Voici mon texte :

L'océan est une mosaïque d'écume. Il déchiffre le solfège avec des croches pour monter la gamme.

Déchaîné par la houle, il ressemble à un mélomane virtuose. Le maestro orchestre la symphonie crescendo, comme une sérénade jouée sur l'onde amère.

La ritournelle marine scande son chant au rythme du flux et du reflux.

La cadence de la tempête, c'est comme le scherzo. Le pianiste laisse déferler ses doigts sur le clavier des eaux ...

L ' océan est une symphonie de notes variant à chaque vague qui déferle sur les falaises.
Par temps de tempête l ' océan joue scherzo. La nuit les marins redoutent de faire naufrage sur un récif. Quand la mélodie arrive sur le clavier du piano, l ' océan reprend son souffle puis joue mélodieusement.
L 'océan se déchaîne sur les falaises tel un orchestre sur ses instruments. Quand le maestro lève sa baguette l 'océan lève l 'écume.

Ces textes sont magnifiques !

Dans l'onde déchainée, le voilier fend l'amer.
Le vent joue entre les écoutilles sa symphonie métallique.
Le bastingage craque et tangue en cadence au bruit du tic-tac mécanique de la pendule, vrai métronome rythmique ...
Ecoute la marée cyclique, ce son, ce bruit répétitif, entêtant,
ce cliquetis de la houle se brisant sur la coque du voilier fantastique
qui s'élance à l'abordage de la nuit.

Kévin MAURIN

Somptueux tous ces textes !!!

Ils sont magnifiques ces poèmes.

Ce topic est sublime !! Merci à tous pour vos textes !!!

La musique fait danser l'océan elle le guide vers des sons nouveaux elle est la lumière de l'océan.
La musique prend une pose et se met à danser tout comme le font les vagues de cette eau claire et majestueuse. Elles dansent ensemble et prennent leur envol
dans cette mélodie joyeuse mais aussi lumineuse que les rayons du soleil !

Voici mon texte "Musique et Océan ..." : top

P.S : Il y a une dame qui parle en anglais désolée je ne sais pas comment ça se fait !

Oui, Lavignoni, mais, il est beau !

les photo de la mer sont superbes
et en plus tu a fait un super texte bravo

Voici le mien mais je ne sais pas s'il est bon :

La mer déchainée emporte au loin tous les nageurs imprudents et lorsqu'elle est calme, elle réjouit les baigneurs sous le soleil dansant dans le ciel bleu azur.
La belle mer turquoise sur laquelle des centaines de voiliers s'y amusent chaque jour.
Cet immense désert bleu où se perdent des milliers de poissons de toutes couleurs et toutes espèces.

voici le mien :

L'océan est une chanson qui tambourine les pierres comme un tambourineur frappant son tambourin.

L'onde qui le soir berçait lentement comme un concert de harpe. Le jour se lever peu à peu, les vagues au loin se lever paisiblement pareillement d'un adagio. Quand les vagues se brisa en milles éclats semblablement à des cristaux qui flamboyaient sous le soleil éclatant de milles feu dans un ciel bleu azur. Le flux et le reflux des vagues qui s'allongent sur le sable ardent, brûlant sous le soleil. La symphonie des vagues qui se brisent une par une en créant une harmonie radieuse.

Tout commentaire me servira d'aide, merci.

Voici mon poème en prose :

Les vagues au loin me remémore ma mémoire, le moment où j'ai manqué de passer de vie à trépas.

On naviguait sur une mer calme comme un adagio... Et là le crescendo, les vagues se sont amplifiées, d'une petite vague à un millier de vagues ! La désharmonie totale ! Poséidon semblait nous en vouloir, d'avoir navigué sur son lieu sacré. Le bateau allait chavirer et s'écraser contre les coraux avec fracas. Les vagues préludaient sans suivre le maestro. Le vent déferlait, la tempête s'amplifiait et nous jouait son air maudit ! Les passagers paniquaient, une ou deux personnes faisaient des requiems bizarres dont je ne connaissais pas les paroles. Puis, l'extase, on était sous le ciel bleu. La mer a cessé de vouloir notre mort.

Voilà toute mon histoire...

L'océan calme et pacifique, s'étendait à l'horizon tel un désert azur, De petites vaguelettes
Venaient caresser le sable telle une mère qui rassure son enfant et jouait un adagio, Soudain le vent se prit pour le maestro et entraîna les vagues dans un rock acrobatique. De gros nuages noirs s'émeut aient (accord) au-dessus de ma tête, une pluie fine accompagnait les houles dansantes en faisant un rondeau. Le ressac faisait jaillir une pluie de petit diamants qui retombait au fond dans la mer comme un trésor inaccessible. La tempête ne s'arrêtait plus : elle pianotait sur les vagues comme un pianistes virtuoses ! C'est un grand plaisir d'écouter ce concerto destiné au naufragés mélomanes comme moi, qui me noie dans mes remords. Le vent a fini son ravage, il s'en va, il continue son voyage autour de la terre, le calme plat est revenu, les immenses dunes bleu sont partis avec la tempête, le concert est fini, je m'en vais rejoindre les majestueuses montagnes.

Franchement, j'adore tous ces poèmes !!!

Quel talent !

L'océan bleu à perte de vue tel un choeur qui n'en finit plus de chanter puis qui donne la pulsation à l'aide de vague déferlante sur la côte de sable fin et jaune. Soudain un coup de vent fait voler les feuilles d'un arbre verdoyant et au loin j'aperçois un bateau violet à la dérive mon coeur fait un accélérando, j'ai peur pour eux: j'irais bien les aider mais je suis perdu au milieu de cette foule en délire d'onde, les marins et le bateau semblent être perdus tel un chef d'orchestre qui ne contrôle plus ses musiciens, il me semble qu'ils chavirent et puis non tout va bien pour eux . Et moi j'écoute attentivement la douce et harmonieuse chanson de la houle.