Moi je vais faire avec un autre extrait d'Alphonse Daudet de l'histoire "la chèvre de M. Seguin" :

Tout à coup le vent fraîchit.

D'un grand coup sec, je ne m'y attendais pas du tout, comme si votre frère qui vous embête très souvent se cachait derrière la porte des toilettes où vous y êtes et quand vous sortez il vous fait peur, le vent qui fait penchait les arbres c'est donc pour cela que nous mettons des morceaux de bois, se rafraîchit à en vous faire tomber malade que vous ne pourriez pas aller au travail, mais vos journées restent payer.

Le jour suivant celui-ci, dès que le grand éclairage céleste se réveille à la ligne qui se trouve aux confins de notre champ de vision, au moment du cadran où les verdoyants espaces champêtres deviennent d'une couleur pâle et claire, ma personne va prendre la direction d'un ailleurs, vois -tu j'ai l'intime conviction que tu t'attends à ma présence

Alors, devinez

Pas mal ! Bon je dirais :

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
je partirai.
Tu vois, je sais que tu m'attends

En fait, je suis carrément sûre que c'est ça

Le chien court après l'oiseau

L'animal affectueux et baveux court après le volatile aux petites ailes délicates

ou

Le meilleur ami de l'homme gambade après le volatile apeuré.

ou

Le canidé mordeur de fesses essaie d'attraper le piaf !.

Je serais toi, je combinerais toutes tes idées et je mettrais carrément à ce jeu-là :


Cet affectueux canidé baveux, et mordeur de fesses, dit le meilleur ami de l'homme, sautille et gambade en essayant de croquer tendrement un pauvre volatile apeuré aux petites ailes délicates.

Je vais marcher dans une montagne entourée de nuages.


Mon auguste personne dirige ses pas excités par une randonnée pédestre dans la majestueuse masse granitique s'élançant fièrement vers le ciel, surplombant  la vallée tel un immense gardien de pierre environné de ci de là par des volutes vaporeuses et transparentes gorgées de rosée évanescentes  

J'adore  

Modo a écrit:

Je serais toi, je combinerais toutes tes idées et je mettrais carrément à ce jeu-là :


Cet affectueux canidé baveux, et mordeur de fesses, dit le meilleur ami de l'homme, sautille et gambade en essayant de croquer tendrement un pauvre volatile apeuré aux petites ailes délicates.

Oui pourquoi pas ! ! !

Le chat ronronne sur mes genoux


Un petit félin au doux pelage et aux yeux comme des billes  de cuivre émet des bruits semblables à un léger raclement continuel sur le haut de mes deux béquilles de chair qui me servent à me tenir debout.

Super  

à mon tour :

Le perroquet répéta toutes mes paroles.

L'animal exotique au bec crochu ayant différents coloris bariolés sur ses longues plumes s'amusa à écouter attentivement et à redire toutes mes phrases ou mots de mon discours qui sortait aisément de mon esprit.

L'animal sur pattes tout poilu qui bave et demande en permanence à manger et qui mord parfois poussa des cris devant la grille quand un gros tas de ferraille sur quatre choses rondes qui roulent arriva et mit du papier dans la boîte où il y a toujours du papier .

Essayez toujours de dégonfler ma phrase !

Le renard glapit dans la forêt.

Cet animal roux au museau pointu et aux grandes oreilles, pousse des cris aigus dans cette grande étendue de terrain, couverte d'arbres tous ressemblant et sombre

Alors à première vue personne ne souhaite trouver ma phrase qui était:

Adalie a écrit:

L'animal sur pattes tout poilu qui bave et demande en permanence à manger et qui mord parfois poussa des cris devant la grille quand un gros tas de ferraille sur quatre choses rondes qui roulent arriva et mit du papier dans la boîte où il y a toujours du papier .

Essayez  toujours de dégonfler ma phrase !  

C'était :

Le chien aboie quand la voiture de la poste passe.