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Auteur | Message |
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The blobfish
Nombre de messages : 282
| Sujet: Re: La phrase sans fin Mar 30 Oct - 13:16 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui ...
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| | | *SUN*
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| Sujet: Re: La phrase sans fin Sam 17 Nov - 18:27 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufiler jusqu'à notre lit, discrètement, pour ... |
| | | skatirat
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| Sujet: Re: La phrase sans fin Sam 17 Nov - 21:40 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous comptaient ces belles histoire sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et .....
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| | | *SUN*
Nombre de messages : 1405
| Sujet: Re: La phrase sans fin Mar 20 Nov - 17:23 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous comptaient ces belles histoire sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, ils nous faisais repenser à tout nos remords...
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| | | Némo
Nombre de messages : 183
| Sujet: Re: La phrase sans fin Ven 14 Déc - 22:55 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si ..
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| | | *SUN*
Nombre de messages : 1405
| Sujet: Re: La phrase sans fin Lun 17 Déc - 17:11 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs... |
| | | Mustang
Nombre de messages : 313
| Sujet: Re: La phrase sans fin Lun 25 Mar - 9:14 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et que j'avais enfin osé lui dire que ... |
| | | La dame du lac
Nombre de messages : 897
| Sujet: Re: La phrase sans fin Sam 27 Avr - 9:13 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et que j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était bléssé et que... |
| | | PINK floyd
Nombre de messages : 3118
| Sujet: Re: La phrase sans fin Mer 1 Mai - 18:53 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et que j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était bléssé et que l'autre est mort car..... |
| | | SPIDER
Nombre de messages : 161
| Sujet: Re: La phrase sans fin Jeu 9 Mai - 10:40 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par ..... |
| | | fabien59
Nombre de messages : 55
| Sujet: Re: La phrase sans fin Jeu 29 Aoû - 10:04 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de ... |
| | | mateo.bourdais
Nombre de messages : 46
| Sujet: Re: La phrase sans fin Mar 26 Nov - 20:21 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit |
| | | roucoulement
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| Sujet: Re: La phrase sans fin Mer 27 Nov - 7:36 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si ...
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| | | Chèvrefeuille Aidactive
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| Sujet: Re: La phrase sans fin Mer 27 Nov - 13:12 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si ...le pape allait venir un jour or |
| | | Sonorité
Nombre de messages : 148
| Sujet: Re: La phrase sans fin Mer 27 Nov - 14:26 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si ...le pape allait venir un jour or il n'en a cure et nous continuons à exalter cet amour qui consomme tout sur son passage comme un brasier
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| | | Marley.
Nombre de messages : 438
| Sujet: Re: La phrase sans fin Jeu 28 Nov - 11:43 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si ...le pape allait venir un jour or il n'en a cure et nous continuons à exalter cet amour qui consomme tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France |
| | | -Antigone-
Nombre de messages : 195
| Sujet: Re: La phrase sans fin Mer 8 Jan - 18:44 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si ...le pape allait venir un jour or il n'en a cure et nous continuons à exalter cet amour qui consomme tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur qui ...
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| | | ♥Julia♥
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| Sujet: Re: La phrase sans fin Ven 7 Fév - 11:26 | | |
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L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si ...le pape allait venir un jour or il n'en a cure et nous continuons à exalter cet amour qui consomme tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur qui était suivi d'une bourasque qui...
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| | | ♥Julia♥
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| Sujet: Re: La phrase sans fin Sam 7 Juin - 21:50 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si ...le pape allait venir un jour or il n'en a cure et nous continuons à exalter cet amour qui consomme tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur qui était suivi d'une bourasque quiengloutit tous sur son passage en...
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| | | ConQuisTadore
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| Sujet: Re: La phrase sans fin Lun 14 Juil - 19:33 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme |
| | | Electrostatique
Nombre de messages : 131
| Sujet: Re: La phrase sans fin Mar 15 Juil - 14:31 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastarice qui |
| | | Anastasia
Nombre de messages : 847
| Sujet: Re: La phrase sans fin Ven 29 Aoû - 15:55 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent ... |
| | | Wolf
Nombre de messages : 704
| Sujet: Re: La phrase sans fin Lun 22 Déc - 13:29 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de |
| | | mariamfenelon
Nombre de messages : 42
| Sujet: Re: La phrase sans fin Lun 9 Mar - 20:06 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures defin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que la peur d'exprimer ses sentiment, nous ronge... |
| | | Anémone
Nombre de messages : 248
| Sujet: Re: La phrase sans fin Lun 6 Juil - 12:25 | | |
| L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent siL'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel |
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