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La phrase sans fin

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marcdominguez

marcdominguez

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeSam 12 Nov - 16:20

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre
l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de ladémence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que laprophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens, et comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant...
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Sonnic

Sonnic

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeMer 4 Jan - 14:49

L'amour  est un sentiment si émouvant, c'est vraiment incroyable ce coup de foudre que l'on ressent dans notre coeur où plutôt  l'intérieur de nous, cela est souvent décourageant lorsque l'on si attend pas mais quelques -fois c'est comme...
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Bâyô

Bâyô

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeDim 2 Avr - 10:05

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre
l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens, et comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme si ...
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vixit

vixit

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeLun 3 Avr - 8:32

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre
l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens, et comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme si il etait un héro de la vie et...
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Achille

Achille

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeLun 3 Avr - 11:49

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre
l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui...
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greissou

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeJeu 6 Avr - 14:26

'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre
l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se rechauffe et s'embrase...


Dernière édition par greissou le Jeu 6 Avr - 14:40, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeJeu 6 Avr - 14:29



'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre
l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se rechauffe et s'embrase a tout de main sans...
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Butterfly

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeSam 20 Mai - 9:07

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer car...
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeLun 22 Mai - 20:22

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui  
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeMar 23 Mai - 21:49

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes qu'on aurait presque dit un ...
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Scrat

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeJeu 25 Mai - 11:41

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes qu'on aurait presque dit un nuage parmi les nuées qui ...
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Sizzla Kalenji

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeLun 28 Aoû - 13:46

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes on aurait presque dit un nuage parmi les nuées qui surplombait la baie ensoleillée par
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Apollon du Belvédère

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeMer 4 Avr - 14:25

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes on aurait presque dit un nuage parmi les nuées qui surplombait la baie ensoleillée par les rayons du dieu Apollon, le fameux dieu qui ...
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeJeu 21 Juin - 17:00

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes on aurait presque dit un nuage parmi les nuées qui surplombait la baie ensoleillée par les rayons du dieu Apollon, le fameux dieu qui illumine le monde de sa lumière et de son art, l'art qui est si important pour ...
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virginie33

virginie33

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeSam 1 Sep - 8:48

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes on aurait presque dit un nuage parmi les nuées qui surplombait la baie ensoleillée par les rayons du dieu Apollon, le fameux dieu qui illumine le monde de sa lumière et de son art, l'art qui est si important pour élever son esprit et ...
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rirififiloulou



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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeVen 7 Sep - 14:32

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse de Jupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes on aurait presque dit un nuage parmi les nuées qui surplombait la baie ensoleillée par les rayons du dieu Apollon, le fameux dieu qui illumine le monde de sa lumière et de son art, l'art qui est si important pour élever son esprit et son talent, qui pourra toujours servir afin de ...

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amazone§

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeJeu 20 Sep - 18:15

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je laretrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein desuspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de lafoi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein desuspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un deses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se débat et se noie sans espoir de pouvoir refaire surface, pourtant on s'accroche à ses espoirs et ses rêves de grandeur et d'amour, cet amour qui ne mène qu'à une condition sine qua non, qui ne fait que rendre les gens candides, vous savez ces gens qui ne vivent plus que pour l'amour et qui en oublie de vivre l'amour est trop puissant, dans un couple il a parfois des discordes (disputes) il y a de mauvais moments, quand le statu quo commence à faire son effet et le jambon de Bayonne commence à périmer dans le frigo de François Hollande d'après l'oracle et lorsqu'on se dit qu'il faudrait plutôt manger du saucisson à l'ail mais que monsieur le président l'a déjà mangé en cachette, mieux vaut éluder la question car le cuisinier est très vindicatif s et un dilemme pour monsieur le président, car il doit choisir entre le pâté et le jambon, mais il choisit toujours le jambon car le pâté est très acariâtre,ensuite il se met a table face un buffet magistral de là on en conclut que monsieur le président est très indiscipliné et que son comportement relève de la démence mais personnellement je veux bien décider de "faire table rase" car je suis quelqu'un de très magnanime mais je plains quand même un peu ce pauvre président qui pour moi subit apparemment le supplice de Tantale car il ne mange jamais ce qu'il a envie de manger et je pense qu'il devrait recevoir des préceptes pour savoir ce qui est bon ou mauvais à ingurgiter parce que ces habitudes font de lui une personne mal famée même si cela va être très laborieux pour François, son comportement est absolument puéril mais la prophétie a dit que sa vie serait faites d'action funeste, il a assassiné la population pour pouvoir manger tout le pâté, ce pâté complètement mal famé pourtant servi dans un restaurant fameux du Congo, alors le serveur n'en parlons pas, celui-ci qui se croit sortit de la cuisse deJupiter alors qu'il est complètement puéril et très acariâtre, d'autant qu' en plus de ça, il est cupide, et il s'habille de manière ostentatoire, mais peut être que ce serveur connaîtra l'apothéose dans un autre restaurant, car il ne va pas toucher le Pactole en restant dans ce restaurant même si je ne pense pas qu'il va partir, car il s'attache trop aux choses et c'est son talon d'Achille, son mentor, un grand joueur de rugby ne peut malheureusement pas l'aider dans cette situation, il n'ose malheureusement pas partir de cet emploi car son patron est assez belliqueux, il aimerait voir un oracle pour lui dire quoi faire mais il a peur que la prophétie ne soit pas de bon augure et il sait qu' au bout d'un moment, il va falloir qu'il prenne le taureau par les cornes car c'est bien beau d'être magnanime pour ne pas vouloir faire de la peine aux autres mais il doit avant tout prendre soin de lui, car je pense qu'il fait cela pour ne pas devenir un paria, être considéré comme persona non grata, frappé d'ostracisme par les siens et, comme il veut être accepté, il fait ce que les autres attendent de lui, étouffant sa vraie personnalité pour faire plaisir, alors que les autres se moquent de lui tout en regardant de haut ses exploits et ses réussites, comme s'il était un héros de la vie et que son avenir revenait tel une chose portant le nom de Phoenix qui se réchauffe et s'embrase sans jamais se consumer, car il renaissait de ses cendres tous les 500 ans puisque c'est un oiseau immortel qui était un oiseau perspicace et plein de sagesse, tellement majestueux quand il déployait ses ailes on aurait presque dit un nuage parmi les nuées qui surplombait la baie ensoleillée par les rayons du dieu Apollon, le fameux dieu qui illumine le monde de sa lumière et de son art, l'art qui est si important pour élever son esprit et son talent, qui pourra toujours servir afin de se grisé et de s'enthousiasmer, pour se rendre compte de la chance que l'on n'a...
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Roma aeterna

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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeSam 9 Fév - 16:13

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeJeu 21 Mar - 20:03

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moults monstres qui
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeSam 6 Avr - 20:48

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moultes monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeSam 6 Avr - 20:52

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moultes monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et
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MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 5 Icon_minitimeDim 28 Avr - 21:21

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moultes monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que
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L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moultes monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que [size=10]poussent le vice jusqu'à vous en 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ces fourbes dépravés aire des affres
L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moults monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice 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L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moultes monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que [size=10]poussent le vice jusqu'à vous en 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ces fourbes dépravés aire des affres
L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moults monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à que vous offenser jusqu'au vice tans que vous n'entrez pas dans les mœurs
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L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moultes monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que [size=10]poussent le vice jusqu'à vous en f[/size]
ces fourbes dépravés aire des affres
L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moults monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à que vous offenser jusqu'au vice tans que vous n'entrez pas dans les mœurs et que vous n'alliez avez pas les vertus de la société et que vous soies ne soyez une personne de bonne moeurs
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