pour qu'on l'entende de loin.

On voit ensuite sa silhouette gracieuse et élancée, emmitouflé dans un épais manteau de fourrure.

Elle avance, la démarche fière et altière, les bras chargés de ses derniers achats.

Son visage triomphant, fort crémé et rendu lisse, soigneusement maquillé avec art, est encadré de belles boucles de mèches soyeuses et colorées, retombant en cascades bien ordonné le long de ses joues et de sa nuque droite.

Elle tient à bout de laisse un petit caniche blanc, avec des rubans, parfumé et toiletté, qui avance devant elle, son grelot sonnant.

Sa tête semblant regarder droit devant, avec orgueil et dans la plus parfaite indifférence, pivote parfois discrètement pour vérifier du coin de l'oeil qu'elle fait bien son petit effet, qu'elle attire les regards ... Elle les accroche et elle le sait.

Ses yeux brillent de mille feux, elle rayonne d'assurance et de certitude, elle traverse la foule sûre d'elle et de son élégance.


Après son passage, comme s'il ne fallait pas l'oublier, subsiste dans son sillage la trace d'un parfum envoutant, suave et langoureux.


Elle ne passe pas inaperçue, ni elle ni sa fortune ... Elle est riche.

Texte d 'une mendiante aveugle

Dans une large rue, au milieu de la populace, mon attention s'attarda sur une jeune fille pauvre.
Elle avait un regard doux, mélancolique. Ses yeux était transparent comme
toute personne qui passait devant elle, sauf que la fillette était aveugle. Les traits de son visage trahissaient sa peur.
Quand de bonne grace certains passants s 'approchaient d'elle, c'est aussitôt en
courant qu'ils repartaient. En effet, la fille était repoussante,certes, car malade.
La demoiselle se noyait dans les quelques haillons en lambeaux, boueux et déchirés qu'elle portait sur elle. Elle était très squeletique, les joues creusées, ne pouvant ni boire ni manger à sa faim.
La jeune fille tenait précieusement dans ses maigres bras une peluche usée : le seul objet qu 'elle possédait encore.
Elle enviait tous ces écoliers qui passaient devant elle, et une honte de soi la submergea.
La pauvre enfant n 'y était pour rien , c 'est ses parents qui l'ont laissée, et laissée là à cette vie.
Elle est pauvre.

ps :CE texte je l 'ai écri en 5ème

Houlà, Heimweh, ton texte est magnifique !!!!

Cet homme au port de tête altier marchait avec aisance. Il était magnifique, avait de la prestance et portait de somptueux bijoux, qui le rendaient encore plus beau, tel un lion arborant fièrement ses griffes acérées. Il intervenait spontanément dans chaque discussion, même celles qui ne le concernaient pas. Sur un de ses bras musclés trônait une montre où jouxtait un bracelet fait d'or pur. Il avait de superbes voitures de luxe au coût astronomique. Il était fort comme Samson, et aussi rusé qu'un renard.

Il lisait du Balzac, du Baudelaire, savait écrire, compter et était même doué en astronomie. Il tenait des conversations que nulle personne lambda ne pouvait tenir ni comprendre. Il avait un esprit critique envers toutes choses. Quiconque aurait la témérité de l'offenser souffrirait comme aucun autre sur Terre. Quand il jouait, il ne voulait surtout pas perdre pour ne pas choir de sa place de vainqueur. Il était probablement le plus riche et le plus vaniteux de tous ceux que j'ai pu rencontrer.




Cette personne humble marchait d'un pas incertain. Elle hésitait à fouler la terre de ses pieds nus. Il était abîmé par ses mauvaises conditions de vie. Il était affalé sur lui-même et n'avait aucun bijou, tout juste quelques haillons, vêtu presque comme un homme préhistorique. Il ne parlait pratiquement pas, hormis pour demander une pièce. Il n'avait aucun muscle, tel un squelette décharné. Il vivait dans un endroit sale, malsain et délétère, où cohabitaient les rats, les araignées, les chauves-souris... C'était un vrai capharnaüm de misère !

Il ne savait ni lire, ni écrire, ni compter. Il ne discutait jamais avec d'autres personnes, même malheureuses. Il n'émettait aucune critique. En revanche lui les subissait en permanence, pour sa plus grande peine. Il n'osait pas dire du mal d'autrui, même s'il avait pu le battre. Il ne jouait à aucun jeu d'argent, bien que cela auraît pu changer sa vie. Chaque jour, il subissait le calvaire. Il n'était qu'un pauvre, parmi tant d'autres pauvres...

(Plus court encore, c'est possible ? Et que fait ce topic sur celui dédié à la description d'un riche et d'un SDF ?)

Sarah est une star. Elle est belle, grande, intelligente et respectée. Elle s'habille chiquement, elle achète du parfum haut de gamme et des voitures hors de prix. A chacune de ses sorties, elle est acclamée, suivi par ses fans et par les journalistes. Sarah embauche quatre gardes du corps, eux aussi à un prix exorbitant. Elle vit dans une maison luxueuse, un palace de six chambres, trois salles de bain, un jacuzzi, deux salons, trois étages et une piscine creusée.


Antony est une personne banale. Il part en soirée avec ses amis pour s'amuser. La semaine il travaille dans un magasin de chaussures. Antony vit dans un appartement de taille raisonnable avec femme et son chien Félix. Il a la vielle voiture de ses parents dont il se sert pour tous ses déplacements. Il ne mangeait pas de la haute gastronomie, mais des plats qu'il avait juste à réchauffer.

Portrait d'une personne riche et d'une personne SDF.

L'homme riche :

Il déambule, marche, court dans la rue avec son costard chic, sa montre en or et avec son élégance habituelle. Il dit "bonjour" aux passants, mais il n'est pas aussi généreux avec les personnes démunies, pauvres ou SDF. Il conduit une flamboyante voiture de sport, d'un prix qui n'est pas dérisoire, il est marié avec un mannequin et ils vivent un immense palace démesuré sur la côte de Miami. Il côtoie des hommes d'affaires très haut placé et il aime son travail, non pas parce qu'il lui plait, mais, parce qu'il lui rapporte d'astronomiques quantités de sous . Il est riche et fortuné.

L'homme SDF :

Il est affalé, couché, étalé sur son misérable et minuscule bout de carton, car c'est sa maison et sa seule famille. Il ne possède que quelques vêtements et sa couverture qui gratte et irrite. Personne ne lui tient compagnie, sauf des rats qui, comme lui, fouillent les ordures à la recherche d'un encas, des tas d'ordures ou des bouteilles de Vodka, qu'il boit pour oublier sa situation. Bien qu'il tende la main vers les autres, ceux-là ne lui redonne pas un "bonjour", pas un sou et même pas un regard. Il est pauvre et infortuné.

Un jour en allant me promener au centre de la métropole, mon frère et moi avons rencontré deux classes sociales complètement contradictoires ...

Il y avait cet homme prostré sur ce long trottoir. Il scrutait de manière subreptice, chaque passant en escomptant qu'on lui donne une petite monnaie ou une collation. Et quand on lui en donnait une, il s'y jetait dessus tel un lion famélique. Bref, il était malheureux comme Job, puis quand on le chassait des accotements, il déambulait dans toute la citadelle sans trouver d'autres abris, des fois, il se réfugiait dans des boîtes en carton voire des poubelles qui appartenaient à la population : c'était un vrai capharnüm pour dormir, entre les nourritures et les déchets etc.
Ce sens abris était seulement vêtu d'un faible haillon qui ressemblait à un Tee-shirt, et un pantalon percé. Ensuite, il marchait avec des sortes de souliers qui sont eux aussi troués et usés. Ce démuni était de taille moyenne : envions un mètre soixante, mais aussi trapu, courtaud, très svelte. Son visage était maigre, osseux et ridé, son teint de peau était livide comme un macabre avec des effets rosé sur les joues. Ses cheveux étaient plus ou moins châtains à cause des saletés, touffus et ondulés. Ensuite, quand on le regardait de plus près, sa physionomie semblait triste, froide et on voyait ses yeux bruns, cernés et larmoyants se fermer.
Cet indigent a la crainte chaque jour de trépasser à cause du froid, de faim ou encore de soif, attendait un pain béni ! Le jour où nous l'avons vu, il était d'état taciturne, excepté pour nous avoir demandé quelque chose pour lui ... Cet homme était abattu, accablé, affligé, dans un état morne et maussade. Cet homme vivait dans l'isolement et le chagrin ...
Cet homme était un SDF ...




Après, il y'avait cet autre homme qui marchait fièrement, avec promptitude. On l'entendait au loin claquer ses resplendissante chaussures sur l'accotement. Il vagabondait avec aisance, en étant sur de lui. Levant la main aux individus qu'il connaissait, il faisait intentionnellement choir sa manche pour dévoiler et exposer sa tocante en Or, et sa gourmette en Argent. Quand il se rapprochait de plus en plus de nous, on commençait à discerner sont élégant smoking ébène, ses admirables chaussures en cuir et son somptueux couvre-chef qui protégeait son visage des reluisants rayons de soleil.
En taille, il n'était pas étendu comme une girafe, ni grassouillet comme un hippopotame.
Avec son magnifique visage, cet homme alléchait toutes les admirables filles, il avait un visage lisse, un joli teint bronzé. Il avait aussi des cheveux qui étaient relevés avec du gel à parcimonie, ses yeux étaient bleu de mer turquoise.
Cependant, il n'y avait pas que sa beauté qui attirait les mademoiselles, il y avait aussi sa trésorerie, et pour lui, comme pour l'empereur Vespasien, "L'argent n'a pas d'odeur", c'est pourquoi derrière son coté d'homme parfait, il a déjà dupé des personnes. Et le connaissant un minimum, il peut se montrer très autoritaire comme les chefs d'armés, mais aussi très malpoli, par exemple il coupe la parole etc.
Toutefois, de temps en temps, il pouvait se montrer très généreux, il participait à des associations pour l'offre de jouets.
Or, se qu'il adhère le plus au monde, c'est ses gardes du corps qui sont téméraires et qui ont des muscles très prononcés, ses voitures qui ont coûtées une modique somme et surtout, son sublime argent, et avec cela, il reste tout de même un peu égoïste.
Cet homme menait une vie paisible, épanouissante. Cet homme était béat, radieux, comblé.
Cet homme était un riche, un millionnaire ...

Bonjour ce texte est celui d'une très belle chanson des:
Les Négresses Vertes

Il vase à vache qui pisse
Le vent n´a pas décorné les vieux
Il est là sous la pluie
Il ne sait où aller
Il est là comme un inepte
Il est plutôt paumé

{Refrain:}
C´est son chien qui le guide
Il va de pisse en pisse
Il va de crotte en crotte
Son destin est bien triste
C´est une vie de chien!
Il boit pour oublier qu´il vit
Il dort pour oublier qu´il boit
C´est un bien triste, un bien triste sort {x2}

Son patron est l´ordure
D´une usine de chaussures
Qu´ont pas l´odeur des pieds
Mais l´odeur du métier
Qui devait l´augmenter
De moins d´un moins que rien
Ça ne fait pas grand-chose
Mais ça fait toujours bien

{au Refrain}

Il était syndiqué
On l´a licencié
C´est pas toujours facile
De pouvoir s´exprimer
Il n´avait plus d´argent
Sa femme l´a quitté
Il est tombé de haut
Dans la bouche de métro

C´est son chien qui le guide
Il va de pisse en pisse
Il va de crotte en crotte
Son destin est bien triste

Il boit pour oublier qu´il vit
Il dort pour oublier qu´il boit
C´est un bien triste, un bien triste sort {x2}

Une vie nouvelle l´attend
Et c´est plutôt navrant
Sa maison de repos
C´est les stations de métro
Il ne l´a pas choisie
Mais ainsi va sa vie
C´est un homme abattu
Que l´espoir a perdu

Le sdf l'espoir est perdu alos le bourgeis rien est perduil veut pas partagpartagr

Moi si j'étais un millionnaire et si je voyais une sdf je serais généreux et je lui passerais des pièces .

Pour moi un SDF a un caractère gentil , il a une apparence un peut effrayante alors que le bourgeois est égoïste ,mais il est très bien habiller.

UNE PERSONNE SDF :

Un SDF , est une personne sans domicile et encore moins sans argent.
C'est une personne, qui toute la journée, tant bien que mal, cherche à manger.
Ce sont souvent des personnes accompagnées d'un animal, qui leur tient compagnie. Leurs seule maison est la rue, ils n'ont personne, pas de famille si bien que certains dépriment.