La Cafet'
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilS'enregistrerConnexion
Partagez

La phrase sans fin

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
AuteurMessage
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:29

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore cette amour idyllique...
Revenir en haut Aller en bas
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:30

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore cette amour idyllique qui n'existe pas...
Revenir en haut Aller en bas
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:31

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore cette amour idyllique qui n'existe pas car, je ne peut pour l'avoir que d'aimait la fin...
Revenir en haut Aller en bas
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:32

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore cette amour idyllique qui n'existe pas car, je ne peut pour l'avoir que d'aimait la fin de la liberté d'expresion qui me rends ...
Revenir en haut Aller en bas
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:33

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore cette amour idyllique qui n'existe pas car, je ne peut pour l'avoir que d'aimait la fin de la liberté d'expresion qui me rends des larmes d'amour brulante de tristesse sans fin ...
Revenir en haut Aller en bas
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:35

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore cette amour idyllique qui n'existe pas car, je ne peut pour l'avoir que d'aimait la fin de la liberté d'expresion qui me rends des larmes d'amour brulante de tristesse sans fin, donc l'amour  idyllique  na de joi du plaisirs...
Revenir en haut Aller en bas
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:44

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore cette amour idyllique qui n'existe pas car, je ne peut pour l'avoir que d'aimait la fin de la liberté d'expresion qui me rends des larmes d'amour brulante de tristesse sans fin, donc l'amour  idyllique  na de joi du plaisirs et de l'amour...
Revenir en haut Aller en bas
pot de cupidité

pot de cupidité

Nombre de messages : 92

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeVen 14 Juin - 16:44

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute hommes cherchent le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur remplit d'amour et de tendresse tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls car le seul amoure ne peut être réel donc l'amoure est réel pendant quelque seconde car ce n'ai que très peut réel car une flamme ne ce dévoile pas maintenant donc ce n'ai pas possible mais j'en réve encore (de) cette amour idyllique qui n'existe pas, car je ne peut pour l'avoir qu'aimait la fin de la liberté d'expresion qui me rends des larmes d'amour brulantes de tristesse sans fin, donc l'amour  idyllique  na ni joi du plaisirs et ni de l'amour brulant dans nos coeur...
Revenir en haut Aller en bas
Jol

Jol

Nombre de messages : 191

La phrase sans fin - Page 7 Empty
MessageSujet: Re: La phrase sans fin
La phrase sans fin - Page 7 Icon_minitimeLun 24 Juin - 15:24

L'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, nous dire que tout aurait pu être si différent si l'amour idyllique est un sentiment détonnant, merveilleux, étourdissant mais qui souvent ne repose que sur l'apparence et le désir, comme le prouvent les ruptures de fin de vacances, ces tristes moments qui nous rappellent que notre esprit se nourrit souvent d'illusions et de chimères, alors que nous croyons si souvent voir la réalité en face, faire preuve de lucidité toutefois il est bien connu que l'amour est aveugle, du moins on le dit, car les apparences sont parfois trompeuses, et plus d'une fois nous nous sommes laissés duper par nos désirs et nous prenons souvent des vessies pour des lanternes quand par exemple nous espérons toujours que l'amour va revenir ou même qu'il existe pour de vrai, car il n'est pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe, et de même qu'on se force à sourire les jours de pluie et à répondre "ça va" quand on nous demande si ça va, de même nous continuons à prétendre que tout va bien quand tout va mal et qu'il fait beau quand il pleut parce que se serait trop triste de se dire la vérité, car la vérité n'est qu'une douloureuse réalité trop éphémère, qu'on cherche éperdument sans pour autant en trouver le fin fond, se faisant inutilement souffrir pour la noble cause de la foi en l'exactitude, contrariant le mensonge éhonté et réconfortant qui nous chante une berceuse si douce, contrariant nos rêves qui nous mènent là où nous voudrions tant être, puisque notre existence est trop longue et trop douloureuse sans cet amour, ce sentiment fugace où les instants les plus précieux et les plus courts nous semblent durer des éternités impossible à briser comme celles de notre solitude qui nous rend le cœur aussi aride qu'un désert balayé par une tempête dévastatrice qui, un soir d'été, détruit tout sur son passage, dans le désert profond du Sahara que le soleil n'a pas épargné et qui ne laisse aucune plante pousser, car il était tellement ardent et éblouissant que sa chaleur incandescente détruit tout dans le désert aride, au point de soulever des nuages de sable et de poussières brûlantes qui dansent dans l'air tourbillonnant des souvenirs que nous souhaiterions pouvoir revivre, parce que étions si bien l'un à coté de l'autre et que cela nous manque cruellement, autant à toi qu'à moi, même si je ne l'avouerais pour rien au monde, qu'on a du mal a assumer, pourtant, il est bien là, et nous le savons bien que cet amour est si fort qu'il décroche les montagnes, soulève le ciel, de sorte que personne n'ose le défaire ni même envisager une seule seconde qu'il puisse s'arrêter, car ce serait une énorme bévue que l'on ne pourrait réparer qu'en proposant à l'être aimé un rendez-vous propice à renouer les liens en se fiant à lui pour accepter nos excuses, mais la guérison d'une blessure d'amour peut-elle advenir dans de telles circonstances, si... et si l'être aimé n'est que nuage larmoyant qui me donne plein de tourment... je serais désespéré, de perdre se joyaux si précieux à mes yeux tel un rubis sinistre qui ne donne que... que... je ne saurais décrire se mot car se fut un crève-cœur de perdre cette émeraude si précieuse à mes yeux qu'elle me remplit le coeur à chaque fois que je la touche, je la retrouverai, j'en suis certain, cela risque d'être dur, mais il faut y croire, car la foi déplace les montagnes aussi hautes qu'elles soient, et si un jour je venais à me faire agresser, je tendrais l'autre joue, et même s'il y avait des pluies diluviennes, je ne m'arrêterais jamais, car je combattrais toutes les plaies quelles qu'elles soient, je dirais juste Amen à tout ce que m'imposerait le destin qui serait le mien, car nul ne peut se soustraire à son destin qui nous pousse vers demain, des horizons nouveaux plein de suspense et d'impasses qui me guideraient vers des personnes et des lieux encore inconnus de nos jours car toutes les personnes qui y partaient n'en revenaient pas à cause de la volonté qui leur manquait, en effet ces territoires étaient si merveilleux que tout homme devient égoïste et ne veut plus quitter le bonheur qu'il a trouvé... indubitablement dans ce lieu unique, coloré et festif ou l'être humains et en communion avec la nature et que nulle part ailleurs un monde aussi magique et poétique n'existerait car le monde est empli de magie depuis la nuit des temps, certes, mais je veux ce monde empli de rêves et de bonheur comme au temps où on croyait encore aux fées, aux nymphes et aux elfes qui nous émettaient le bonheur et se faufilaient jusqu'à notre lit, discrètement, pour nous compter ces belles histoires sur l'amour et l'amitié qui nous faisaient tant rêver et songer, et il nous faisait repenser à tous nos remords, ceux qui nous réveillent la nuit, ceux qui viennent perturber nos songes, ceux qui nous dire que tout aurait pu être si différent si, ce soir là, je n'avais pas mis la charrue avant les bœufs et si j'avais enfin osé lui dire que l'un de ses veaux s' était blessé et que l'autre est mort car, à trop vouloir précipiter les choses, on finit par rentrer dans un cercle vicieux qui a pour seul but de nous éblouir et de nous faire songer à ce qui va se produire dans la minute qui suit afin de nous ronger de l'intérieur comme si le pape allait venir un jour or il n'en a cure de nous et nous continuons à exalter cet amour qui consume tout sur son passage comme un brasier qui se défoule sur les plaines enchantées du Sud-Ouest de la France qui sont balayées par des vagues gigantesques suite à l'orage dévastateur suivi d'une bourrasque qui engloutit tout sur son passage en tourbillonnant comme une tornade dévastatrice qui ne laisse rien sur son passage que poussière et désolation où on se sent esseulé, morose, maussade et démuni au milieu d'un océan de solitude et de froid dans lequel on se sent livide, blafard comme si on agonisait dans un gouffre obscure rempli de moult monstres qui demeurent perfides et réfléchissent maintes et maintes fois de vous anéantir par le biais de votre esprits et par la peur que vous ne cessez de stocker au plus profond de vous et vous souffrez des vertus ignobles qu'ils possèdent au point que vous devenez livides, blafards, mais vous restez impassibles et stoïques pendant que ces fourbes dépravés poussent le vice jusqu'à vous offenser tant que vous n'avez pas les vertus attendues par la société et que vous ne soyez une personne de bonnes mœurs, parce que les gens aiment bien que tout le monde pensent pareil et agissent comme eux, et ça c'est une forme d'intolérance qui fait qu'on n'ose plus agir comme on le souhaite de peur que la société nous exilent l'un de l'autre, car elle pense que nous sommes des félons, mais si on tendait l'autre joue, nous tomberions des nues car les gens nous frapperaient aussi sur l'autre, car ils ne sont pas toujours aussi aimables qu'ils s'imaginent l'être, surtout quand ils font de beaux discours pour se donner bonne conscience, en prétendant que leur cœur n'est qu'amour, bonté, pardon, alors qu'il n'est que perfidie, dissimulation et faux semblant, parce qu'ils savent qu'ils font mieux de ne pas montrer le fond de leur âme qui n'est que souffrance et tristesse, car quand on aime quelque' un d'un amour idyllique et qu'il nous mets un râteau s'est comme un bourreau s'acharnant sur sa tâche et, comme l'avait si bien dit Ovide dans ses Métamorphoses avec Echo "dédaignée, elle se cache dans les bois, et depuis ce jour elle vit dans des antres solitaires, et cependant son amour est tenace et s'accroit de l'amertume du refus", nous faisant mourir d'amour comme Un cœur attend sa flamme pour se révéler, exprimant le jargon de ma tête qui m'empêche de trouver ma destinée dans ce vaste monde mélancolique, sans aucune envie de connaitre la réalité qu'est l'amour, car l'amour n'existe souvent que par pur intérêt pour une seule et unique personne pour rallumer la flamme de toute homme cherchant le grand amour pour dévoiler son cœur souriant et majestueux qui attend et attend sans que quelqu'un l'ait, c'est pour ça que la vie est précieuse, qu'on la chérit, c'est ce qui fait la beauté d'un cœur rempli d'amour et de tendresse, tel celui d'une maman qui protège ses enfants, sachant qu'un jour ils seront face à la vie, mais ils ne seront jamais seuls, mais j'en rêve encore de cet amour idyllique qui n'existe pas, car je ne peux pour l'avoir qu'aimer la fin de la liberté, ce qui me donne des larmes d'amour brulantes de tristesse sans fin, car la fin de l'amour  idyllique n'apporte ni joie ni plaisir dans nos cœurs décimés par la cruauté de la vie...
Revenir en haut Aller en bas

La phrase sans fin

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 7 sur 7Aller à la page : Précédent  1, 2, 3, 4, 5, 6, 7

Sujets similaires

-
» La phrase sans fin ♥
» Ces citations qui vous parlent
» Enchainement par type ou forme de phrase
» La phrase du jour
» Dictée - La phrase du jour à analyser

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
La Cafet' :: Index du forum :: Section Free Style :: Défis et jeux d'écriture-
Archivehost Synonymes Dico répétoscope Bonpatron Contacter la modération