Moi, j'ai deux frères. Un qui est plus grand que moi et l'autre qui est plus petit.
- Le plus grand se croit sorti de la cuisse de jupiter.
- Et l'autre se croit narcissique.
Les deux réunit s'amusent à me faire franchir le rubicon pour que je me fasse gronder par mon pater.

Même si ma sœur m'embête, je l'aimerai ad vitam aeternam.

On va dire, qu'avec mon frère, on ne se fait pas de louanges !

J'ai deux sœurs et elles sont complètements différente, mais cela les rend uniques. !
Je parle beaucoup à ma grande sœur qui me sert un peu de psychologue.   Tandis que ma petite sœur est plutôt jeune alors c'est plus compliqué de lui parler de choses sérieuses, mais je les aime autant toutes les deux.

(BP à utiliser)

Moi, j'ai deux frères et une petite soeur qui me frappe toujours de bon gré.  Mes deux frères se raillent de moi quand je tombe par terre. Mon frère aîné fait beau devant moi . , mais quand il est effrois (+ un effroi est un nom, pas un adjectif. On ne peut donc dire "Il est effroi" = "Il est la peur" ) de voir un serpent c'est moi qui rigole    avec délectation. 

Je suis d'accord avec toi moi ma sœur est prétentieuse et elle me tape à l'insu des parents. Et quelquefois elle se croit sortie de la cuisse de Jupiter.

Moi, j'ai réussi à trouver un prétexte pour que mon frère me laisse tranquille. Comme il veut toujours que je joue avec lui. Je lui ai dit que j'avais mes devoirs à faire.

Quand j'étais petite, je me raillais souvent de mon frère et je l'embêtais tout le temps. Alors, quand mon frère en avait marre, il se ruait vers mes parents en disant que je l'embêtais. Ils venaient pour me châtier, mais je prétendais en essayant de pleurer qu'il m'avait tapée. Donc on finissait tous les deux avec une punition. Encore maintenant, je l'embête, mais désormais, il me tape. Bref, c'est la guerre.

Moi, je me raille de mon petit frère quand il chante à voix haute.

Il n'apprécie guère mes quolibets.

En effet, mon frère est affligé.

Moi, je m’entends très bien avec mon frère bon, il y a tout de même des disputes, mais globalement ça va. Le week-end, quand je regagne mes pénates, je suis toujours content. Quand on se dispute, mes parents entrent dans une colère homérique, mais les rires homériques sont davantage présents.  Mon frère veut faire un travail pas spécialement lucratif, mais qui lui plait.

Idem. Pour le mien, il lui suffit de sentir la douce odeur suave de n'importe quelle nourriture pour qu'il vienne se ruer dessus.

Ma mère fait souvent des louanges à ma sœur, mais ne m'en fait aucune.