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Postez ensuite le ou les textes que vous aurez ainsi créés  

Je l'ai fait c'est sympa comme tout !

Il suffit de cliquer sur "jouer" et de se laisser guider

Moi aussi, voici ce que ça a donné pour moi :

Images secrètes

Lorsque je repris conscience, le spectacle commençait. Cette oeil m'a toujours paru comme une illusion. Ce soir un déluge de pluie tomba sur le jardin. Une lune me rappela ma solitude qui était un mélange de joie et de douleur. Un reflet se posa devant moi, ce n'était qu'un inconnu.

Hier, chez moi à l'ombre des statues, les dernières fleurs d'automne fleurissaient. Dans ma rue, les gens parlaient de cette nouvelle vitrine d'antiquaire. L'ancienne maison du Maire était un château désert. On aurait dit qu'un orage aurait tout ravagé à l'intérieur. La brise passait dedans et repartait
toujours aussi légère.

Ah d'accord, je comprends mieux maintenant ! je l'ai fait aussi et je trouve ça bien, il est sympa !!

A moi !


La confession silencieuse

J'ai toujours aimé collectionner les os. Couper la tête des dieux. Mais dans ce monde où le néant règne, un monde de tortures, où tous nos rêves sont veufs, le déluge a inondé le labyrinthe d'écho de mes larmes et a rendu l'eau trouble. De plus, hier, le génie des lieux m'a murmuré des instructions secrètes, puis est reparti comme un éclair dans l'azur. Maintenant, dans le jardin d'écho des rires d'enfants, il n y a plus de rose ni de veuves qui rit et font du théâtre. Maintenant, je vis dans un monde de morts, sans rêve. Je n'arrive plus à sortir les mots de ma plume, de ma bouche. Je ne suis plus observé, je fais ce que je veux. Mais je suis triste.

Je regardais le corps de mon chat immobile lui pourtant si actif. J'attendais comme le Messie le début du déluge. Dieu m'avait dit de plier bagage et de partir dans le désert. Avant tout, je souhaitais passer dans le grenier où s'est pendu un triste corbeau, malheureux comme Job.
Je dis un dernier adieu au velours de mon chat, au transparent de mes fenêtres... C'est un grand événement. Quelques jours plus tard, je partis en quête de ce désert sans fin. Sur le chemin, je croisai un groupe de gens avec un chien maigre, il avait la peau sur les os, avec un regard noir, insensible à l'amour et à tout autre forme de sentiment.
Un homme approcha en tendant un long couteau tordu vers moi. Pris de peur, je reculai, mais l'homme ne me voulait aucun mal. Il savait que j'étais l'élue. Il me tendit le couteau, je le pris avec regret. Il brillait à la splendeur de l'hiver. Je regardais autour de Moi, je vis un squelette, je frissonnai.
Quand je repartis, à l'ombre des statues, j’aperçus une mince ligne de lumière, dans la profondeur de la nuit. Le temps était compté, mais un choix s'offrait à moi : suivre cette lumière ou continuer ma route. Au moment où je m'apprêtais à suivre ma route, la musique douloureuse de la nuit me parvint.

Elisa6439 a écrit:

Avant tout je souhaitais passer dans le grenier où s'est pendu un corbeau, malheureux comme Job.

Il me fait bien rire le corbeau qui va se pendre avec ses petites pa-pattes !
Pas évident, de faire le nœud coulant !

Je n'arrive plus a accéder au site. Peut-on m'aider ?

Effectivement, le lien ne fonctionne plus
Il n'y a plus que l'atelier 1. Peut-être que le site est en maintenance ?!

Je rejoue !

(j'ai eu un problème : mon texte doit faire le triple de ceci, mais il ne l'a pas enregistré ! Vous n'aurez qu'un petit morceau !)

Mon bonheur ressemblait à ce fleuve étincelant. Je caressais mon dragon. Pas plus haut que trois pommes, mais avec la force d'un cheval ! Mon voyage commença plutôt ... brutalement.

Un matin paisible au château de Célestia. Les feuilles de l'arbre roux commençaient à tomber. Un danger approchait. Le ciel s'assombrit soudainement. Un éclair traversa le ciel. J'étais immobile. Mon Père m'appela depuis le balcon. Il disait que l’œuf allait éclore. Mon célestrier serait à l'origine de tout cela ? Je n'en ai aucune idée. Une fois l’œuf éclos, je devais nommer ce qui allait s'en extraire : Elessar. Cela voulait dire "dragon" en langage des elfes. C'était le dragon de mes rêves : Bleu. Un dragon d'eau !

Quelques jours plus tard, un écho me parvint. Il venait de la montagne. Quelqu'un appelait à l'aide. Je réclame à deux gardes du palais d'aller voir ce qui se passait. J'attendis des jours, des semaines, sans qu'ils reviennent et ces cris je les attendais encore. Serait-ce une de mes folies ? Je ne crois pas. Vu que Elessar l'entendait aussi....

J'ai choisi des images tristes du coup mon texte s'en ressent,
je ferai un autre plus joyeux

Nous connaissons ta valeur, dit l'ange de la mort, ne croit pas que ça soit une illusion. À la lueur de l'éclair, le pauvre monsieur, put apercevoir le cimetière derrière la muraille. L'absence de douleur ne l'étonna pas, car son cœur était devenu sec comme un désert qui n'a jamais vécu le déluge. Il se sentit traqué par la mort comme une petite bête pourchassée par un corbeau. Le squelette, assis à même le sol, fixait la porte en face de lui. Il tenait un livre ouvert au hasard où étaient notées des instructions secrètes. Lui qui a trépassé suite à un duel au pistolet se demandait pourquoi est-il toujours là ? Est-il plus important d'être ou de paraître mort ? Et ce chien qui est aussi squelettique que lui va-t-il abandonner ces personnes en chair et en os pour s'attaquer à lui ? Va-t-il abandonner la proie pour l'ombre?

« La vie est un départ et la mort un retour. »

J'ai tenté, ça fait un texte complètement étrange. Il fait morbide, et en même temps je trouve le résultat très beau :

Le temps de vivre, disais-tu. Au milieu de tous ces gens, mon cœur est un coquillage fermé où bat mon sang. Il s'y joue un théâtre dans le labyrinthe des silences. Perce-le d'un poignard, afin que coule cet océan de sang sur les peurs qui troublent mon âme. Qu'il éteigne cet incendie qui ronge ma vie, petit à petit, dans le vide du miroir. Je sens qu'on m'appelle depuis le gouffre. J'aperçois mon moi dans une mince ligne de lumière, comme un espoir, doux comme les dernières fleurs d'automne avant qu'elles ne deviennent la proie de l'ombre et ne se figent dans la splendeur éternelle de l'hiver, en corolles glacées, comme un chef d’œuvre mystérieux. Je découvris alors l’énigme du sommet, qui se cachait dans l'ombre. Ses yeux brillaient dans un rayon de lune, et pour seule réponse, j'y aperçus le vide et le silence.

Superbe !

Le vent d'Est a rendu mon voyage périlleux. Je dansais de pays en pays, je faisais le tour du monde. Sur terre, dans l'océan, des cercles m'entouraient sur le balcon de ma vie. Je voyais le Soleil, comme une muraille dont j'étais sur la pente glissante. Ce château était comme un chef -d'oeuvre, parfait. Les dernières fleurs d'automne me paraissaient bien lointaines. Ce paysage, comme un appel à témoin, caché des instructions secrètes, j'en étais certain. Cette mince ligne de lumière était un signe divin, c'était sûr.

J'adore ce genre de texte ! Certains sont carrément surprenants, presque oniriques

Ça y est ! J'ai réussi.   Mais j'ai eu un problème et il me manque la fin. J'ai donc dû réécrire la fin qui est moins bien qu'avant.

  Le diable aimait prendre l'aspect d'un ivrogne volubile, par une nuit de neige. Il s'adorait plus que tout, allait à l'encontre des dieux, en assassinant de pauvres personnes. Oui, il aimait l'odeur du sang, les cimetières, le néant ! Il ne réfléchissait pas trop pour commettre ses crimes, il avait toujours un poignard sûr lui. Lorsqu'il tenait une victime, il la laissait dans la douleur, dans l'agonie. Parfois, il allait sur sa tombe, et se recueillait : il faisait un petit silence, sous le regard des dieux, tout simplement pour se moquer d'eux.

  Hier, le dieu est arrivé chez moi, pour me tuer, j'étais tel une proie pour l'ombre, sans défense. Portant, dans mon château immense, j'étais le génie des lieux ! Il n'aurait jamais pu m'attraper. J'avais même une cachette secrète, derrière une vitrine d'antiquaire. Mais rien n'y avait fait : il m'a retrouvé et m'a finalement enlevé.

  Durant des années et des années, j’ai été prisonnier, dans l'ombre, avec cet infâme dieu. Et pourtant, au bout un certain temps, je m'y suis habitué : je me suis même lié d'amitié avec lui. Mon corps tout entier ne voulait plus retourner à la lumière, sur la Terre. Alors, je suis resté ici, dans l'ombre, avec lui.

Tout commença par un adieu. La pluie tombait sur le sol. Alors qu'une femme danse dans la rue, je la survole de ma montgolfière. La beauté de l'inconnu éveille en moi un silence des plus expressifs. Je sortis mon appareil photo venant de plus en plus surprenant pays au monde...La France. La chevelure au vent je me sens heureux, une musique telle que sortie d'un rêve m'emporte et ne sort plus de ma tête. Tout à coup, mais où est-elle passée ? Je balaie la rue du regard...enfin je vois une ombre. Dans la profondeur de la nuit, une évasion propice s'installe au fond de ses rêves. C'est un chef-d'oeuvre sur le pont des étoiles, qui se dresse au milieu des planètes. A la fin de ce pont des murmures s'entendent, comme des instructions secrètes. Je m'avance de plus en plus et à l'ombre des statues je la vois.
(Sans aucunes retouches)

Je m'engageai dans le sentier dit des Granges Brûlées. L'hiver était au plus froid, la brise me glace le sang. Je suis veuve, mon visage est froid, mon corps est flasque. Je n'ai plus d'énergie depuis que j'ai perdu mon amour. La solitude me ronge. Tout à coup j'entends le bruit des grillons, ça me rappelle mon enfance. Dans les camp à côté du sentier, je vois un drap rempli de cendres. Les dernières fleurs d'automne sont tombées, car nous sommes milieu hiver. La silhouette errante d'un homme s'arrête à la frontière du jour et de la nuit. ,Finalement je deviens la proie de l'ombre à mon tour. Des petites scènes de famille se produisent souvent pour un rien. Un appel à témoins et donc lancé.
(Sans aucunes retouches)

Comment fait-on pour jouer.(p)

Eh bien, tu vas dans le premier message, tu cliques sur le lien ... puis tu cliques sur jouer.

je l'ai fait, c'est vraiment sympa.

L'image de cette créature est toujours présente en moi. Tout les jours au réveils je me cachait derrière la porte. Ce jour était un déluge c'était la fin du monde, il y avait la guerre de partout dans tous les pays du monde. Même quand j'allait dans un camp de réadaptation pour ne plus l' avoir en tête, je l'avait encore. Dans ma tête c’était tous les semaines de la pluie, j'en pouvait plus. Jusqu'un jour je devenu veuve et je resterai a jamais dans le silence avec une ombre maléfique. il y avait plein de cadavre devant nos yeux mais en haut plein de squelette.c'était des esclaves oubliés; être ou paraitre on ne juge pas même si c'était des esclaves. la proie pour l'ombre est l'enfer comme si c'était un petit enfant dans une corbeille entrain de pleurer.