j'ai hâte de voir le résultat de cette action!

Partir sans bruit seule dans la nuit ne pas prévenir pour ne jamais revenir en silence laisser ma vie évincer, ne plus se dévoiler prendre un train ne plus pensé au lendemain se perdre dans la foule arrêter le sang qui coule, fermer les yeux faire mes adieux mon corps souffre d'être entré dans ce gouffre embrasser la solitude, ne jamais se retourner bannir d'un sourire le regret m'effacer de vos pensées soigner mes idées prendre un chemin pour ne plus être un pantin.

Spoiler:

Je suis partis, sans un bruit cette nuit sans prévenir, pour ne jamais revenir, j'abandonne ma vie évinçait, jamais réprimer, prendre un train sans penser au jour suivant, me perdre dans cette quantités de gens, arrêter mon sans qui avance dans mes veines, fermer mes yeux, faire mes adieux, mon corps souffre d'être entré dans ce gouffre, j aimerais embrasser la compagnie qui m'entoure, banni d'un sourire le regret m'efface de vos pensées, soigner mes idées pour prendre un chemin et arrêter d'être un pantin.

L'homme doit remplir des choses essentielles pour survivre : se nourrir, dormir...
Pour se nourrir, c'est très simple : prenez un bol de soupe et buvez-le.
Pour dormir, c'est fort compliqué : couchez-vous et restez serein.

(Lipogramme en A sortit de ma tête ... )

Vous deviez faire un lipogramme à partir d'un texte du manuel, d'une fable, d'un extrait de livre, d'un florilège poétique, etc.

Bien voila mon lipogramme, l'original:



Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ;
J'ai chaud extrême en endurant froidure :
La vie m'est et trop molle et trop dure.
J'ai grands ennuis entremêlés de joie.

Tout à un coup je ris et je larmoie,
Et en plaisir maint grief tourment j'endure ;
Mon bien s'en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.

Ainsi Amour inconstamment me mène ;
Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.

Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.












Et maintenant sans les "r":




je vis, je me suicide ; je me calcine et me noie ;
J'ai chaud excessif en pâtant la glace :
la vie m'est et beaucoup molle et comme un cailloux.
j'ai beaucoup ennuis mêlé de joie.
tout à coup je glousse et je couine,
et en joie maint blâme mal je pâtis ;
mon bien s'en va, et à jamais il s'éteint ;
tout en un coup je sèche.
ainsi sentiment inconstamment me mène ;
et, quand je pense avoir plus de mal,
sans y penser que je ne me situe pas en peine.
puis quand je pense ma joie d'être décisif,
et être en haut de mon ambition chance,
il me met en mon initial fatalité.

SPLEEN (original)

J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans ...


Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans
Cache moins de secrets que mon triste cerveau.
C'est une pyramide, un immense caveau,
Qui contient plus de morts que la fosse commune.
— Je suis un cimetière abhorré de la lune ...

Rien n'égale en longueur les boiteuses journées,
Quand, sous les lourds flocons des neigeuses années,
L'ennui, fruit de la morne incuriosité,
Prend les proportions de l'immortalité.


Lipogrammes en L


J'ai davantage de souvenirs que si j'avais dix centaines d'années ...


Une grosse armoire à tiroirs encombré de constats
Cache moins de secrets que mon triste cerveau.
C'est une pyramide, un immense caveau,
Qui contient davantage de morts que une fosse commune.
— Je suis un cimetière abhorré de ce rayonnement ...

Rien n'est identique en distance (je ne trouve pas quoi mettre pouvez vous m'aider?) n'équivaut en durée ces boiteuses journées,
Quand, sous des pesants grumeaux des neigeuses années,
Un ennui, fruit de une morne incuriosité,
Prend des proportions d'une éternité.



J'ai fait comme je pouvais toutefois faire des lipogrammes est assez difficile

Il suffirait de presque rien,
Peut-être dix années de moins,
Pour que je te dise je t'aime
Que je te prenne par la main
Pour t'enmener à Saint Germain

Voici cet extrait de chanson sans la lettre "o".

Il suffirait de presque rien,
Peut-être de peu d'années
Pour que je te dise je t'aime
Que je te prenne par la main
Et que je t'enmène à Saint Germain

Spoiler:

Alizée a écrit:

Il suffirait de presque rien,
Peut-être dis années de moins,
Pour que je te dise je t'aime
Que je te prenne par la main
Pour t'enmener emmener à Saint Germain

Voici cet extrait de chanson sans la lettre "o".

Il suffirait de presque rien,
Peut-être de peu d'années
Pour que je te dise je t'aime
Que je te prenne par la main
Et que je t'enmène emmène à Saint Germain

Spoiler:

Eh non, dommage il y'a un -o a pour.

C'est à quel texte que tu cherches une lettre à enlever ? Sinon, il y a des "o" ici :

Alizée a écrit:

Il suffirait de presque rien,
Peut-être dis années de moins,
Pour que je te dise je t'aime
Que je te prenne par la main
Pour t'enmener à Saint Germain

Voici cet extrait de chanson sans la lettre "o".

Il suffirait de presque rien,
Peut-être de peu d'années
Pour que je te dise je t'aime
Que je te prenne par la main
Et que je t'enmène à Saint Germain

Spoiler:

Par endroit, ton texte ne veut rien dire. Tu as juste fais des transformations sans te soucier du sens des phrases

Je suis désolé, cependant, je ne comprend pas, enfin je ne trouve pas d'idée.
Néanmoins, je lis quand même les exemples, donc j'essaie de comprendre.

Pégase a écrit:

Au fait, saviez-vous qu'un homme a écrit un livre, sans aucun mot contenant un "e" ? Quel pro.

Je l'ai lu, enfin pas tout entier, par ce que c'est parfois un peu tiré par les cheveux comme on dit. C'est de Georges Perec. Il me semble me souvenir que ça s'appelait "la disparition". Toutefois pour le lire en entier, il fallait s'accrocher!

Spoiler:

Voici mon lipogramme sans la lettre"s" :

Un banc l'appelle parmi l'ombre compacte.
Il s'assied, l'haleine courte, l'idée la tête en agitation.
Il ferme le regard, la tête dodeline,
Il craint de perdre le contact.

Pamela a écrit:

Spoiler:

Voici mon lipogramme sans la lettre"s" :
Un banc l'appelle parmi l'ombre compacte.
Il s'assied, l'haleine courte, l'idée en agitation.
Il ferme le regard, la tête dodeline,
Il craint de perdre le contact.

Paméla, ce n'est pas mal mais tu as oublié assied. deux "s"

Citation :

semblable à sa fureur qu'il comme s'il avait tenu sa fureur

ça ne veut pas dire grand chose je trouve

Lupa a écrit:

Voici mon lipogramme en "O" :

A l'extérieur, la tempête fait rage. La pluie chute sur les chalets déjà humides du village et le vent glisse semblable à sa fureur qu'il comme s'il avait tenu sa fureur depuis naguère. Les rafales entrainent les feuilles de la fin de l'été et font diriger dans l'ensemble des sens, à l'instar de petits êtres éperdus cherchant leur chemin. Le vent siffle à travers les interstices des fenêtres et des entrées des pièces, créant un bruit inquiétant, plaintif, tel un chant qui appellerait de plus en plus.

Et il reste un "O"