Moi, ma relation avec mon frère et ma sœur est pleine de discorde. Soyez rassurés, je ne les trouve pas ignobles pour autant et nos disputes ne sont pas indicibles. Quand on se dispute, mes excuses ne sont pas crédibles quand je fais semblant de faire mon mea culpa.  Je n'arrive jamais à les embobiner. Au final, nos parents ont un énorme courroux contre nous.

Mon frère, c'est le benjamin de la famille, donc il a moins de devoirs que moi, et il entend souvent mes jérémiades pour me plaindre. Le mercredi, il n'a même pas école donc il me fait rager.

Aujourd'hui, j'ai joué avec mon père, ma mère et ma sœur.


J'étais avec mon père, nous avons eu des victoires à foison.  


À la fin, ma sœur a pleuré comme une Madeleine.  


Elle nous a jeté la pierre, en nous accusant d'avoir triché !  


Mais ce n'était pas le cas, et au lieu de me vanter, je suis restée humble.  

Ma soeur et moi, nous nous entendons plutôt bien et quand elle pleure comme une Madeleine je tente de la réconforter en la prenant dans mes bras.

Mon frère est le Benjamin de la famille, mais il est le plus compliqué à supporter. Quelle plaie d'être dans la maison confinée avec lui ! Il se plaint et fait des jérémiades toute la journée. Avant le confinement, quand il allait chez un copain, pour moi, c'était du pain bénit.

De base, je ne me querelle pas trop avec ma sœur. Mais avec le confinement et le fait de rester dans mes pénates, je suppute que je vais l’immoler par le feu avant la fin de ce confinement. Toutefois, grâce à internet je voyage dans plein de pays, musées... je ne pensais pas que ce serait une vraie odyssée de rester chez moi.

Aujourd’hui, mon frère a dormi jusqu’à 2heure, je crois qu’il était dans les bras de Morphée.

Quand je me dispute avec ma sœur, elle reste humble et accepte ma supériorité, alors que mon frère s'indigne.  

Mais ils me croient rarement : je trouve qu'ils sont incrédules quand je leur raconte des histoires, même quand elles paraissent plausibles.

Surtout ils me répètent que c'est immonde de mentir.

Moi quand je me prends la tête avec ma grande soeur, je suis taciturne avec mes parents après car ils me croient jamais .

Quand j'étais petit, vers huit ans, avec mon frère aîné, on faisait du catch sur le lit de ma mère et, chaque fois,je vociférais .



Après, j'avais peur de lui, donc]je me cachais toujours dans ma chambre qui me servait d'asile : je m'y sentais protégais.



Evidemment, j'éprouvais de la rancœur envers lui, mais je ne pouvais rien faire.

Moi avec mon frère, on s'entend très mal. Il m'énerve au plus haut point, il me donne des envies de meurtre ! Exemple : quand je lui demande un service, il claque la porte.

Moi aussi, j'ai deux frères qui m'énervent énormément.
Parfois, on est complice, et l'instant d'après c'est la dispute.
Ce n'est pas tous les jours faciles à vivre.
L'année prochaine, ils seront à l'internat et je serai bien tranquille à la maison.

Mon frère aussi part à l'internat l'année prochaine. Ah, la tranquillité !

Même si je suis sûr qu'il va réussir à m'embêter en distanciel.

Lors des jeux de société en famille, c'est tout simplement impossible qu'il n'y ait pas l'un de nous qui s'énerve. Je jubile à chaque fois que mon frère est infortuné au jeu, la tête qui l'a est mémorable.  

Sa chambre est pire que les écuries d'Augias, et essayer de lui donner un peu d'ordre se révèle être un ouvrage de Pénélope. (Oui, c'est mon type de punition.) 

Heureusement, et pour mon plus grand bonheur, ce second confinement nous autorise à aller au collège et, dès que je regagne mes pénates, je n'ai plus une épée de Damoclès qui plane au-dessus de ma tête : mon frère est en internat et ma sœur est trop fatiguée pour venir m'embêter.  

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