Demin j'irais a lecole pour voire mais copine, elle on plin de chose a me raconter.

Demain, j'irai à l'école pour voir mes copines, elles ont plein de choses à me raconter !



Un jours, j'ais révait que je volé d'en les aire, c'étais beaux les nuage !

Je crois que c'est :

Un jour, j'ai rêvé que je volais dans les airs : c'était beau, les nuages !


Et là, où est la faute ?   


  

Tout dépend du contexte. On peut très bien dire:

La maison n'accepte pas l'échec.

Mais là, dans une grande surface, la logique voudrait que l'on dise plutôt:

La maison n'accepte pas les chèques.

Le fait qu'un patron de commerce n'accepte pas d'échouer est aussi envisageable, soit dit en passant.


Quant on est partis, chacunes d'entre nous se mit à rire.

Il y a trois fautes, deux évidente et une où il faut réfléchir un minimum. Saurez-vous les trouver ?

J'en vois 3, c'est normal ?   

Peut être trois, en effet (j'ai un doute sur la troisième). Dis-nous lesquelles !?

Autant pour moi

Au temps pour moi, ça s'écrit comme ça, par contre je n'ai pas compris si s'était oui ou non fait exprès.

C'est ce que j'ai appris aussi sur un topic d'orthographe, alors que je croyais avant que c'était faux   


Il faut dire "Au temps pour moi", mais je crois qu'on tolère aujourd'hui "autant pour moi".

Oui, moi aussi je l'ai appris depuis peu, et je le vois partout dans les livres alors que je ne m'en étais jamais aperçu auparavant.

Quelqu'un peu relancer s'il vous plaît.

D'accord je relance :

La Grenouille qui veut ce faire aussi grosse que le Boeuf

Une Grenouille vie un Boeuf

Qui lui sembla de belle taille.

Elle, qui n'été pas grosse en tout comme un oeuf,

Envieuse, s'étend, et s'enfle, et se travaille,

Pour égalait l'animal en grosseur,

Disant : "Regarder bien, ma soeur ;

Est-ce assez ? dites-moi ; ni suis-je point encore ?

- Nenni. - M'y voici donc ? - Point du tout. - M'y voilà ?

- Vous n'en approchez point. "La chétive pécore

S'enfla si bien qu'elle creva.

Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages :

Tout bourgois veut bâtir comme les grands seigneurs,

Tout petit prince a des ambassadeurs,

Tout marquis veut avoir des pages.

Jean de La Fontaine

J'ai glissé six erreurs dans ce texte.

Tu as oublié de relancer DC shoes.

Tout à fait il n'y a pas eu de relance alors je relance :

M. Seguin n'avait jamai eu de bonheur avec ces chèvres. Il les perdait toute de la même façon : un beau matin, elles cassaient leur corde, s'en allait dans la montagne et là-haut le loup les mangait. Ni les caresses de leur maître, ni la peur du loup, rien ne les retenait. C'était, paraît-il, des chèvres indépendantes, voulant à tout prix le grand air et la liberté.


Il y a cinq fautes.

M. Seguin n'avait jamais eu de bonheur avec ses chèvres. Il les perdait toutes de la même façon : un beau matin, elles cassaient leur corde, s'en allaient dans la montagne et là-haut le loup les mangeait. Ni les caresses de leur maître, ni la peur du loup, rien ne les retenait. C'était, paraît-il, des chèvres indépendantes, voulant à tout prix le grand air et la liberté.


S'il aurait fait ça, rien ne serait arrivé.

Il y a une faute.

S'il aurait avait fait ça, rien ne serait arrivé.

En effet, le mot "si" n'est pas suivi du conditionnel, on doit utiliser l'imparfait.


Le petit cheval
Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage
Il ni avait jamais de printemps
Ni derrière ni devant
Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tout derrière est lui devant
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il été content
Tous derrière et lui devant
Mais un jour, dans le mauvais temps
Un jour qu'il était si sage
Il et mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant
Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc du courage
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière ni devant.
Georges Brassens

Il y a cinq fautes.

Le petit cheval
Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage
Il ni avait jamais de printemps
Ni derrière ni devant
Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tout derrière est lui devant
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il été content
Tous derrière et lui devant
Mais un jour, dans le mauvais temps
Un jour qu'il était si sage
Il et mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant
Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc du courage
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière ni devant.


Texte corrigé : 

Le petit cheval
Le petit cheval dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant
Il n'y avait jamais de beau temps
Dans ce pauvre paysage
Il n'y avait jamais de printemps
Ni derrière ni devant
Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tous derrière et lui devant
Sa voiture allait poursuivant
Sa belle petite queue sauvage
C'est alors qu'il était content
Tous derrière et lui devant
Mais un jour, dans le mauvais temps
Un jour qu'il était si sage
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant
Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc du courage
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière ni devant.

J'allais dire ouh, tu as fait plein de fautes" mais je crois c'est fait exprès
Il faut en trouver combien ?

Qui relance ?

La bise fais le bruits d'ûn géant qui soupir ;
La fenêtre palppite est la porte respirent ;
Le vent d'iver glapit sou les tuiles du toit ;
Le feu fais a mon atre une pale dorrure ;

Le trou de ma serurre
Me soufle sur las doits

Texte avec erreurs:
La bise fais le bruits d'ûn géant qui soupir ;
La fenêtre palppite est la porte respirent ;
Le vent d'iver glapit sou les tuiles du toit ;
Le feu fais a mon atre une pale dorrure ;


Le trou de ma serurre
Me soufle sur las doits


texte corrigé:
La bise fait le bruit d'un géant qui soupir;
La fenêtre palpite et la porte respire;
Le vent d'hiver glapit sous les tuiles du toit;
Le feu fait à mon âtre une pâle dorrure;


Le trou de ma serrure
Me souffle sur les doigts



Je relance

Le temp a laissé sont manteau
de vent,de froidure et de plui
Et s'est vétu de broderi
De soleil luisan ,clair et beau

Il n'y a bête ni oiseau
Qu'en son jargon ne chantent ou crie:
Le temps a laisser son manteau
De vent, de froidurre et de pluie.

Rivière, fontène et ruiseau
Portent, en livrée jolie,
gouttent d'argent d'orfèvrerie;
Chacun s'abille de nouveau.
Le temps à laissé son manteau.