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Auteur | Message |
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Anémone
Nombre de messages : 248
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 8 Avr - 10:17 | | |
| Émile Zola
Émile Zola, né à Paris le 2 avril 1840, mort à Paris le septembre 1902, est un écrivain, journaliste et homme public français, considéré comme le chef de file du naturalime.( Doctrine qui soutient que tout est d'origine naturelle et que rien n'existe en dehors de la nature).Ecole littéraire et picturale du XIXème siècle, qui visait à reproduire la réalité de la manière la plus objective possible. C' est l'un des romanciers français les plus universellement populaires[1], l'un des plus publiés et traduits au monde. Ses romans ont connu de très nombreuses adaptations au cinéma et à la télévision[N 1]. Sa vie et son œuvre ont fait l'objet de nombreuses études historiques. Sur le plan littéraire, il est principalement connu pour Les Rougon-Macquart, fresque romanesque en vingt volumes dépeignant la société française sous le Second Empire. Les dernières années de sa vie ont été marquées par son engagement dans l'affaire Dreyfus avec la publication en janvier 1898, dans le quotidien L'Aurore, de l'article intitulé « J’Accuse…! » qui lui a valu un procès pour diffamation et un exil à Londres.
SA VIE
" Je suis né le 02 avril 1840 d'un père natif de Venise et d'une mère française, originaire de la Beauce - je suis né ici à Paris, en plein centre d'un des quartiers populaires. Mon père était ingénieur et réalisa quelques grands travaux de canalisation dans la région d'Aix, près de Marseille, où il mourut en 1847. J'ai grandi en Provence de l'âge de 3 ans jusqu'à l'âge de 18 ans et j'ai commencé mes études au collège de la ville d'Aix. Revenu à Paris en 1858, j'ai connu une période de grande misère. J'ai terminé mes études secondaires au lycée Saint-Louis et passé quelques temps à fainéanter avec l'insouciance d'un poète. En 1862, je suis rentré à la Librairie Hachette, jusqu'en 1866, époque où je me suis lancé dans le journalisme. Il y a déjà dix ans que je vis de ma plume, plutôt mal que bien. On me conteste violemment, on ne me reconnaît souvent pas le moindre talent et je gagne bien entendu moins d'argent que ceux qui écrivent des feuilletons des journaux. Il y a quatre ans seulement que j'ai pu cesser tout à fait de collaborer à des journaux, où je m'attirais des désagréments par mes manières et je me suis définitivement enfermé chez moi pour écrire mes romans. Je vis très à l'écart, dans un quartier éloigné, au fin fond des Batignolles. J'habite une petite maison avec ma femme, ma mère, deux chiens et un chat. Si quelqu'un passe me voir le jeudi soir, il s'agit surtout d'amis d'enfance qui sont presque tous des Provençaux. Je sors le moins possible. Comme écrivains, je ne fréquente que Flaubert, Goncourt et Alphonse Daudet. Je me suis éloigné de tout, exprès, pour travailler le plus tranquillement possible. Je travaille de la manière la plus bourgeoise. Mes heures sont fixées : le matin, je m'assieds à ma table, comme un marchand à son comptoir, j'écris tout doucement, en moyenne trois pages par jour, sans recopier : imaginez-vous une femme qui brode de la laine point par point ; naturellement je fais des fautes, quelques fois je rature, mais, je ne mets ma phrase sur le papier que lorsqu'elle est parfaitement disposée dans ma tête. Comme vous voyez, tout ceci est extraordinairement ordinaire. Je crains qu'une telle révélation ne fasse tort dans l'esprit de vos auditeurs, au personnage effrayant qu'ils imaginent que je suis. Mais en réalité, tous les véritables travailleurs à notre époque doivent être par nécessité des gens paisibles, éloignés de toute pose et qui vivent en famille, comme n'importe quel notaire d'une petite ville. Que vous dire encore ? Mes Rougon-Macquart auront vingt tomes et actuellement je travaille sur le septième, un roman qui embrassera le monde des ouvriers parisiens. J'ai déjà beaucoup travaillé et j'ai encore devant moi beaucoup de travail. Pour moi, la vie toute entière se résume dans le travail. Je ne compte pas, même dans dix ou quinze ans, être compris et reconnu en France. On répand sur mon compte des absurdités de toute sorte. De plus, la haine des écoles littéraires est trop forte pour qu'on me rende justice et la politique fait maintenant chez nous tellement de bruit que les livres passent tout à fait inaperçus. Ça ne fait rien ! Il faut seulement produire. Quand je suis content de ma journée, le soir, je joue aux dominos avec ma femme et ma mère. J'attends ainsi plus facilement le succès. Je juge presque superflu d'ajouter que je ne me connais qu'un vice : j'aime bien manger. Mais un tel aveu peut sembler vaniteux. Jugez-en vous-même, pouvez-vous expliquer par tout ceci mes romans ? Un dernier détail : je suis très nerveux, le travail prolongé m'irrite et me tue. Parfois, je suis obligé de m'arrêter quelques semaines parce que mon cœur commence à battre de manière effrayante. Si je n'écrivais pas mes livres, j'aimerais être un petit propriétaire quelque part dans un village et respirer librement le grand air. Corrigez tout ceci. Je voulais seulement donner des faits et des chiffres. Au fond, dans l'art, je n'ai qu'une passion : la vie. Je suis dévoué avec l'amour à la vie actuelle, à toute mon époque. (Article paru dans les Annales de la Patrie, 1876) *** Extraits: Lettre à la Jeunesse par Émile Zola ~~~~ - Où allez-vous, jeunes gens, où allez-vous, étudiants, qui courez en bandes par les rues, manifestant au nom de vos colères et de vos enthousiasmes, éprouvant l'impérieux besoin de jeter publiquement le cri de vos consciences indignées ? Allez-vous protester contre quelque abus du pouvoir, a-t-on offensé le besoin de vérité et d'équité, brûlant encore dans vos âmes neuves, ignorantes des accommodements politiques et des lâchetés quotidiennes de la vie ? Allez-vous redresser un tort social, mettre la protestation de votre vibrante jeunesse dans la balance inégale, où sont si faussement pesés le sort des heureux et celui des déshérités de ce monde ? Allez-vous, pour affirmer la tolérance, l'indépendance de la raison humaine, siffler quelque sectaire de l'intelligence, à la cervelle étroite, qui aura voulu ramener vos esprits libérés à l'erreur ancienne, en proclamant la banqueroute de la science ? Allez-vous crier, sous la fenêtre de quelque personnage fuyant et hypocrite, votre foi invincible en l'avenir, en ce siècle prochain que vous apportez et qui doit réaliser la paix du monde, au nom de la justice et de l'amour ? - Non, non ! Nous allons huer un homme, un vieillard, qui, après une longue vie de travail et de loyauté, s'est imaginé qu'il pouvait impunément soutenir une cause généreuse, vouloir que la lumière se fasse et qu'une erreur soit réparée, pour l'honneur même de la patrie française ! * **
Des jeunes gens antisémites, ça existe donc, cela ? Il y a donc des cerveaux neufs, des âmes neuves, que cet imbécile poison a déjà déséquilibrés ? Quelle tristesse, quelle inquiétude, pour l e vingtième siècle qui va s'ouvrir ! Cent ans après la Déclaration des droits de l'homme, cent ans après l'acte suprême de tolérance et d'émancipation, on en revient aux guerres de religion, au plus odieux et au plus sot des fanatismes ! Et encore cela se comprend chez certains hommes qui jouent leur rôle, qui ont une attitude à garder et une ambition vorace à satisfaire. Mais, chez des jeunes gens, chez ceux qui naissent et qui poussent pour cet épanouissement de tous les droits et de toutes les libertés, dont nous avons rêvé que resplendirait le prochain siècle ! Ils sont les ouvriers attendus, et voilà déjà qu'ils se déclarent antisémites, c'est-à-dire qu'ils commenceront le siècle en massacrant tous les juifs, parce que ce sont des concitoyens d'une autre race et d'une autre loi ! Une belle entrée en jouissance, pour la Cité de nos rêves, la Cité d'égalité et de fraternité ! Si la jeunesse en était vraiment là, ce serait à sangloter, à nier tout espoir et tout bonheur humain. Ô jeunesse, jeunesse ! Je t'en supplie, songe à la grande besogne qui t'attend. Tu es l'ouvrière future, tu vas jeter les assises de ce siècle prochain, qui, nous en avons la foi profonde, résoudra les problèmes de vérité et d'équité, posés par le siècle finissant. Nous, les vieux, les aînés, nous te laissons le formidable amas de notre enquête, beaucoup de contradictions et d'obscurités peut-être, mais à coup sûr l'effort le plus passionné que jamais siècle ait fait vers la lumière, les documents les plus honnêtes et les plus solides, les fondements mêmes de ce vaste édifice de la science que tu dois continuer à bâtir pour ton honneur et pour ton bonheur. Et nous ne te demandons que d'être encore plus généreuse, plus libre d'esprit, de nous dépasser par ton amour de la vie normalement vécue, par ton effort mis entier dans le travail, cette fécondité des hommes et de la terre qui saura bien faire enfin pousser la débordante moisson de joie, sous l'éclatant soleil. Et nous te céderons fraternellement la place, heureux de disparaître et de nous reposer de notre part de tâche accomplie, dans le bon sommeil de la mort, si nous savons que tu nous continues et que tu réalises nos rêves. Jeunesse, jeunesse ! Souviens-toi des souffrances que tes pères ont endurées, des terribles batailles où ils ont dû vaincre, pour conquérir la liberté dont tu jouis à cette heure. Si tu te sens indépendante, si tu peux aller et venir à ton gré, dire dans la presse ce que tu penses, avoir une opinion et l'exprimer publiquement, c'est que tes pères ont donné de leur intelligence et de leur sang. Tu n'es pas née sous la tyrannie, tu ignores ce que c'est que de se réveiller chaque matin avec la botte d'un maître sur la poitrine, tu ne t'es pas battue pour échapper au sabre du dictateur, aux poids faux du mauvais juge. Remercie tes pères, et ne commets pas le crime d'acclamer le mensonge, de faire campagne avec la force brutale, l'intolérance des fanatiques et la voracité des ambitieux. La dictature est au bout. Jeunesse, jeunesse ! Sois toujours avec la justice. Si l'idée de justice s'obscurcissait en toi, tu irais à tous les périls. Et je ne te parle pas de la justice de nos codes, qui n'est que la garantie des liens sociaux. Certes, il faut la respecter, mais il est une notion plus haute, la justice, celle qui pose en principe que tout jugement des hommes est faillible et qui admet l'innocence possible d'un condamné, sans croire insulter les juges. N'est-ce donc pas là une aventure qui doive soulever ton enflammée passion du droit ? Qui se lèvera pour exiger que justice soit faite, si ce n'est toi qui n'es pas dans nos luttes d'intérêts et de personnes, qui n'es encore engagée ni compromise dans aucune affaire louche, qui peux parler haut, en toute pureté et en toute bonne foi ? Jeunesse, jeunesse ! Sois humaine, sois généreuse. Si même nous nous trompons, sois avec nous, lorsque nous disons qu'un innocent subit une peine effroyable, et que notre coeur révolté s'en brise d'angoisse. Que l'on admette un seul instant l'erreur possible, en face d'un châtiment à ce point démesuré, et la poitrine se serre, les larmes coulent des yeux. Certes, les gardes-chiourme restent insensibles, mais toi, toi, qui pleures encore, qui dois être acquise à toutes les misères, à toutes les pitiés ! Comment ne fais-tu pas ce rêve chevaleresque, s'il est quelque part un martyr succombant sous la haine, de défendre sa cause et de le délivrer ? Qui donc, si ce n'est toi, tentera la sublime aventure, se lancera dans une cause dangereuse et superbe, tiendra tête à un peuple, au nom de l'idéale justice ? Et n'es-tu pas honteuse, enfin, que ce soient des aînés, des vieux, qui se passionnent, qui fassent aujourd'hui ta besogne de généreuse folie ? * ** - Où allez-vous, jeunes gens, où allez-vous, étudiants, qui battez les rues, manifestant, jetant au milieu de nos discordes la bravoure et l'espoir de vos vingt ans ? - Nous allons à l'humanité, à la vérité, à la justice ! |
| | | Arès
Nombre de messages : 624
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 8 Avr - 10:24 | | |
| formules de politesses hommes-femmes excellentes relations:femme-femme: souvenirs les plus sympathiques Femme à Homme: mes meilleurs souvenirs Homme à Femme: amitié la plus fidèle, toute mon amitié Homme à Homme: toute mon amitié, sentiments très fidèles Moyenne:Femme à Femme: respectueux souvenirs Femme à Homme: souvenirs déférents et admiratifs Homme à Femme: salutations respectueuses Homme à Homme: sentiments les plus sincères Faible:Femme à Femme:considération la plus distinguée, haute considération Femme à Homme:profond respect, considération distinguée Homme à Femme:hommages les plus respectueux Homme à Homme:sentiments distingués, sentiments les plus distingués |
| | | Eve
Nombre de messages : 241
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 8 Avr - 10:25 | | |
| - Anémone a écrit:
- L' Affaire Dreyfus
À la fin de l'année 1894, le capitaine de l'armée française Alfred Dreyfus, polytechnicien, Juif d'origine alsacienne, accusé d'avoir livré aux Allemands des documents secrets, est condamné au bagne à perpétuité pour trahison et déporté sur l'île du Diable. À cette date l'opinion comme la classe politique française sont unanimement défavorables à Dreyfus. Certaine de l'incohérence de cette condamnation, la famille du capitaine, derrière son frère Mathieu, tente de prouver son innocence. Émile Zola publie le 13 janvier 1898 J'Accuse…!, plaidoyer:Discours prononcé devant un tribunal pour soutenir le droit d'une partie. dreyfusard qui entraîne le ralliement de nombreux intellectuels. Un processus de scission en deux de la France est entamé, qui se prolonge jusqu’à la fin du siècle. Des émeutes antisémites: Hostilité envers le peuple juif éclatent dans plus de vingt villes françaises. On dénombre plusieurs morts à Alger. La République est ébranlée,:Osciller, être instable. certains la voient même en péril, ce qui incite à en finir avec l’affaire Dreyfus pour ramener le calme. Malgré les menées de l'armée pour étouffer cette affaire, le premier jugement condamnant Dreyfus est cassé par la Cour de cassation au terme d'une enquête minutieuse, et un nouveau conseil de guerre a lieu à Rennes en 1899. Contre toute attente, Dreyfus est condamné une nouvelle fois, à dix ans de travaux forcés, avec, toutefois, circonstances atténuantes. Épuisé par sa déportation de quatre longues années, Dreyfus accepte la grâce présidentielle, accordée par le président Émile Loubet. Ce n'est qu'en 1906 que son innocence est officiellement reconnue au travers d'un arrêt sans renvoi de la Cour de cassation, décision inédite et unique dans l'histoire du droit français. Réhabilité, le capitaine Dreyfus est réintégré dans l'armée au grade de commandant et participe à la Première Guerre mondiale. Il meurt en 1935.
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| | | Hippie
Nombre de messages : 194
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Jeu 9 Avr - 9:27 | | |
| Maintenant il faut étudier TOUT ça pour la rentrer Allez c'est parti il va y avoir du travail !! |
| | | Lavignoni
Nombre de messages : 701
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Jeu 9 Avr - 9:29 | | |
| Oui ça c'est sûr Hippie !! |
| | | Avril Lavigne
Nombre de messages : 44
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Jeu 16 Avr - 14:03 | | |
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| | | Schtroumpfette
Nombre de messages : 693
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Ven 17 Avr - 12:20 | | |
| Bon moi là je desespère ! Les questions c'est sur tout sauf sur Zola c'est ca ?? |
| | | Lupa
Nombre de messages : 318
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Ven 17 Avr - 14:40 | | |
| C'est trooop long...
Bonne chance !! :)
Dernière édition par Lupa le Dim 4 Oct - 15:25, édité 1 fois |
| | | Hippie
Nombre de messages : 194
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Ven 17 Avr - 17:44 | | |
| Non c'est tout sauf le 3) et le 4) C'est super long a étudier !!! |
| | | Lupa
Nombre de messages : 318
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Sam 18 Avr - 13:18 | | |
| ANEMONE a écrit:Émile ZolaÉmile Zola, né à Paris le 2 avril 1840, mort à Paris le x septembre 1902, x il manque un nombre |
| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Lun 20 Avr - 12:50 | | |
| Arf! C'est trop long! Avec tous ces événements qui se sont passés, je pense que je suis pas la seule à penser autre chose que les devoirs :/. Triste vie ...
Dernière édition par CYBER le Ven 24 Avr - 18:38, édité 1 fois |
| | | Lavignoni
Nombre de messages : 701
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mar 21 Avr - 13:34 | | |
| Oui cyber c'est vrai mais bon c'est la vie !! Je me tue !!! c'est horrible je ne trouve plus de questions !! |
| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mar 21 Avr - 22:44 | | |
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Dernière édition par CYBER le Ven 24 Avr - 18:38, édité 1 fois |
| | | Schtroumpfette
Nombre de messages : 693
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 22 Avr - 10:35 | | |
| Ohhh !!
C'est quoi ce bazar On est les 4° THE CLASSE ! Dîtes-vous que plus y'en a a lire plus y'en a à ecrire ! Donc les questions y'en a presque a chaque ligne !! Bonne chance parce que moi j'ai tout finis !!!& ne perdez pas espoir |
| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 22 Avr - 12:43 | | |
| Ouais...Mais bon c'est facile à dire quand on a tout fait : D!! Bon, je m'y mets tout de suite! J'en ai marre de trainer! |
| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 22 Avr - 12:46 | | |
| - Lavignoni a écrit:
MARCELINE DESBORES-VALMORE
PS SUITE PLUS TARD (SONNERIE) Euh tu l'as marqué la suite????? |
| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 22 Avr - 12:58 | | |
| Ouais...Mais bon c'est facile à dire quand on a tout fait : D!! Bon, je m'y mets tout de suite! J'en ai marre de trainer! J'aurais déjà quelques questions notées pendant le cour.... |
| | | Lavignoni
Nombre de messages : 701
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Jeu 23 Avr - 9:53 | | |
| - CYBER a écrit:
- Lavignoni a écrit:
MARCELINE DESBORES-VALMORE
PS SUITE PLUS TARD (SONNERIE)
Euh tu l'as marqué la suite????? OUi c'est bon cyber ! top |
| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Ven 24 Avr - 15:36 | | |
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| | | CYBER
Nombre de messages : 1049
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Ven 24 Avr - 20:01 | | |
| Alléluia !!!!!!!!!! J'AI FINI ! Enfin! Tout compte fait, ça va vite quand t'es motivé ^^' |
| | | Anaconda
Nombre de messages : 394
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Sam 25 Avr - 14:33 | | |
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| | | Capitaine Caaaaaaverne ! Aidactive
Nombre de messages : 4955
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Jeu 4 Juin - 18:28 | | |
| ben voila...tout le monde s'en sort... Je le savais que vous étiez des bons... J'aime bien quand les élèves travaillent et que je ne fais RIEN |
| | | Alizée
Nombre de messages : 1731
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Jeu 4 Juin - 18:29 | | |
| Au moins vous vous reposez ! |
| | | kenshin
Nombre de messages : 471
| Sujet: Re: Le Roman Epistolaire 4° Mer 17 Juin - 8:52 | | |
| Mega dur et mega long ces questions |
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